Test Plum Guide 12 2021

14 tests Plum Guide 12.

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Note moyenne : 8,6/10
Simagdavon

Bestseller de la marque, on comprend pourquoi !

Avis sélectionné
Profil du testeur : 39 ans | 1,75m | Avancé | Morancé
Acheté : 419€ en magasin
Conditions du test : Toutes les conditions

Points forts

Robustesse, poids maîtrisé, fiabilité, simplicité d'utilisation

Points faibles

Pas grand chose

Profil du testeur :

Skieur expert (amateur), passe la plupart de ses weekends en montagne (très souvent en rando). J’ai une très bonne condition physique, je pratique du sport toute l’année.

Je précise que je suis tout de même un amateur, mon niveau de ski n’est pas celui d’un pro.

J’affectionne tout particulièrement le hors-piste et la randonnée, mais les jours de mauvaise poudre je me régale aussi sur piste avec la paire de ski adaptée.

Je possède une paire de ski par programme (ski de piste, ski de freeride, ski de randonnée). Mon avis ci-dessous ne s’applique donc qu’au programme dédié à ce ski.

Mon profil : Homme, 1m75, 69kg.

J’ai toujours utilisé la fameuse Dynafit TLT Speed Radical, une valeur sûre, robuste, légère. Et cette année, me voilà avec une superbe paire de ski Fischer (léger, large, rigide : https://www.skipass.com/tests/ski/fischer_hannibal-96-carbon/2022_29923.html). C’est donc tout naturellement que je recherche une TLT, que je ne trouverais jamais, en rupture partout !

Il était donc venu le moment d’être infidèle à Dynafit. La marque Plum était assez évidente pour moi car je voulais conserver les aspects suivants : pas de stop ski, une fixation entièrement en métal/alu, et un poids raisonnable (sans aller sur du très light).

J’ai donc choisi le bestseller de la marque : la Guide 12.

Ses caractéristiques : Un DIN de 12, un poids de 335g la fixation, 3 hauteurs de cale (0mm, 59mm, 79mm)

La montée : Chaussage très facile grâce à l’insert. La bride sur l’avant de la fixation permet de verrouiller la chaussure, avec plusieurs crans donc plusieurs forces de verrou, facile à utiliser. Il y a 3 hauteurs de cale : 1/ sans cale, le talon à plat sur le ski (bien pour les zones plates en mode « skating ») – 2/ cale à hauteur de la fixation – 3/ cale au-dessus de la fixation (bien utile quand on monte dans du raide). Le changement de cale se gère en tournant d’un quart de tour la fixation, à faire avec la pointe du bâton. C’est un coup de main à prendre.

La descente : Il faut faire pivoter la fixation pour enclencher la chaussure dans les deux ergos. Cette manipulation est difficile à effectuer sans déchausser, à moins d’être bien souple. A la descente, aucun problème, ça tient très bien, pas de déchaussage intempestif. La fixation est très proche du ski, il n’y a pas de surépaisseur, on ressent donc bien le ski et sa précision.

J’ai des skis assez larges (96mm au patin) et ça fonctionne très bien. Il n’y a pas besoin de prendre une grosse fix (qui va être lourde) car on a un gros ski !

La qualité : Aucun problème après une année d’utilisation.

En deux mots : Idéal et polyvalent dans toutes les conditions possibles (neige fraîche, dure, de printemps). En revanche, ce n’est pas une fixation ultra-light pour faire du « collant pipette ».

Pour qui ?

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