Test Völkl AC 50 2010

7 tests Völkl AC 50.

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Note moyenne : 9,1/10
cannibale

Le TOP du Allround, entre le 4x4 et la porsche !

AC 50 2010 Völkl AC 50
Profil du testeur : 37 ans | 1,77m | 77kg | Confirmé / expert | Chantraine
Taille testée : 163
Conditions du test : Durée : 1 journée | Météo : légèrement couvert (sans jour-blanc) | Neige : 5 cm de fraiche
Après avoir découvert la marque Volkl en 2005 avec l'excellent AC4, c'est naturellement que je voulais rester dans le même esprit pour son successeur.

Et avec l'AC50 on peut dire que je n'ai pas été déçu!

Acheté en 177 j'avais au départ un peu peur que ce ski soit un peu long pour du carve sur piste... Et bien absolument pas! Comme dit dans un test précédent, une fois chaussé il est super léger, on ne le sent plus au pied et c'est là qu'il démarre seul en mode "Démo"...

Il accroche tout type de neige. Certains bas de pistes étaient gelés? Pas de problème il continue de carver sans moufeter. Il suffit de penser à tourner, il le fait pour vous.
Après quelques pistes ainsi je suis passer en mode « attaque » et là, du bonheur ! Plus on lui en demande, plus il vous en donne. Si on appuie en fin de courbe il rebondit immédiatement et accélère pour en donner plus au virage suivant. Au final c’est vous qui démissionner… Ou plutôt vos cuisses.
Bref, sur piste, que l’on enchaine les petits virages serrés ou les grandes courbes couchées, l’AC50 vous suit et reste toujours sur les rails. Quasi impossible de le prendre en défaut ce jour là !

Enfin je l’ai testé en poudreuse (25 cm seulement mais bon) au milieu des arbres, et là encore nickel ! Les lignes de cotes et la portance dans cette taille est idéale (par rapport à mes mensurations) et on a l’impression d’être sur un tapis volant. Après les premiers déclenchements il prend la suite quasiment seul, et si on veut accélérer il répond toujours présent…

Un vrai bonheur aussi bien pour ceux qui veulent se souvenir à la fin de la journée que mère nature leur a fait des cuisses. Car même s’il sait passer en mode « pilotage automatique », difficile de ne pas le pousser pour voir ce qu’il a dans « le noyau »… Et à ce jeu c’est lui qui gagne toujours !

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