L'actualité du ski alpin

congres FIS
Changements de règles pour le Parallèle . La course aura un format de 2 manches pour assurer une compétition équitable. Pour garder le format court et intéressant, la course débutera en huitièmes de finale (pas 32 comme jusqu'à présent) avec les 16 athlètes les plus rapides de la course de qualification.

La bisbille entre SwissSki et le Lauberhorn entre dans une nouvelle phase absurde:
rts.ch

didounet13 (21 mai) disait:

congres FIS
Changements de règles pour le Parallèle . La course aura un format de 2 manches pour assurer une compétition équitable. Pour garder le format court et intéressant, la course débutera en huitièmes de finale (pas 32 comme jusqu'à présent) avec les 16 athlètes les plus rapides de la course de qualification.

Le bon sens l emporte...

C'est dommage, car Wengen est une superbe descente !

J'ai l'impression que c'est même la plus rapide du calendrier.

Pour l'instant je crois qu'on est plutôt dans l'intox et la guerre des nerfs, chaque partie cherchant à faire plier l'autre (un peu comme lors des négociations entre l'Union Européenne et la Grande-Bretagne à propos de leur relation future). Je doute que Swiss Ski ait réellement envie de se séparer des épreuves de Wengen compte tenu du caractère unique du site ; ils veulent surtout faire pression sur la station en lui faisant comprendre qu'elle n'est pas irremplaçable et qu'il y a des limites à ses exigences au regard des intérêts dont ils ont la charge (je vous laisse apprécier si c'est à tort ou à raison. Personnellement, je n'en sais rien).
Même Zermatt qui aimerait intégrer le calendrier de la coupe du monde n'envisage pas de remplacer Wengen.

Anna Veith annonce la fin de sa carrière : "Je suis prête pour un nouveau chapitre"

Comme prévu, l'Autrichienne Anna Veith a annoncé, ce samedi soir, la fin de sa carrière.

A lire ici.

Le feuilleton continue ...
lenouvelliste.ch

didounet13 (25 mai) disait:

Comme tout le monde, ça cogite dur

Hier le ministre italien des sports évoque une reprise du foot mi juin
Hier, notre ministre : pas de vaccin, pas de sport

Le pire, c'est que c'est pas le sport en plein air qui pose problème, mais tous les à-côtés : transport, 3ème mi-temps au café,...

Salut !

Est-ce que vous savez pourquoi Julie Dayer a arrêté sa carrière en 2017 ?

Je ne trouve pas d'infos.

Un grand merci !

Confirmation : elle avait reçu son gros Globe par la Poste
Et la FIS vient d'envoyer son cameraman

youtube.com

Ca me fait vraiment plaisir son gros globe !

Elle l'a bien mérité.

Blacksite (26 mai) disait:

Wengen est de retour au calendrier.
Ca aura été rapide.
Swiss Ski réhabilite Wengen au calendrier de la FIS
A lire ici.

Confirmation ici : ledauphine.com
Ce qui prouve que certaines épreuves, parmi les plus prestigieuses, peuvent difficilement être retirées de la coupe du monde, a fortiori je pense quant il s'agit de descentes.
En espérant que ce sera aussi le cas pour Zermatt, dont la candidature pour l'une des 2 première semaines de novembre tombe à point nommé pour combler partiellement le vide d'un mois entre Sölden et Levi et contribuer à un rééquilibrage entre les épreuves techniques et les épreuves de vitesse au sein de la coupe du monde.
Une autre candidature de ce style pour novembre et ce serait parfait ! Pourquoi pas Saas-Fee, Intertux, Sölden, Tignes ou d'autres remplissant les conditions de dénivelé et d'enneigement (je sais, ce n'est pas gagné pour Tignes au regard des derniers automnes). Le fait que certaines de ces stations ne disposent pas actuellement de pistes homologuées pour les épreuves de vitesse ne semble pas être un obstacle rédhibitoire puisque c'est précisément le cas de Zermatt.

La FIS a ajoute un parallele fille et garçon à Lech, Autriche 13-15 novembre 2020 entre Solden et Levi

didounet13 (27 mai) disait:

La FIS a ajoute un parallele fille et garçon à Lech, Autriche 13-15 novembre 2020 entre Solden et Levi

Merci pour l'info, j'étais passé à côté (probablement à cause du confinement de 2 mois, période pendant laquelle je n'ai pas eu accès à un ordinateur).
C'est bien pour combler le trou entre Sölden et Levi, mais ça ne va pas dans le sens d'un rééquilibrage entre épreuves techniques et de vitesse (les premières restant toujours, sauf erreur de ma part, plus nombreuses que les secondes), d'autant plus que les épreuves parallèles s'apparentent davantage aux premières qu'aux secondes.
Je suis également surpris par le choix de Lech/Zürs am Arlberg pour cette date compte tenu de la latitude et de l'altitude maximale de la station qui n'atteint pas les 3.000 m. Enneigement précoce par rapport aux autres stations des Alpes à altitude comparable (la station n'ouvrira cependant officiellement que le 4 décembre 2020), recours à l'enneigement artificiel ?

vonderberg (27 mai) disait:

didounet13 (27 mai) disait:

La FIS a ajoute un parallele fille et garçon à Lech, Autriche 13-15 novembre 2020 entre Solden et Levi

C'est bien pour combler le trou entre Sölden et Levi, mais ça ne va pas dans le sens d'un rééquilibrage entre épreuves techniques et de vitesse (les premières restant toujours, sauf erreur de ma part, plus nombreuses que les secondes), d'autant plus que les épreuves parallèles s'apparentent davantage aux premières qu'aux secondes.

Effectivement on est à 10 SL, 9 GS, 8 SG, 10 DH, 3 AC et 4 PAR donc 23 techniques, 19 vitesses et 3 combinés.

Ca y est, j'ai trouvé enfin une combinaison SwissSki de descente. Ce sera parfait dans ma collection qui se complète.

Cool ! En bon état (parce que c'est pas forcément simple) ?

c'est l'ancienne de Cuche, dédicacée?

Blacksite (28 mai) disait:

Ca y est, j'ai trouvé enfin une combinaison SwissSki de descente. Ce sera parfait dans ma collection qui se complète.

J'espère que tu va l'étrenner sur la nouvelle piste de descente de Zermatt après son homologation par la FIS (et en mode descente avec les skis requis pour ce type d'épreuve, bien entendu) !

tu l'as passé au gel hydro ?

bonagva (28 mai) disait:

Cool ! En bon état (parce que c'est pas forcément simple) ?

Oui, elle n'a été portée qu'une saison et est en excellent état. En plus une de descente, et pas d'épreuves techniques, c'est génial.

des fois j'aimerais être une mouche et visiter chez toi

Tu vas finir écrasé contre la fenêtre

vonderberg (28 mai) disait:

Blacksite (28 mai) disait:

Ca y est, j'ai trouvé enfin une combinaison SwissSki de descente. Ce sera parfait dans ma collection qui se complète.

J'espère que tu va l'étrenner sur la nouvelle piste de descente de Zermatt après son homologation par la FIS (et en mode descente avec les skis requis pour ce type d'épreuve, bien entendu) !

le projet est maintenu malgré le caprice reussi de wengen?

ak (28 mai) disait:

des fois j'aimerais être une mouche et visiter chez toi

Tu serais déçu.

tartiflette_power (29 mai) disait:

vonderberg (28 mai) disait:

Blacksite (28 mai) disait:

Ca y est, j'ai trouvé enfin une combinaison SwissSki de descente. Ce sera parfait dans ma collection qui se complète.

J'espère que tu va l'étrenner sur la nouvelle piste de descente de Zermatt après son homologation par la FIS (et en mode descente avec les skis requis pour ce type d'épreuve, bien entendu) !

le projet est maintenu malgré le caprice reussi de wengen?

Zermatt avait déclaré que son projet de candidature n'avait rien à voir avec le retrait potentiel de Wengen. Même si son projet passe par une piste de descente à homologuer et qui serait la plus longue de la coupe du monde (titre actuellement détenu par la Lauberhorn à Wengen), il reste différent en ce qu'il concerne à la fois les hommes et les femmes et se tiendrait en début de saison (contre le milieu de saison actuellement pour Wengen).
Les courses envisagées par Zermatt, en coopération avec Cervinia et/ou Valtournenche dans le Val d'Aoste, peuvent donc parfaitement se dérouler en complément de celles de Wengen et présenteraient l'intérêt à la fois de combler le trou en novembre entre Sölden et les épreuves nord-américaines (même si Lech/Zürs am Arlberg s'est placé sur le même créneau temporel depuis) et de contribuer à combler l'écart entre le nombre d'épreuves techniques et celui d'épreuves de vitesse au sein de la coupe du monde.
Après, j'ignore s'il y a une limitation au nombre de compétitions qu'un pays peut organiser (la Suisse et l'Italie sont déjà bien servies avec 5 coupes du monde chacune, mais l'Autriche les dépassent avec 6 coupes du monde. Donc, ça ne devrait normalement pas poser de problème) ou si les fédérations suisse et italienne de ski ont les moyens d'organiser une épreuve supplémentaire (avec le partage des frais entre les 2 fédérations et les sommes que peut apporter une station comme Zermatt, cela ne semble pas non plus devoir poser de problème).
Mais il y a peut-être un obstacle du côté de la FIS : acceptera-t-elle cette nouvelle coupe du monde si Blacksite refuse d'étrenner la piste dédiée à celle-ci après son homologation ?

“Une descente de 5 km à Zermatt semble irréaliste”

A lire ici.

Blacksite ( 2 juin) disait:

“Une descente de 5 km à Zermatt semble irréaliste”

A lire ici.

Merci Blacksite.
Juste dommage que je ne puisse accéder à partir de mon ordinateur au site et donc à l'article en question (mais tu n'y es pour rien, tout comme Skipass).

L'article en entier :

“Une descente de 5 km à Zermatt semble irréaliste”

Zermatt et Cervinia souhaitent mettre sur pied la plus longue descente de Coupe du monde d'une longueur de 5000 mètres, avec un départ situé sur le glacier. Coup de publicité ou véritable projet en devenir ? Didier Défago et Hugues Ansermoz analysent le concept des deux stations valaisanne et italienne.

Une descente de cinq kilomètres entre deux pays? C’est le projet un peu fou lancé par Zermatt en fin de semaine dernière. La célèbre station valaisanne entend mettre sur pied, et ce peut-être dès novembre 2022, la plus longue course du Cirque blanc avec un départ du Petit Cervin pour une arrivée de l’autre côté de la frontière à Cervinia en Italie. “Nous voulons cette course et nous ferons tout notre possible pour y parvenir”, confiait Franz Julen, patron des entreprises de remontées mécaniques de Zermatt à la NZZ. Utopie ou réalité, le projet peut susciter le débat.

“Aujourd’hui, le ski doit se remettre en question, mais il faudrait aller se rendre compte sur place”, lance, curieux, l’ancien champion olympique de descente Didier Défago. “Ce qui caractérise une descente, c’est la dramaturgie qu’on lui donne et donc plusieurs paramètres”, précise le skieur de Morgins devenu “architecte” de pistes de vitesse pour la FIS. “L’attractivité d’une course passe par des sauts, de la pente. S’il y a un kilomètres de plat au départ, et à nouveau un kilomètre et demi avant l’arrivée, ce n’est pas non plus attrayant.”

Trois minutes en position de recherche de vitesse ?

Le départ situé à 3899 mètres d’altitude et l’arrivée à 2814 proposerait un dénivelé d’un peu plus de 1000 mètres, soit plus que la descente de Bormio (1010 mètres) que les athlètes dévalent en moins de deux minutes. Mais là où la Stelvio fait 3270 mètres de long, l’épreuve italo-suisse se courrait sur 5000 mètres… Faites le calcul, la pente moyenne de la piste serait loin d’être des plus prononcées. Les athlètes franchiraient la ligne à Cervinia ainsi après près de trois minutes d’effort, soit une course qui durerait entre 25 et 30 secondes de plus qu’à Wengen qui propose la plus longue piste à l’heure actuelle (4270 mètres pour un dénivelé de 1028 mètres) sur le circuit.

“Une course de trois minutes n’est pas faisable, ce n’est pas de la descente”, mentionne Hugues Ansermoz, ancien entraîneur en chef des équipes suisses et canadiennes féminines de vitesse. “Wengen, c’est exceptionnel. Mais dans ce cas, on se retrouverait avec des pistes larges, peu spectaculaires, où les athlètes sont en constante recherche de vitesse.” Sans oublier la question de l’altitude “très contraignante pour les athlètes”, comme le relève Didier Défago en faisant référence aux compétitions de Beaver Creek et de Sölden.
Une météo délicate sur le glacier au mois de novembre

Mais au-delà des aspects structurels de la piste – sans parler de la sécurité avec les crevasses qui peuvent joncher le glacier – se pose la question des conditions météorologiques au début du mois de novembre sur le glacier. “C’est une période très délicate”, rappelle Hugues Ansermoz. “Il y fait souvent mauvais. Ce n’est pas pour rien que Zermatt fermait ces dernières années sa piste de descente d’entraînement sur le glacier dès le 15 octobre. Et il faut aussi qu’il y ait de la neige et être capable de préparer le parcours. Je verrai plutôt une telle course en mars”, poursuit le Vaudois, plutôt dubitatif sur le projet.

Défi organisationnel entre deux pays

Didier Défago pose la problématique de la gestion de l’événement entre deux stations de deux pays différents. “Qui organise quoi? Qui récupère les droits de télévision? Où logent les athlètes? Où organise-t-on les événements parallèles à la course?”, analyse le Valaisan qui rappelle que Zermatt n’a pas “l’expérience de l’organisation de Coupe du monde” depuis plusieurs décennies.

Dans ce contexte, comment ne pas voir cette annonce comme un coup marketing. “C’est une belle publicité, car on en parle partout, assure Hugues Ansermoz qui ne pense pas que les desseins de Coupe du monde italo-suisses aillent plus loin. Le projet semble irréaliste.”

Zermatt est-il capable de rendre possible l’impossible?

Johan Tachet

Merci.
Dommage si ce n'est qu'un coup de pub. Le projet apparaissait alléchant sur le papier et au regard du calendrier actuel de la coupe du monde.

L’idée d’une course sur deux pays aurait été intéressante cela dit.

Au fait, est-ce qu’une version féminine de la descente de Kitzbuehl a déjà été envisagée ? Ça devrait techniquement être faisable de reprendre une partie du tracé et créer le reste.

Blacksite ( 1 juin) disait:

Gianfranco Kasper: “Tout est possible”

Le président de la FIS, qui a vécu une fin d'hiver compliquée à cause de la pandémie de COVID-19, a accepté de passer en revue les différents sujets qui animent les débats en cette période agitée. Calendrier à modifier, Mondiaux à repousser, nom de son successeur, adaptation des règlements et Jeux olympiques en Chine l'ont notamment fait réagir.

A lire ici.

Bref tout ça pour dire qu'on s'en tient au plan A mais si ça ne va pas on a un plan B

Mondiaux et JO la même année : je suis contre
La skieuse/le skieur doit profiter de son titre mondial
Si 2 semaines après, il y a un-e champion-ne olympique différent-e, c'est pas pareil

Ania Monica Caill

La preuve en images ici : ledauphine.com

vonderberg ( 8 juin) disait:

Autre terrain d'entraînement pour les équipes de France également mis à contribution en ce début juin : le glacier des 2 Alpes.
ledauphine.com
Pas certain, à part Tignes, qu'il y en aura beaucoup d'autres cet été (en tout cas cela paraît très compromis pour l'hémisphère sud) !

Là, c'est pour la photo

Pas sur à chaque remontée : il faut enlever casque, gants, personne pour vous le mettre (contamination, distanciation), etc, etc

Bref....