A mon avis ,celà pose un problème évident de sécurité pour les autres usagers c'est à dire la majorité.
Qu'en pensez vous?
Participez au débat,pourquoi pas photos et vidéos à l'appui!?
scream (05 avril 2009 23 h 14) disait:
si la voile ne passe pas sur les pistes, y a pas de problemes ...
La montagne appartient à tous, c'est à chacun d'assurer sa securité et celle de son voisin. Point .
Et .. 110 km/h, on les atteint aussi en 'freeride' pour les meilleurs, c'est donc a tous de se gerer ensemble, et d'eviter de faire du S**ko en voulant montant un tel contre un tel !!!
mogwaie (06 avril 2009 11 h 19) disait:
Vu avant-hier, sur la piste Régine Cavagnoud 2 speed-rider slalomant très près des skieurs toute l'après-midi et à 30m des câble du TS : on croirait que leur but est simplement de se montrer au vu des trajectoires et des espaces qu'ils empreintent : une chose est flagrante : la règlementation est très loin d'être respectée.
chin@ill (05 avril 2009 23 h 22) disait:
snowsly (06 avril 2009 16 h 40) disait:Mon intention n'est pas de choquer qui que ce soit mais de lancer un débat afin que ce genre d'incidents regrettables ne se produisent plus.chin@aill tu aurais pu mettre un autre article que celui-ci ...
scream (06 avril 2009 19 h 34) disait:Entre monter à pied et descendre en s'exposant aux dangers naturels en zone hors piste et skier sur un domaine équipé exposé à un danger évitable et artificiel,ce n'est pas du tout la même chose en terme de responsabilité!!!
D'ailleurs, le probleme sera la meme au fond de borderan qu'au sommet du buet, il s'agira du domaine hors-piste non securisé ou n'importe quoi peu arriver .. avalanche, speedrider, bouquetin.
lars (06 avril 2009 21 h 07) disait:Moi aussi,j'ai pensé à ça c'est pourquoi je n'ai rien dit durant 4 ans...avant de comprendre que les snowboarder,eux, ne volent pas à 110km/h et peuvent tant bien que mal freiner assez vite pour éviter un obstacle alors qu'en speed-riding,on ne peut que tourner pour éviter l'obstacle au risque de se payer celui d'à côté!
Quelque part cette histoire me fait penser au début du surf avec Marielle Goitchel qui voulait les parquer car trop dangereux
snowfun (07 avril 2009 09 h 43) disait:Je t'explique: je souhaite juste qu'il n'y ait plus de cohabitation possible entre les speed-riders et les autres pour des raisons de sécurité fort bien comprises d'ailleurs par les autorités vu qu'elles interdisent (en principe)cette pratique sur les pistes balisées.
Donc, toi, dans ta pratique hors piste (ben oui), tu as peur, et tu souhaites interdire la pratique, parce que ce n'est pas la tienne?
chin@ill (07 avril 2009 10 h 26) disait:
[Je t'explique: je souhaite juste qu'il n'y ait plus de cohabitation possible entre les speed-riders et les autres pour des raisons de sécurité fort bien comprises d'ailleurs par les autorités vu qu'elles interdisent (en principe)cette pratique sur les pistes balisées.
Comme quoi ,soit dit en passant,si le speed-riding était aussi anodin que les autres disciplines en terme de risques de collision,il aurait droit de citer sur piste...non?
La faille dans ce cas là,c'est que tout point accessible par gravité situé entre le sommet des RM de la commune et leur départ fait partie du domaine skiable...donc que les riders classiques ont non seulement le droit de s'y trouver mais même d'y bénéficier de la protection du service des pistes habilité depuis peu à y intervenir le cas échéant!
Or,ils y courent des risques qu'on a voulu bannir des pistes balisées : il y a donc un truc qui cloche.
La solution supposerait donc des zones strictement réservées à la pratique du speed-riding donc par là même de priver les autres dont moi desdites zones jusque là accessibles et là,effectivement,je t'avoue que suis contre car on réduirait les libertés du plus grand nombre pour le plaisir de quelques uns.
Maintenant,si le speed-riding doit se développer(ce qu'il fait et fera à mon avis),je pense qu'il va falloir faire contre mauvaise fortune bon coeur et en passer par là,hélas.
Et sur La Clusaz,je pense que c'est plutôt Borderan qui serait toute indiquée pour cette activité: je préfère encore devoir m'en priver voire y aller sachant que ce sera moi le responsable en cas de collision plutôt que de risquer de me faire percuter sur le reste du domaine que ce soit sur la piste Cavagnoud,Le Vraille ou l'Etrive.
snowfun (07 avril 2009 10 h 58) disait:Pour le kite surf(HS),ma position est la même pour ls mêmes raisons : ceux qui volent ne doivent pas cohabiter avec ceux qui ne volent pas.
Dis, on parle, et toi en premier ("freeride", de la situation actuelle, qui me semble correcte.
Je ne pense pas, d'ailleurs, que le nombre augmentera beaucoup... Ce ne sera pas à la portée de tout le monde...
Et pour le Kite, quelle est ta position?
Les "freeriders"... Waow... Leur nombre va-t-il augmenter? Vont-ils skier à fond la caisse , en sautant des barres, sans visibilité, et en étant un danger pour les autres skieurs H-P?
Pour TA pratique, donc, parce que TU as peur, il faut parquer, interdire, les AUTRES...
Oui oui oui...
chin@ill (07 avril 2009 11 h 54) disait:
Pour le kite surf(HS),ma position est la même pour ls mêmes raisons : ceux qui volent ne doivent pas cohabiter avec ceux qui ne volent pas.
A ton avis,pourquoi les speer-riders sont-ils interdits sur les pistes alors qu'on autorise les snow-blades,les skis,les snowbaords,les monoskis,les snowscoot,le télémark et j'en passe?
Je constate que tu n'as toujours pas compris qu'un danger au sol n'était pas de même nature qu'un danger dans les airs et ce pour de nombreuses raisons...donc je ne vais pas m'éterniser.
chin@ill (07 avril 2009 12 h 32) disait:
Et toi,tu es lourd ou tu le fais exprès quand tu ne veux pas comprendre que juridiquement un domaine skiable comprend certaines zones de freeride + les pistes balisées et que donc les problèmes s'y posent rigoureusement dans les mêmes termes concernant la sécurité des personnes?
Celui qui saute d'une barre rocheuse ou d'une bosse sera toujours responsable pénalement car il se trouve au dessus de celui qu'il percute...en hors piste comme sur piste(cf code de conduite du bon skieur).
Et non,je ne fais pas de parapente(chacun son truc),mais je ne vois franchement pas le rapport avec la choucroute!
snowfun (07 avril 2009 10 h 58) disait:
Et pour le Kite, quelle est ta position?
snowfun (07 avril 2009 14 h 12) disait:Si je résume, tu voles et sais donc mieux que le péquin moyen comment se manoeuvre une voile de speer-r ,tu n'a même pas peur quand tu te fais raser de près par un pratiquant inconscient dont le but est hélas souvent de viser les skieurs plutôt que les mouvements de terrain: si tu skiais plus souvent à La Clusaz,je t'assure que tu verrais ça tous les jours à moins d'avoir une pizza dans chaque oeil.Tu ne vois pas le rapport? C'est bien ce qu'il me semblait! Ca veut dire que j'ai une vague idée, moi, de la manoeuvrabilité du truc, que tu n'es pas sans contrôle sur l'engin...
snowfun (07 avril 2009 16 h 21) disait:
He bien, yone, le règlement correspond tout-à-fait au cadre général de la pratique!!!
snowfun (07 avril 2009 16 h 37) disait:
Mais bien sûr que non, les pratiquants ne sont pas tous chevronnés!!! C'est bien pour ça qu'il y a des écoles, qui sont tenues de respecter le cadre! Par contre, des qui continueront après... A voir...
De même que les skieurs sont loin d'être tous chevronnés, et les bobets qui ne maitrisent rien et descendent bras et jambes écartés, tout droit, sont légion...
snowfun ( 7 avr 2009) disait:Hou la là,en forme le snowfun...le voilà reparti pour les attaques personnelles!
Le monde de chin@ill, où les gens comme chin@ill veulent que les choses soient arrangées pour les gens comme chin@ill, ne me plait vraiment pas!
tcsa ( 7 avr 2009) disait:
Snowfun,
Je ne sais pas à quelle époque tu as fait du parapente. Lorsqu’en 78 tout a commencé à Mieussy, c’était une bande de parachutistes qui s’entrainait à la PA en évitant de payer le Pilatus pour le largage. Tout allait presque bien. Il avait leur zone de décollage et leur zone de PA.
Au milieu des années 80, lorsque la pratique c’est démocratisée et que deux fédés géraient le parapente (parachutisme et vol libre ), tout le monde a voulu sauter du bout de colline à coté de chez soi… Et là ça a commencé à déconner dur.
Par la suite, les choses se sont organisées et apaisées. Mais n’importe qui ne fait pas ce qu’il veut.
Vos débats sont exactement identiques aux débats sur le parapente au milieu des années 80. Il faut un cadre clair qui protège les skieurs dans leurs pratiques. Il faut des sites dédiés à la pratique. Si l’on est dans un sport aérien, il faut respecter les règles aéronautiques, etc…
Le problème actuel, c’est qu’à défaut de règle, c’est que certains pratiquants font un peu comme ils veulent. Comme les pilotes d’ULM et d’AUL d’une certaine époque qui se fracassaient sur leur baraque en prenant des photos…
Il faut URGEMMENT des règles. De plus celles-ci repoussent généralement et naturellement les dangers publics…
yone74 ( 7 avr 2009) disait:
snowfun (07 avril 2009 16 h 21) disait:
He bien, yone, le règlement correspond tout-à-fait au cadre général de la pratique!!!
oui, mais quand tu regardes aussi les débats, l'ONF leur a dit qu'il était interdit d'être à moins de 300m des zones protégées par leur caractère écologique sur le domaine des Arcs... Toutes les falaises de Balme sont des espaces naturels classés avec notamment une avifaune remarquable (et c'est juste à quelques mètres).
Par ailleurs, ce même document révèle que le ministère des sport est sur le point de classer cette activité comme dérivée du ski et non du parapente (ce qui est stupide, pourquoi le snow kite serait une activité de vol à voile et le speed-riding une activité de ski? de plus cela ouvrirait un flou juridique au sens où il serait impossible d'interdire l'accès aux pistes à une activité reconnue sport dérivée du ski).
chin@ill ( 7 avr 2009) disait:
Hou la là,en forme le snowfun...le voilà reparti pour les attaques personnelles!
No comment,ce serait HS et sans intérêt ici...tes mots parlent pour moi de façon suffisamment éloquente sans que j'aie besoin d'en rajouter,merci.
PS: vive la nouvelle fonction d'édition,vive la nouvelle interface!
snowfun ( 7 avr 2009) disait:Et bien si les autres n'ont rien de mieux à faire,il se feront leur propre opinion en relisant les échanges plus haut pour savoir qui a commencé à être agressif et à attaquer les personnes au lieu de leurs idées,voilà tout...C'est curieux, moi aussi, j'ai l'impression que tes mots et tes idées parlent pour toi assez clairement...
d'ailleurs ... effectivement, la responsabilité du maire est rarement mis en cause hors des pistes :
conso.net
Si l’accident a lieu hors piste, la responsabilité de la commune pourra également être engagée s’il y a eu faute de sa part. Là encore, les juges considèrent que seule l’absence de signalisation et l’existence d’un danger exceptionnel peuvent être retenues. En effet, l’article L. 2212-2 (5° du code général des collectivités territoriales, qui fonde le pouvoir de police du maire en la matière, n’implique pas de distinction entre les accidents selon qu’ils se produisent sur les pistes aménagées pour le ski ou en dehors d’elles.
Dans un arrêt de la cour administrative d’appel de Marseille en date du 7 novembre 2005 9, un skieur évoluant hors piste avait tenté de rechercher la responsabilité du maire pour défaut de signalisation.
En l’espèce, le skieur, qui empruntait un itinéraire de traverse situé entre deux pistes, s’était grièvement blessé sur le parcours. Le juge relève que la déclivité de la pente et la hauteur de la rupture de pente où s’est produit l’accident n’étaient pas excessives et ne présentaient pas de danger exceptionnel qui aurait dû faire l’objet d’une signalisation.
L’obligation du maire de prendre les précautions adaptées à la sécurité des skieurs est donc appréciée à la lueur d’un danger excédant ceux contre lesquels il appartient aux intéressés de se prémunir par un comportement prudent.
Elle sera donc appréciée moins strictement lorsque le skieur évolue en hors-piste, au regard du risque pris par celui-ci de sortir des pistes balisées.
Cependant, si l’article L. 2212-2 (5° ne distingue pas selon que l’accident a eu lieu sur une piste balisée ou non, le juge admi¬nistratif n’admet la responsabilité des communes en matière d’accident de ski survenu en dehors des pistes aménagées qu’à la condition que le dommage ait lieu sur un parcours habituellement emprunté par les skieurs.
C’est ce qu’a rappelé la cour administrative de Bordeaux dans un arrêt du 14 décembre 2004 10. En l’espèce, la victime est décédée après avoir été entraînée dans une avalanche qui s’est déclenchée dans un couloir en dehors des pistes aménagées. Or, la cour relève que ce couloir n’était pas emprunté de façon habituelle par un grand nombre de skieurs. L’absence de contrôle de l’état des lieux et de signalisation particulière du danger d’avalanche à l’endroit de l’accident n’est donc pas constitutive d’une faute de nature à engager la responsabilité de la commune.
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