FRERETUCK (12 avr 2009) disait:
Si vous voulez que l'on aille ailleurs, no problem pour moi.
Il ne s'agit pas que les speedeux aillent voir ailleurs mais que,étant exclus des zones balisées ou évoluent tous les autres pratiquants de sports de glisse du fait des problèmes de sécurité qu'ils entrainent,ils puissent disposer en retour de zones réservées pour eux et eux seuls...donc ils sont en droit d'avoir des compensations.
Evidemment ça impliquerait que personne d'autre n'y aille: je comprends aisément que les stations ne veuillent pas s'engager sur un terrain si polémique donc pour l'heure,on attend qu'un texte tombe d'en haut pour cadrer tout ça et ce texte ne tombera que quand il y aura statistiquement un nombre de pratiquants suffisamment important pour que se produisent suffisamment d'accidents graves: malheureusement,même si "les chiens" aboient,ce sera toujours pareil...
On en reparlera dans quelques années.
FRERETUCK (12 avr 2009) disait: L'activité ne se développera JAMAIS comme le ski car elle implique un apprentissage difficile et un investissement non négligeable sans parler des risques pour le pilote qu'il connait par avance.
Je ne dis pas qu'elle se développera comme le ski mais elle va se développer car le speed-riding est potentiellement un bon produit commercial: à en croire les publicités des écoles de SR,on peut voler en quelques jours et un speed-rider parlait plus haut de la facilité d'apprentissage du maniement de la voile disant aussi que l'activité se confirmerait comme une tendance majeure .
Et que je sache,si le brevet existe,il n'est pas obligatoire pour pratiquer mais seulement recommandé par la FFVL comme quoi tout n'est pas que lois contraignantes.
FRERETUCK (12 avr 2009) disait: Maintenant si vous voulez que l'on discute vraiment, merci de nous donner les coordonnées du directeur des pistes et demandons aussi au maire et à l'office du tourisme ce qu'ils pensent d'une éventuelle interdiction.
Alors là je te rassure tout de suite,le directeur des pistes considère qu'en l'absence de réglementation,les speed-riders pratiquent à leurs risques et périls ne sont ni plus ni moins responsables que les autres de mise en danger de la vie d'autrui sur les zones hors pistes du domaine skiable.
Quand à la mairie et à l'OT,je n'ai pas encore reçu de réponses mais je pense que dans un souci de cohérence,ils partagent la même opinion que le directeur du service des pistes donc que les speed-riders se réjouissent,personne à La Clusaz ne veut les voir partir!
D'autant que dans l'avenir,le speed-riding sera peut être la solution aux hivers mal enneigés sans que l'on ait à mettre des batteries de canons: quelques tas de neige claisemés et hop,hop,hop!
Ok,je---->[]
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