On ne saurait mieux résumer. 
La Suisse
PerGiocare
Le 19 janv. 2018 - 11:20
C'est de ça que tu parles ?
Tâcheron : se prononce Uber dans le XXI siècle ...
Bourse du Travail (où les gens allaient quotidiennement chercher du travail à la tâche) : se prononce "UberPop" au XXI siècle...
Juste les moyens qui ont changé ... le résultat = précarisation et exploitation, eux reviennent ... accompagnés, en France de la suppression progressive des gardes-fous du Code du Travail ...
Tâcheron : se prononce Uber dans le XXI siècle ...
Bourse du Travail (où les gens allaient quotidiennement chercher du travail à la tâche) : se prononce "UberPop" au XXI siècle...
Juste les moyens qui ont changé ... le résultat = précarisation et exploitation, eux reviennent ... accompagnés, en France de la suppression progressive des gardes-fous du Code du Travail ...
Oui, le développement du travail à la tâche. Qui permet surtout de maintenir un chômage massif et entretenir une "armée de réserve du capital", mobilisable au besoin... et dont on peut se délester une fois que les troupes ont cessé de servir.
j'hésite à poster ici, maintenant que je sais que ça ne me rapporte pas de points forum, mais bon, c'est trop important 
vendredi 9 février, sur RTS Deux, il y a un reportage sur Russi et Collombin: Western à la neige"
"Le gendre idéal contre le chien fou. Dans les années 70, le monde du ski s'est pris de passion pour un duel 100% helvétique entre bernhard Russi et Roland Collombin",
Je pense que ça peut être pas mal
vendredi 9 février, sur RTS Deux, il y a un reportage sur Russi et Collombin: Western à la neige"
"Le gendre idéal contre le chien fou. Dans les années 70, le monde du ski s'est pris de passion pour un duel 100% helvétique entre bernhard Russi et Roland Collombin",
Je pense que ça peut être pas mal
et pendant ce temps là, dans le plat pays...
lematin.ch
A priori, t'as le temps de chercher et tu nous dis quoi
Les Vosges, en comparaison, c'est (la) grave. ...
Édit : Bonagva, c'est bon, je sais. .....
Les Vosges, en comparaison, c'est (la) grave. ...
Édit : Bonagva, c'est bon, je sais. .....
Message modifié 1 fois. Dernière modification par Hellsass, 03/02/2018 - 12:49
Sardineaioli05
Le 3 févr. 2018 - 13:09
Blacksite ( 3 févr.) disait:
Tout le monde rigole de notre Baraque Fraiture.
Pourquoi ? J'comprends pas...
Blacksite ( 3 févr.) disait:
Tout le monde rigole de notre Baraque Fraiture.
Sinon on ne skie pas vraiment en Belgique, on glisse à l'horizontale (il n'y a pas vraiment de descente).
du coup vous ne pouvez même pas privilégier la montée...
"Deux heures de file voire trois pour avoir enfin du matériel de location, qui n'est d'ailleurs pas convenable du tout : chaussures trop petites, fixations foireuses, ... Et en le rapportant, un membre du personnel qui dit que la clientèle est "relativement lourde aujourd'hui" ... Trois quarts d'heure de file également à la cafétéria."
Ça a l'air assez derby pour aller boire une binch
Ça a l'air assez derby pour aller boire une binch
Sardineaioli05
Le 7 févr. 2018 - 19:27
Au nord de la France... Ils ont pleins de sports locaux là bas...
Une nouvelle bien sympa !
Après 130 ans d’absence, le chat sauvage est de retour à Genève
Suite à plus d’une année d’observations, la présence d’au moins une dizaine de chats sylvestres est avérée.
La nouvelle vient de tomber, mais cela fait plus d’un an que les gardes de l’environnement genevois observent le phénomène: le chat sylvestre, une espèce de chat sauvage, est de retour dans les forêts du canton. Le secret a été bien gardé «afin de s’assurer qu’il s’agissait bien de ce type d’animal», relève Gottlieb Dändliker, inspecteur de la faune.
Le petit félin, notamment reconnaissable à sa queue plutôt courte, massive et tigrée, ornée d’anneaux sombres, a officiellement disparu de notre contrée en 1887, année où les six derniers individus ont été aperçus à Dardagny et Russin. Chassé pour sa fourrure et victime de la destruction de son habitat sylvestre, il avait alors quitté les lieux.
Mais avait-il totalement déserté le canton? Difficile à dire, car cet animal «un peu mythique», glisse Gottlieb Dändliker, est aussi le champion de la discrétion. «Depuis des années, des gens en signalaient, quelquefois avec des photos à l’appui. Mais il était difficile de s’assurer qu’il s’agissait bien de chat sylvestre», poursuit l’inspecteur de la faune.
Cette fois, pourtant, la présence du félidé à Genève est avérée. Où cela? «Dans quatre sites différents, détaille Gottlieb Dändliker. Du côté de Satigny, des bois de Chancy et de la Versoix ainsi que le long de l’Allondon. C’est la preuve, réjouissante, que nos forêts sont redevenues plus naturelles.» Difficile pour l’heure d’estimer le nombre d’individus, «mais sur la base de nos observations et de photos, ils sont au moins une dizaine. Et la présence d’un chaton nous prouve qu’ils ont pu se reproduire.»
Cette faune sauvage a-t-elle de quoi mettre les promeneurs sur les pattes arrière? «Non, l’animal est farouche mais sans aucun danger pour l’homme, indique le spécialiste. En revanche, bien que de petite taille, il sait défendre son territoire, face aux renards ou à des chats domestiques, par exemple. Là, il peut devenir très méchant!»
Surnommé le petit tigre des bois en raison de son pelage, le chat sylvestre, qui s’était notamment replié sur les contreforts sauvages du Jura durant ses 130 ans d’absence, a peut-être profité des corridors biologiques pour reconquérir son ancien territoire genevois. Où il sera le bienvenu, car ce grand dévoreur de petits rongeurs peut être un auxiliaire utile à l’agriculture.
Le seul vrai danger pour lui, outre l’urbanisation, réside dans l’hybridation avec son cousin domestique «qui peut, à terme, faire disparaître la souche sauvage», précise Gottlieb Dändliker.
La Tribune de Genève
Après 130 ans d’absence, le chat sauvage est de retour à Genève
Suite à plus d’une année d’observations, la présence d’au moins une dizaine de chats sylvestres est avérée.
La nouvelle vient de tomber, mais cela fait plus d’un an que les gardes de l’environnement genevois observent le phénomène: le chat sylvestre, une espèce de chat sauvage, est de retour dans les forêts du canton. Le secret a été bien gardé «afin de s’assurer qu’il s’agissait bien de ce type d’animal», relève Gottlieb Dändliker, inspecteur de la faune.
Le petit félin, notamment reconnaissable à sa queue plutôt courte, massive et tigrée, ornée d’anneaux sombres, a officiellement disparu de notre contrée en 1887, année où les six derniers individus ont été aperçus à Dardagny et Russin. Chassé pour sa fourrure et victime de la destruction de son habitat sylvestre, il avait alors quitté les lieux.
Mais avait-il totalement déserté le canton? Difficile à dire, car cet animal «un peu mythique», glisse Gottlieb Dändliker, est aussi le champion de la discrétion. «Depuis des années, des gens en signalaient, quelquefois avec des photos à l’appui. Mais il était difficile de s’assurer qu’il s’agissait bien de chat sylvestre», poursuit l’inspecteur de la faune.
Cette fois, pourtant, la présence du félidé à Genève est avérée. Où cela? «Dans quatre sites différents, détaille Gottlieb Dändliker. Du côté de Satigny, des bois de Chancy et de la Versoix ainsi que le long de l’Allondon. C’est la preuve, réjouissante, que nos forêts sont redevenues plus naturelles.» Difficile pour l’heure d’estimer le nombre d’individus, «mais sur la base de nos observations et de photos, ils sont au moins une dizaine. Et la présence d’un chaton nous prouve qu’ils ont pu se reproduire.»
Cette faune sauvage a-t-elle de quoi mettre les promeneurs sur les pattes arrière? «Non, l’animal est farouche mais sans aucun danger pour l’homme, indique le spécialiste. En revanche, bien que de petite taille, il sait défendre son territoire, face aux renards ou à des chats domestiques, par exemple. Là, il peut devenir très méchant!»
Surnommé le petit tigre des bois en raison de son pelage, le chat sylvestre, qui s’était notamment replié sur les contreforts sauvages du Jura durant ses 130 ans d’absence, a peut-être profité des corridors biologiques pour reconquérir son ancien territoire genevois. Où il sera le bienvenu, car ce grand dévoreur de petits rongeurs peut être un auxiliaire utile à l’agriculture.
Le seul vrai danger pour lui, outre l’urbanisation, réside dans l’hybridation avec son cousin domestique «qui peut, à terme, faire disparaître la souche sauvage», précise Gottlieb Dändliker.
La Tribune de Genève
bonagva
Le 9 févr. 2018 - 15:50
Blacksite ( 7 févr.) disait:
Il y a quelques zones à Genève qui craignent (un peu, pas exagérer non plus !), Plainpalais en fait partie.
A mon avis, ce genre d'incidents est plus du à quelques débiles isolés et ce n'est pas nouveau, il y avait eu une vague il y a une dizaine d'années.
bonagva
Le 9 févr. 2018 - 16:26
Blacksite ( 9 févr.) disait:
Une nouvelle bien sympa !
Après 130 ans d’absence, le chat sauvage est de retour à Genève
Ça fait partie des très bonnes nouvelles de la semaine (enfin, pour moi !) ...
On en a déjà parlé mais, comme la chasse est interdite à Genève, ça a permis un retour de pas mal de bestioles, avec parfois des excès (cf sangliers) mais simples à gérer par les garde-chasses.
Et lorsque la chasse ouvre de l'autre côté de la frontière (France ou Canton de Vaud) on assiste à un afflux de réfugiés:
tdg.ch
Mais que fout l'extrême-droite ???
bonagva ( 9 févr.) disait:
Blacksite ( 9 févr.) disait:
Une nouvelle bien sympa !
Après 130 ans d’absence, le chat sauvage est de retour à Genève
Ça fait partie des très bonnes nouvelles de la semaine (enfin, pour moi !) ...
On en a déjà parlé mais, comme la chasse est interdite à Genève, ça a permis un retour de pas mal de bestioles, avec parfois des excès (cf sangliers) mais simples à gérer par les garde-chasses.
Et lorsque la chasse ouvre de l'autre côté de la frontière (France ou Canton de Vaud) on assiste à un afflux de réfugiés:
tdg.ch
Mais que fout l'extrême-droite ???
Elle s'entraine en France ?
20min.ch
ronron ( 9 févr.) disait:
C'est pour ça qu'on retrouve plein de chasseurs suisses en France.
francetvinfo.fr
bonagva
Le 9 févr. 2018 - 16:46
Mais c'est normal, le pauvre les a confondus avec des biches:
h2oradio.fr
Certains sketches sont en-deça de la réalité ...
bonagva
Le 9 févr. 2018 - 18:05
ak ( 3 févr.) disait:
j'hésite à poster ici, maintenant que je sais que ça ne me rapporte pas de points forum, mais bon, c'est trop important
vendredi 9 février, sur RTS Deux, il y a un reportage sur Russi et Collombin: Western à la neige"
"Le gendre idéal contre le chien fou. Dans les années 70, le monde du ski s'est pris de passion pour un duel 100% helvétique entre bernhard Russi et Roland Collombin",
Je pense que ça peut être pas mal
Ça passait hier soir sur RTS Un et repasse ce soir à 22h sur RTS Deux
Sinon, sur le web:
pages.rts.ch
Toute ma jeunesse, la Suisse s'arrêtait lors des descentes ...
Surtout que c'est hyper gentil et intelligent un âne
En France, ça lui coûterait 6 000 € d'amende (4*1 500 euros) + dommages au proprio
pas de taule
"Le fait, sans nécessité, publiquement ou non, de donner volontairement la mort à un animal domestique ou apprivoisé ou tenu en captivité est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la 5e classe" (1 500&euro
En France, ça lui coûterait 6 000 € d'amende (4*1 500 euros) + dommages au proprio
pas de taule
"Le fait, sans nécessité, publiquement ou non, de donner volontairement la mort à un animal domestique ou apprivoisé ou tenu en captivité est puni de l'amende prévue pour les contraventions de la 5e classe" (1 500&euro
Message modifié 1 fois. Dernière modification par squier, 09/02/2018 - 19:43
Oui, je trouve la violence contre les animaux prise trop à la légère.
En Russie, on a quelqu'un qui a lavé sa voiture en utilisant son chat... comme éponge !
Pour les ânes oui c'est super intelligent. Et ça peut être très affectueux, quand ça veut. Il y en a quelques uns près de chez moi et je ne comprends pas ce qui peut pousser quelqu'un à les tuer.
En Russie, on a quelqu'un qui a lavé sa voiture en utilisant son chat... comme éponge !
Pour les ânes oui c'est super intelligent. Et ça peut être très affectueux, quand ça veut. Il y en a quelques uns près de chez moi et je ne comprends pas ce qui peut pousser quelqu'un à les tuer.
ak ( 9 févr.) disait:
ronron ( 9 févr.) disait:
C'est pour ça qu'on retrouve plein de chasseurs suisses en France.
francetvinfo.fr
Visiblement, la délégation suisse aux JO ne devrait pas être trop dépaysée
lenouvelliste.ch
bonagva
Le 9 févr. 2018 - 20:30
Hellsass ( 9 févr.) disait:
30 millions d'amis, c'est une émission culinaire en Corée ? (et en Suisse ? ).
T'es dégueu ...
Allez, je vous laisse, ce soir c'est fondue au fromage*
* je précise, certains auraient imaginé une chinoise au chat ...
bonagva
Le 9 févr. 2018 - 20:32
bonagva ( 9 févr.) disait:
Hellsass ( 9 févr.) disait:
30 millions d'amis, c'est une émission culinaire en Corée ? (et en Suisse ? ).
T'es dégueu ...
Allez, je vous laisse, ce soir c'est fondue au fromage*
* je précise, certains auraient imaginé une chinoise au chat ...
J'ai une bonne adresse pour de la viande séchée etc. ..... à la sortie de Zinal.
Mais je pense à un truc là. ... Y font aussi dans le gibier d'autoroute et le chat tu penses ?
Ânes abattus en Savoie : quelles sanctions pour l'auteur ?
Chaque mois, une ou plusieurs affaires de maltraitance ou de cruauté envers les animaux surgit dans l'actualité. Si les peines commencent à s'alourdir pour les auteurs de ces actes envers les chiens ou les chats, justice semble plus difficile à faire lorsqu'il s'agit de chevaux.
L'histoire de ces ânes abattus dimanche dernier en Savoie par un chasseur suisse s'est répandue sur les réseaux sociaux comme une traînée de poudre et a rapidement été reprise par les médias. Partout sur le web, les défenseurs de la cause animale sont montés au créneau et demandent à ce que l'auteur des faits soit puni. L'homme a fait connaître son identité à la police, qui a ouvert une enquête. Celui-ci devrait donc - sauf rebondissement - devoir répondre de ses actes devant la justice française.
Ce cas, si horrible soit-il, n'est malheureusement pas le premier et bien d'autres équidés avant ces ânes se sont retrouvés les cibles de balles de fusil des chasseurs. Bien souvent, les personnes incriminées - lorsqu'elles sont identifiées - utilisent comme argument principal une confusion d'un cheval avec un animal de gibier, comme une biche ou un cerf... voire même un sanglier ! En juin dernier, dans le même département, un chasseur qui avait abattu un cheval après l'avoir confondu avec une biche a écopé de deux amendes de 200€ chacune. Une peine jugée par les associations de défense des animaux comme "dérisoire", et qui avait été prononcée comme telle suite à l'aspect accidentel de l'événement. Mais dans le cas de ces ânes, l'emplacement des balles ainsi que l'acharnement dont ils ont été victimes laissent à penser que l'acte n'était pas accidentel.
Jusqu'en 2015, comme les animaux étaient encore considérés par la loi française comme des biens meubles, abattre un cheval revenait à une destruction de bien volontaire. Cette notion obligeait le coupable à verser une indemnité de la valeur de l'animal à son propriétaire. Restait alors à la libre appréciation du juge d'alourdir ou non la peine en fonction du préjudice moral et/ou de la cruauté de l'acte.
Cependant, depuis 2015, les animaux sont considérés par le Code civil ( Article 515-14 ) comme "des êtres vivants doués de sensibilité". Désormais, les auteurs d'actes de cruauté envers un animal s'exposent à une peine maximale de deux ans de prison et de 30.000€ d'amende. Si ce plafond n'a encore jamais été atteint, certains individus ont déjà écopé de peines de prison fermes, comme cet homme qui doit passer deux ans derrière les barreaux après avoir mis le feu au chat de sa compagne et l'avoir jeté par la fenêtre . Plus récemment, un homme de 28 ans était condamné à six mois de prison fermes pour avoir battu à mort un chat errant à coups de pied.
Pour l'heure, aucune condamnation de cette ampleur n'a été donnée dans le cas de l'abattage d'un équidé. Reste à savoir si le massacre de ces quatre ânes changera la donne...
Adèle VAUPRÉ (ChevalMag)
Chaque mois, une ou plusieurs affaires de maltraitance ou de cruauté envers les animaux surgit dans l'actualité. Si les peines commencent à s'alourdir pour les auteurs de ces actes envers les chiens ou les chats, justice semble plus difficile à faire lorsqu'il s'agit de chevaux.
L'histoire de ces ânes abattus dimanche dernier en Savoie par un chasseur suisse s'est répandue sur les réseaux sociaux comme une traînée de poudre et a rapidement été reprise par les médias. Partout sur le web, les défenseurs de la cause animale sont montés au créneau et demandent à ce que l'auteur des faits soit puni. L'homme a fait connaître son identité à la police, qui a ouvert une enquête. Celui-ci devrait donc - sauf rebondissement - devoir répondre de ses actes devant la justice française.
Ce cas, si horrible soit-il, n'est malheureusement pas le premier et bien d'autres équidés avant ces ânes se sont retrouvés les cibles de balles de fusil des chasseurs. Bien souvent, les personnes incriminées - lorsqu'elles sont identifiées - utilisent comme argument principal une confusion d'un cheval avec un animal de gibier, comme une biche ou un cerf... voire même un sanglier ! En juin dernier, dans le même département, un chasseur qui avait abattu un cheval après l'avoir confondu avec une biche a écopé de deux amendes de 200€ chacune. Une peine jugée par les associations de défense des animaux comme "dérisoire", et qui avait été prononcée comme telle suite à l'aspect accidentel de l'événement. Mais dans le cas de ces ânes, l'emplacement des balles ainsi que l'acharnement dont ils ont été victimes laissent à penser que l'acte n'était pas accidentel.
Jusqu'en 2015, comme les animaux étaient encore considérés par la loi française comme des biens meubles, abattre un cheval revenait à une destruction de bien volontaire. Cette notion obligeait le coupable à verser une indemnité de la valeur de l'animal à son propriétaire. Restait alors à la libre appréciation du juge d'alourdir ou non la peine en fonction du préjudice moral et/ou de la cruauté de l'acte.
Cependant, depuis 2015, les animaux sont considérés par le Code civil ( Article 515-14 ) comme "des êtres vivants doués de sensibilité". Désormais, les auteurs d'actes de cruauté envers un animal s'exposent à une peine maximale de deux ans de prison et de 30.000€ d'amende. Si ce plafond n'a encore jamais été atteint, certains individus ont déjà écopé de peines de prison fermes, comme cet homme qui doit passer deux ans derrière les barreaux après avoir mis le feu au chat de sa compagne et l'avoir jeté par la fenêtre . Plus récemment, un homme de 28 ans était condamné à six mois de prison fermes pour avoir battu à mort un chat errant à coups de pied.
Pour l'heure, aucune condamnation de cette ampleur n'a été donnée dans le cas de l'abattage d'un équidé. Reste à savoir si le massacre de ces quatre ânes changera la donne...
Adèle VAUPRÉ (ChevalMag)
Merci pour l'info : les animaux ayant changé de statut en droit, c'est plus les mêmes sanctions et elles sont + lourdes
Une chose est sure : il y aura du monde le jour de l'audience pour accueillir notre ami
Une chose est sure : il y aura du monde le jour de l'audience pour accueillir notre ami
alexdeladombes
Le 10 févr. 2018 - 22:54
Et pour les chats, les vendre à un kebab, c'est un crime?
Oups, ok! Je sors! ---->[ ]
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inscrit le 06/11/11
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