PerGiocare ( 2 mai) disait:
ronron disait:Non mais le Nord et le Sud, c'est des conneries.
Vu comment t'es tourné, c'est pas pareil.
C'est quel jour Sainte Ipn ?
C'est tous les jours par là...
PerGiocare ( 2 mai) disait:
ronron disait:Non mais le Nord et le Sud, c'est des conneries.
Vu comment t'es tourné, c'est pas pareil.
C'est quel jour Sainte Ipn ?
ak ( 2 mai) disait:
Hellsass ( 2 mai) disait:
Habari Gani ( 2 mai) disait:
Désolé ça a bégayé
T'as beugu ?
J'ai toujours pas compris...
ronron ( 2 mai) disait:
Un éclaircissement sur la réaction suédoise au Covid.
La Suède est l'un des rares pays de l'Union européenne à ne pas avoir confiné sa population pour stopper la propagation du Covid-19. Les chercheurs relient cette décision à une culture suédoise favorisant une responsabilité basée sur un respect mutuel entre État et citoyens.
franceculture.fr
Le cas suédois est intéressant, ils ont fait (à mots couverts) le pari de l'immunité collective.
Si on regarde les choses un peu objectivement:
- pour faire des comparaisons il faut regarder les pays voisins (Finlande, Norvège, Danemark), une comparaison avec la France n'a aucun sens (les flux migratoires ou touristiques n'ont rien à voir), la densité de population en zone urbaine n'est pas comparable.
- pas de confinement: la mortalité est nettement plus haute en Suède que chez ses voisins
- Cependant le nombre de cas graves reste dans les capacités hospitalières du pays.
- Ils ont fait un pari, laisser le virus se répandre est préférable à des mesures de confinement pénalisante pour l'économie locale. Et ça a l'air de marcher.
Ceci étant dit, pas sur que ce soit transposable à un autre pays:
- La densité de population en Suède est très faible, y compris à Stockholm, le virus se propage donc moins bien.
- Le confinement quasi mondial a stoppé net l'importation de cas
On se retrouve avec un virus qui se propage peu, et donc des conséquences sanitaires bien moins importantes que dans d'autres pays.
Les pays voisins ont fait le choix du confinement, la mortalité y est beaucoup moins importante, ce qui justifie l'utilité du confinement.
Le pari de la Suède, c'est que tant que le système de santé tient bon, il n'y a rien à faire. C'est plutôt juste dans le cas où le virus n'est pas saisonnier. Ils prennent d'un coup les morts (et ils encaissent), tout en construisant une immunité collective.
On peut en déduire que tant que le virus se propage lentement (pour des raisons de faible densité de population et d'échange internationaux faibles), le laisser faire est la meilleure solution.
Maintenant, pas sur que l'on puisse en tirer un enseignement pour le cas français: la propagation n'est pas la même, le système se retrouve saturé. Au delà des morts dans les deux pays, dont on peu arguer qu'ils s'agit d'inutiles (des vieux et des gros), il y a l'impact sur le système de santé: le laisser s'écrouler est inacceptable. La Suède a pu se le permettre grâce à une propagation plus faible du virus, en France ce n'est pas transposable.
Reste le critère humain: vaut il mieux laisser crever des vieux et des gros que détruire l'économie locale ? Chacun est libre de se faire une opinion
Pour l'aspect respect des citoyens, confiance dans la responsabilité individuelle, c'est du pipo, jusqu'à début mars, la france avait la même politique. Et puis le compteurs de morts s'est affolé.
Du côté de l'immunité collective, c'est un échec total, si on se base sur le taux de mortalité de 0.5%, ils ne sont même pas à 10% de la population infectée.
Le poulpe ( 2 mai) disait:
ronron ( 2 mai) disait:
Un éclaircissement sur la réaction suédoise au Covid.
La Suède est l'un des rares pays de l'Union européenne à ne pas avoir confiné sa population pour stopper la propagation du Covid-19. Les chercheurs relient cette décision à une culture suédoise favorisant une responsabilité basée sur un respect mutuel entre État et citoyens.
franceculture.fr
Pour l'aspect respect des citoyens, confiance dans la responsabilité individuelle, c'est du pipo, jusqu'à début mars, la france avait la même politique. Et puis le compteurs de morts s'est affolé.
Nan, mais ça c'est encore un autre problème; quand le 7 mars tu as le président de la république qui incite les gens à continuer à sortir, depuis un théatre, ben le coté éducation/pédagogie/responsabilisation/toussa... tu te le mets au cul !
Hellsass ( 2 mai) disait:
Le poulpe ( 2 mai) disait:
ronron ( 2 mai) disait:
Un éclaircissement sur la réaction suédoise au Covid.
La Suède est l'un des rares pays de l'Union européenne à ne pas avoir confiné sa population pour stopper la propagation du Covid-19. Les chercheurs relient cette décision à une culture suédoise favorisant une responsabilité basée sur un respect mutuel entre État et citoyens.
franceculture.fr
Pour l'aspect respect des citoyens, confiance dans la responsabilité individuelle, c'est du pipo, jusqu'à début mars, la france avait la même politique. Et puis le compteurs de morts s'est affolé.
Nan, mais ça c'est encore un autre problème; quand le 7 mars tu as le président de la république qui incite les gens à continuer à sortir, depuis un théatre, ben le coté éducation/pédagogie/responsabilisation/toussa... tu te le mets au cul !
C'est pareil en Suède. Continuez à vivre...
squier ( 2 mai) disait:
Pour les Coupes d'Europe, c'est cuit : ce sera année blanche
France et Italie ont déjà figé leur championnat, les autres vont suivre
Les gars n'auront pas assez de matchs dans les jambes
squier ( 2 mai) disait:
des stades de 80 000, c'est pas avant 3 ans
et du huis clos, c'est la cata
bref,....
Le poulpe ( 2 mai) disait:
ronron ( 2 mai) disait:
Un éclaircissement sur la réaction suédoise au Covid.
La Suède est l'un des rares pays de l'Union européenne à ne pas avoir confiné sa population pour stopper la propagation du Covid-19. Les chercheurs relient cette décision à une culture suédoise favorisant une responsabilité basée sur un respect mutuel entre État et citoyens.
franceculture.fr
Le cas suédois est intéressant, ils ont fait (à mots couverts) le pari de l'immunité collective.
Si on regarde les choses un peu objectivement:
- pour faire des comparaisons il faut regarder les pays voisins (Finlande, Norvège, Danemark), une comparaison avec la France n'a aucun sens (les flux migratoires ou touristiques n'ont rien à voir), la densité de population en zone urbaine n'est pas comparable.
- pas de confinement: la mortalité est nettement plus haute en Suède que chez ses voisins
- Cependant le nombre de cas graves reste dans les capacités hospitalières du pays.
- Ils ont fait un pari, laisser le virus se répandre est préférable à des mesures de confinement pénalisante pour l'économie locale. Et ça a l'air de marcher.
Ceci étant dit, pas sur que ce soit transposable à un autre pays:
- La densité de population en Suède est très faible, y compris à Stockholm, le virus se propage donc moins bien.
- Le confinement quasi mondial a stoppé net l'importation de cas
On se retrouve avec un virus qui se propage peu, et donc des conséquences sanitaires bien moins importantes que dans d'autres pays.
Les pays voisins ont fait le choix du confinement, la mortalité y est beaucoup moins importante, ce qui justifie l'utilité du confinement.
Le pari de la Suède, c'est que tant que le système de santé tient bon, il n'y a rien à faire. C'est plutôt juste dans le cas où le virus n'est pas saisonnier. Ils prennent d'un coup les morts (et ils encaissent), tout en construisant une immunité collective.
On peut en déduire que tant que le virus se propage lentement (pour des raisons de faible densité de population et d'échange internationaux faibles), le laisser faire est la meilleure solution.
Maintenant, pas sur que l'on puisse en tirer un enseignement pour le cas français: la propagation n'est pas la même, le système se retrouve saturé. Au delà des morts dans les deux pays, dont on peu arguer qu'ils s'agit d'inutiles (des vieux et des gros), il y a l'impact sur le système de santé: le laisser s'écrouler est inacceptable. La Suède a pu se le permettre grâce à une propagation plus faible du virus, en France ce n'est pas transposable.
Reste le critère humain: vaut il mieux laisser crever des vieux et des gros que détruire l'économie locale ? Chacun est libre de se faire une opinion
Pour l'aspect respect des citoyens, confiance dans la responsabilité individuelle, c'est du pipo, jusqu'à début mars, la france avait la même politique. Et puis le compteurs de morts s'est affolé.
Du côté de l'immunité collective, c'est un échec total, si on se base sur le taux de mortalité de 0.5%, ils ne sont même pas à 10% de la population infectée.
Bon quand même les suédois le 15 mars ils sortent de 6 mois sans avoir vu le soleil.
Donc le mec qui leur parle de confinement il finit la tête en haut d'un ski
En Suède, ls ont l'art de décourager les fêtards qui voudraient se réunir en masse 
journaldemontreal.com
Quelques hippopotames en plus au parc de la tête d’or, ça fera l’affaire.
m.youtube.com
Sinon, plusieurs centaines de millions de masques chirurgicaux (et inutiles, mais bientôt obligatoires d'après not' président) à quasi 1 euro/pièce dans la grande distri à partir de lundi, ça dérange personne ??
Alors que jusqu'à maintenant, le personnel de santé était (est toujours ??) largement rationné, voir sous équipé 
leparisien.fr
ordre.pharmacien.fr
Pas tout à fait vrai, mais surtout pas complètement faux...
"MASQUES en GMS
La vérité sur la catastrophe sanitaire
L’annonce de la vente des masques chirurgicaux en grande et moyenne surface a mis notre profession dans un état d’incompréhension et de colère immense.
En effet, depuis près de deux mois, chaque jour, chaque pharmacien d’officine a dû expliquer qu’il n’avait aucun masque disponible à :
- à chaque médecin qui faisait une ordonnance pout tel ou tel patient,
- à chaque membre de sa famille,
- à chaque ami proche,
- à chaque patient diabétique, asthmatique, sous traitement anticancéreux,…
- à chaque patient confiné avec un membre de sa famille atteint du COVID, - à chaque élu,
- à chaque chef d’entreprise,
- à chaque représentant de forces de l’ordre (gendarmerie, police, pompiers&hellip
La vérité des chiffres.
Ces derniers jours, les annonces se sont succédées dans les médias.
Intermarché le premier a donné un chiffre : 70 millions de masques en stock.
Puis, Leclerc s’est vanté d’en avoir 170 millions.
Ensuite, Alexandre Bompard, PDG de Carrefour ne voulant être en reste a affirmé sur BFM TV sa position de leader avec 225 millions.
Ceci sans compter les autres centrales : Casino, Cora, etc…
Donc on peut raisonnablement estimer à plus de 750 millions la quantité de masques détournés de leur usage médical.
Ramené à l’échelle de chacune des 12 régions métropolitaines, cela fait un stock pour chaque région de 62,5 millions de masques.
Ce chiffre est à rapprocher du bilan de distribution effectué par l’URPS Pharmacien. En Grand Est, les données au 29 avril à 9h30 font état de 1.862.882 masques distribués aux professions de Santé.
Si des stocks n’avaient été constitués par la GMS, les pharmaciens auraient pu distribuer TRENTE fois plus de masques.
Le nombre de patients contaminés aurait pu être divisé par TRENTE.
Le nombre d’hospitalisation aurait pu être divisé par TRENTE.
Le nombre d’admissions en réanimation aurait pu être divisé par TRENTE.
Le nombre de décès aurait pu être divisé par TRENTE.
Il ne fera aucun doute que les noms des responsables de cette catastrophe sanitaire se cachent derrière un acronyme de trois lettres : G M S.
Aujourd’hui notre profession appelle à la réquisition immédiate des masques détenus par ces enseignes et à leur distribution par le seul circuit garant de la Santé Publique que constitue celui des pharmacies.
MOBILISONS NOUS
- Pour la distribution en officine
- Contre le hold-up de GMS
Par un collectif de pharmaciens"
facebook.com
Sardineaioli05 ( 2 mai) disait:
ak ( 2 mai) disait:
Hellsass ( 2 mai) disait:
Habari Gani ( 2 mai) disait:
Désolé ça a bégayé
T'as beugu ?
J'ai toujours pas compris...
C'est énervant hein ?
Hellsass ( 2 mai) disait:
Pas tout à fait vrai, mais surtout pas complètement faux...
"MASQUES en GMS
La vérité sur la catastrophe sanitaire
L’annonce de la vente des masques chirurgicaux en grande et moyenne surface a mis notre profession dans un état d’incompréhension et de colère immense.
En effet, depuis près de deux mois, chaque jour, chaque pharmacien d’officine a dû expliquer qu’il n’avait aucun masque disponible à :
- à chaque médecin qui faisait une ordonnance pout tel ou tel patient,
- à chaque membre de sa famille,
- à chaque ami proche,
- à chaque patient diabétique, asthmatique, sous traitement anticancéreux,…
- à chaque patient confiné avec un membre de sa famille atteint du COVID, - à chaque élu,
- à chaque chef d’entreprise,
- à chaque représentant de forces de l’ordre (gendarmerie, police, pompiers&hellip
La vérité des chiffres.
Ces derniers jours, les annonces se sont succédées dans les médias.
Intermarché le premier a donné un chiffre : 70 millions de masques en stock.
Puis, Leclerc s’est vanté d’en avoir 170 millions.
Ensuite, Alexandre Bompard, PDG de Carrefour ne voulant être en reste a affirmé sur BFM TV sa position de leader avec 225 millions.
Ceci sans compter les autres centrales : Casino, Cora, etc…
Donc on peut raisonnablement estimer à plus de 750 millions la quantité de masques détournés de leur usage médical.
Ramené à l’échelle de chacune des 12 régions métropolitaines, cela fait un stock pour chaque région de 62,5 millions de masques.
Ce chiffre est à rapprocher du bilan de distribution effectué par l’URPS Pharmacien. En Grand Est, les données au 29 avril à 9h30 font état de 1.862.882 masques distribués aux professions de Santé.
Si des stocks n’avaient été constitués par la GMS, les pharmaciens auraient pu distribuer TRENTE fois plus de masques.
Le nombre de patients contaminés aurait pu être divisé par TRENTE.
Le nombre d’hospitalisation aurait pu être divisé par TRENTE.
Le nombre d’admissions en réanimation aurait pu être divisé par TRENTE.
Le nombre de décès aurait pu être divisé par TRENTE.
Il ne fera aucun doute que les noms des responsables de cette catastrophe sanitaire se cachent derrière un acronyme de trois lettres : G M S.
Aujourd’hui notre profession appelle à la réquisition immédiate des masques détenus par ces enseignes et à leur distribution par le seul circuit garant de la Santé Publique que constitue celui des pharmacies.
MOBILISONS NOUS
- Pour la distribution en officine
- Contre le hold-up de GMS
Par un collectif de pharmaciens"
facebook.com
Par trente ? C’est le collectif des apothicaires marseillais ?
Hellsass ( 2 mai) disait:
Il ne fera aucun doute que les noms des responsables de cette catastrophe sanitaire se cachent derrière un acronyme de trois lettres : G M S.
bonagva ( 2 mai) disait:
Le poulpe ( 2 mai) disait:
I’m Batman
Heu, t'as compris que ça se chopait par la bouche et le nez ?
bonagva ( 2 mai) disait:
Le poulpe ( 2 mai) disait:
Heu, t'as compris que ça se chopait par la bouche et le nez ?
monopopow ( 2 mai) disait:
Quand on en aura marre d'etre gouverné et manipulé par LA Banque ...
Tout n'est que conflit d'interet ... c'est a gerber a force ... non ?
Et on se laisse faire par ces criminels ... on est vraiment maso ...
Habari Gani ( 2 mai) disait:
Le lien que j’ai trouvé fait état d’une différenciation entre contribuables genevois et non contribuables genevois pour les études en soins infirmiers avec un coût de plus de 13000 euros par an pour les seconds. Mais c’est difficile de croiser cette info avec d’autres sources pour la confirmer ou l’infirmer
D'après toi, c'est quoi un "non contribuable Genevois" ?
Ben, c'est quelqu'un qui ne paie pas ses impôts sur Genève et donc qu'il n'y habite pas ...
Et pour celui qui y habite, et ce, indépendamment de sa nationalité ?
Directement à la source:
hes-so.ch
Et plus précisément sur les coûts:
hes-so.ch
En clair, 120€ d'admission + 800€ par année et comme la formation se fait en 3 ans, ça nous fait un total 2520€, soit un demi-salaire mensuel moyen en Suisse.
Ok, il y a des frais annexes, indiqués sur le lien: livres, documents d'enseignement, matériel d'atelier, déplacements sur sites d'étude, etc ...
Allez, au diable l'avarice, on double et on arrive à l'équivalent d'un salaire mensuel suisse.
Quand tu connais le nombre d'étudiants français en Suisse, le nombre encore plus élevé en Belgique et, qu'en France, vous importez aussi massivement infirmiers et médecins formés au frais du contribuable étranger, j'ai comme un doute sur l'opportunité de tes interventions sur ce sujet ...
Perso, je vais en rester là, essayer de passer un message à quelqu'un qui ne veut pas écouter, c'est drôle jusqu'à un certain point.
PS: sur le ruissellement "négligeable", et juste pour les Suisses qui achetaient leur viande en France:
rts.ch
anor@k ( 2 mai) disait:
monopopow ( 2 mai) disait:
Quand on en aura marre d'etre gouverné et manipulé par LA Banque ...
Tout n'est que conflit d'interet ... c'est a gerber a force ... non ?
Et on se laisse faire par ces criminels ... on est vraiment maso ...
Quand on en aura marre, qu'est-ce qu'on fera ?
On retournera notre petit pays de gaulois ou on retournera bien gentiment aux urnes ?
Je ne vois pas tant de personnes que ça soutenir les black-blocs, en général...
bonagva ( 2 mai) disait:
Habari Gani ( 2 mai) disait:
Le lien que j’ai trouvé fait état d’une différenciation entre contribuables genevois et non contribuables genevois pour les études en soins infirmiers avec un coût de plus de 13000 euros par an pour les seconds. Mais c’est difficile de croiser cette info avec d’autres sources pour la confirmer ou l’infirmer
D'après toi, c'est quoi un "non contribuable Genevois" ?
Ben, c'est quelqu'un qui ne paie pas ses impôts sur Genève et donc qu'il n'y habite pas ...
Et pour celui qui y habite, et ce, indépendamment de sa nationalité ?
Directement à la source:
hes-so.ch
Et plus précisément sur les coûts:
hes-so.ch
En clair, 120€ d'admission + 800€ par année et comme la formation se fait en 3 ans, ça nous fait un total 2520€, soit un demi-salaire mensuel moyen en Suisse.
Ok, il y a des frais annexes, indiqués sur le lien: livres, documents d'enseignement, matériel d'atelier, déplacements sur sites d'étude, etc ...
Allez, au diable l'avarice, on double et on arrive à l'équivalent d'un salaire mensuel suisse.
Quand tu connais le nombre d'étudiants français en Suisse, le nombre encore plus élevé en Belgique et, qu'en France, vous importez aussi massivement infirmiers et médecins formés au frais du contribuable étranger, j'ai comme un doute sur l'opportunité de tes interventions sur ce sujet ...
Perso, je vais en rester là, essayer de passer un message à quelqu'un qui ne veut pas écouter, c'est drôle jusqu'à un certain point.
PS: sur le ruissellement "négligeable", et juste pour les Suisses qui achetaient leur viande en France:
rts.ch
un petit salaire suisse... c'est exactement ce que m'ont couté mes 5 années d'études en haute école sociale.
photocopies comprises...
alors les français ont bien essayés de me débaucher à Briançon... mais en fait, non... j'ai fait le lâche 
pourtant, dieu sait que la région me plait...
anor@k ( 2 mai) disait:
monopopow ( 2 mai) disait:
Quand on en aura marre d'etre gouverné et manipulé par LA Banque ...
Tout n'est que conflit d'interet ... c'est a gerber a force ... non ?
Et on se laisse faire par ces criminels ... on est vraiment maso ...
Quand on en aura marre, qu'est-ce qu'on fera ?
On retournera notre petit pays de gaulois ou on retournera bien gentiment aux urnes ?
Je ne vois pas tant de personnes que ça soutenir les black-blocs, en général...
karamazofaucunlien ( 2 mai) disait:
...
T'as perdu ton âme révolutionnaire mec, souviens toi quand tu partais sur un son
monopopow ( 2 mai) disait:
...
Je ne vois pas tant de personnes que ça soutenir les black-blocs, en général...
On est tous manipulé sur 10 etages ...
Les Black Block ? y a les vrais rebelles et les Keuf dedans ... non ?
le but ca va pas etre de casser des vitrines ou du flic ... mais va falloir une prise de conscience generale
Tant que l'on ne rependra pas NOTRE Banque, on aura toujours les Medias et les Politiques corrompu
le jeu est pipé ...
LA solution ...
une assemblée citoyenne tirée au sort qui controle la liberté des medias, et les conflits d'interet politiques
qui controle la Police et l'Armée ...
apres comment y arriver ? ... je sais pas
La Violence ... elle ne fait pas consensus
Le Vote ... Actuellement c'est un theatre , une farce organisé par LA Banque
Conscience collective ... c'est le seul espoir ...
C'est peut être mieux formulé, mais je n'aime pas trop quand même...
Sinon, oui, pour la banque, j'en ai parlé précédemment sur ce topic :
anor@k (17 avril) disait:
Donc, Ouest-France pèse Le Figaro et Le Monde réunis en termes de tirages quotidiens.
https://www.acpm.fr
Et le plus grand groupe de PQR en France s'appelle EBRA (Est-Bourgogne-Rhône-Alpes) avec ces titres :
L'Alsace (Haut-Rhin)
Le Bien public (Côte-d'or)
Le Dauphiné libéré (Ardèche, Drôme, Hautes-Alpes, Haute-Savoie, Isère, Savoie) / Vaucluse matin (Vaucluse)
Dernières Nouvelles d'Alsace (Bas-Rhin)
L'Est républicain (Doubs, Haute-Saône, Meurthe-et-Moselle, Meuse, Territoire de Belfort)
Le Journal de Saône-et-Loire (Saône-et-Loire)
Le Progrès (Ain, Haute-Loire, Jura, Loire, Rhône)
Le Républicain lorrain (Moselle)
Vosges Matin (Vosges)
et est détenu par le Crédit Mutuel...
fr.wikipedia.org
Tu es de quel coin comme département monopopow, juste pour savoir si on lit les mêmes infos ?
bonagva ( 2 mai) disait:
Perso, je vais en rester là, essayer de passer un message à quelqu'un qui ne veut pas écouter, c'est drôle jusqu'à un certain point.
Je crois qu'il vaut mieux parce que quand on ne parle pas la même langue il est difficile d'échanger
On est parti d'un sujet qui portait, au regard du nombre d’infirmiers frontaliers à l’hôpital de Genève sur le fait que la France, avec son système d'enseignement gratuit, paie la formation d'infirmiers auxquels elle ne propose pas de boulot et qui sont engagés par des hôpitaux suisses, exercent une fonction essentielle et paient des impôts là-bas.
Et là-dessus t'es parti en vrille
bonagva ( 1 mai) disait:
Habari Gani ( 1 mai) disait:
Sur le point ici en question, cette "gratuité" est payée par des impôts (donc ensuite de la dette) pour former des gens qui vont en l’occurrence payer des impôts en Suisse et, en outre, assurer une fonction essentielle (santéen Suisse.
Sur ce point tu as tout faux, une partie non négligeable des impôts des frontaliers finit en France et comme leur salaires sont autrement plus élevés qu'en France, ce ne sont pas que des cacahuètes.
A mon avis, sur l'arc de sa vie professionnelle, un médecin/infirmier formé en France et travaillant en Suisse finira par rapporter davantage à l'état français que ce même médecin/infirmier travaillant en France.
Comme le système est assez complexe puisque variant d'un canton à l'autre, un site géré par une association de frontaliers explique comment ça se passe.
frontalier.org
J'avais prétendument "tout faux" quand je disais que les infirmiers en question allaient "payer des impôts en Suisse"
Et bien non: ils paient des impôts en Suisse: l'impôt sur le revenu. Qui a tout faux là?
Alors tu peux bien essayer de retomber sur ses pattes par rapport à ce "tout faux" qui est en fait rigoureusement exact en sortant la compensation financière de 3,5% mentionnée sur ton site frontalier.org. Outre que cette compensation financière ne change rien au fait que l'impôt est payé en Suisse sa nature de compensation financière ne permet aucunement de la rapprocher d'un reversement du produit de l’impôt sur le revenu (je simplifie les termes ici). D'ailleurs c'est 3,5% de la masse salariale brute. Des accords de compensation financière il y en a dans pas mal d'accords ou traités internationaux: ca n'a pas la nature de fiscalité et ça ne change pas la qualification de contribuable.
Mais comme tu ne me feras certainement pas confiance et pas davantage à une source française, je vais te renvoyer à un avis de votre conseil fédéral du 20 novembre 2013 (parlament.ch Pas de crainte c'est très court:
"Dans le canton de Genève, les frontaliers sont imposés à la source sur leurs salaires obtenus dans ce canton. L'imposition des rémunérations est donc effectuée dans l'Etat du lieu de travail, conformément au principe précité de la convention franco-suisse (art. 17 par. 2) et ne déroge pas à celle-ci. Depuis 1973, à la suite d'un accord particulier, le canton de Genève verse une compensation financière de 3,5 pour cent de la masse salariale brute aux départements français limitrophes de l'Ain et de la Haute-Savoie. Cette compensation financière ne revêt pas un caractère fiscal, mais vise à indemniser les collectivités publiques dans lesquelles sont domiciliés les frontaliers travaillant à Genève au titre des charges financières qu'ils génèrent à leur lieu de résidence".
C'est plus clair là, sous la plume du conseil fédéral:
- imposition à la source dans le canton,
- compensation financière qui ne revêt pas un caractère fiscal et qui vise à indemniser des charges financières qu'ils génèrent à leur lieu de résidence?
Les mots ont un sens. Mais quand on ne maîtrise pas ce sens on ne risque pas de se comprendre.
Sur le ruissellement il y a des choses un peu plus pertinentes qu'une émission de la RTS sur les boucheries. C'est un sujet trop sérieux depuis que les libéraux en ont fait leur cheval de bataille anti-fiscalité pour être traité ainsi en 2 minutes de reportage TV agrémenté d'avis de la bouchère et des clients (hors suisse je n'ai pas accès à ce grand moment de la pensée économique dont je peux voir qu'il dure 1:57.
ah...
"Une infirmière débute à 1450 euros net (sans primes WE et nuit), soit 1,2 fois le SMIC (contre deux fois le SMIC dans les années 90)."
syndicat-infirmier.com
donc... disons 14% de 1450 = 203 d'impots
maintenant en suisse:
tu commences à 5300chf = 5000 euros. 3,5% de 5000? 175 d'impots...
c'est magique 
et ruissellement ou pas, ces salariés ont un plus fort pouvoir d'achat dans leur pays: la france.

NR ( 2 mai) disait:
Habari G, j'ai pas tout compris le message que tu veux faire passer, c'est bien ou pas qu'un infirmier qui a fait ses études en France parte bosser en Suisse comme frontalier ?
ak ( 2 mai) disait:
ah...
"Une infirmière débute à 1450 euros net (sans primes WE et nuit), soit 1,2 fois le SMIC (contre deux fois le SMIC dans les années 90)."
syndicat-infirmier.com
donc... disons 14% de 1450 = 203 d'impots
maintenant en suisse:
tu commences à 5300chf = 5000 euros. 3,5% de 5000? 175 d'impots...
c'est magique
et ruissellement ou pas, ces salariés ont un plus fort pouvoir d'achat dans leur pays: la france.
C'est bien dans ton calcul il n'y a pas de CSG (6,8%) et CRDS (0,5%)
Et il n'y a pas non plus de versement transports à 2%
Parce que comme explique bien votre conseil fédéral du 20 novembre 2013 (parlament.ch ce n'est pas un impôt (comparable à l'impôt sur le revenu qui permet, au niveau de l'Etat, de payer l'éducation nationale, la défense, la dette, la police ...) mais une "compensation financière" qui "ne revêt pas un caractère fiscal, mais vise à indemniser les collectivités publiques dans lesquelles sont domiciliés les frontaliers travaillant à Genève au titre des charges financières qu'ils génèrent à leur lieu de résidence". Donc en gros c'est pour indemniser les départements, communauté et communes "au titre des charges financières qu'ils [les frontaliers] génèrent à leur lieu de résidence".
Donc ça ne va pas financer la formation (sans commencer même à parler de la défense, la police, la dette ...)
carambole ( 2 mai) disait:
NR ( 2 mai) disait:
Habari G, j'ai pas tout compris le message que tu veux faire passer, c'est bien ou pas qu'un infirmier qui a fait ses études en France parte bosser en Suisse comme frontalier ?
Il ne juge pas l'infirmier frontalier qui profite de la situation il s'étonne simplement que la Suisse plutôt que d'investir dans la formation de ses infirmiers recrute ceux formés en France dont la formation a été payée en France c'est tout
J'explique hein je ne dis pas que je suis d'accord ou pas
inscrit le 27/10/09
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