Je ne sais pas si ça a été discuté, mais ça a sa place ici.
Je ne sais pas si ça a été discuté, mais ça a sa place ici.
ak (25 mars 2023) disait:
L'UE AUTORISE LA LÉGALISATION DU CANNABIS EN ALLEMAGNE
21 MARS 2023 CANNABISLSTUPPOLITIQUE DES ADDICTIONS IMPRIMER
Le ministère allemand de la Santé a reçu l'accord de principe de l'Union européenne pour légaliser le cannabis. L'Allemagne va présenter un projet de loi conforme aux normes européennes dans les prochaines semaines.
Le ministre allemand de la Santé Karl Lauterbach a indiqué avoir reçu d'excellents retours de la Commission européenne quant à la conformité au droit et aux traités européens d'une éventuelle légalisation du cannabis en Allemagne. Un projet de loi sera présenté dans les prochaines semaines pour légaliser la vente et la consommation de cannabis en Allemagne. Celle-ci aura pour objectif de réduire la criminalité, proposer des produits plus sûrs et améliorer la santé publique autour de la consommation de cannabis.
L'Allemagne proposera de retirer le cannabis de la loi allemande sur les stupéfiants. Afin de garantir la santé publique et la protection des consommateurs et consommatrices, la vente de cannabis sera réglementée: celle-ci sera autorisée aux adultes uniquement dans des points de vente contrôlés et dont les revenus reviendront à l'État, la publicité sera interdite et la culture personnelle sera limitée à 3 plantes par foyer adulte.
Le Parlement suisse a accepté l'initiative parlementaire du conseiller national Heinz Siegenthaler intitulée « Réguler le marché du cannabis pour mieux protéger la jeunesse et les consommateurs » et devrait s'inspirer de l'exemple allemand afin de retirer le cannabis de la Loi sur les stupéfiants et proposer une loi de régulation de la vente de cannabis dans le pays.
grea.ch
bonagva (27 févr.) disait:
Le sujet sur le dopage étant fermé, je place ça ici ...
Ça marche aussi lors des contrôles routiers ?
https://www.watson.ch/fr/sport/dopage/102026600-le-dopage-peut-se-transmettre-par-un-baiser-ou-un-calin

bonagva ( 7 mars) disait:
Dopage toujours: contrôle annoncé lors une course ... amateur !
Blacksite ( 7 mars) disait:
bonagva ( 7 mars) disait:
Dopage toujours: contrôle annoncé lors une course ... amateur !
Je me demande si justement le dopage n'est pas plus courant chez les amateurs, où le risque de contrôle est peut-être moins élevé.
ak ( 8 mars) disait:
Personnellement je défends le droit de se "doper" dans sa vie privée et hors compétition.
La France est l'un des pays où la loi est la plus répressive en matière de cannabis et les Français en sont les plus gros consommateurs en Europe. Dans cet épisode, Mathieu Kassovitz va à la rencontre de maître Ruben, un avocat spécialisé dans ce domaine, et se rend ensuite sur un point de deal, échanger avec des dealers qui fournissent ces drogues en grande quantité.
Enfin, le temps d’une séquences de témoignages, deux représentants du syndicat Alliance Police Nationale, Éric Henry et Rudy Manna, nous donneront leur vision de cette « guerre contre les trafiquants ».
Pendant un an, Mathieu Kassovitz et Antoine Robin ont enquêté sur ces pays qui ont choisi la légalisation du cannabis : Maroc, Espagne, Pays-Bas, Canada, Thaïlande. En France, ils ont rencontré les dealers, les policiers, les usagers... Pour comprendre ce paradoxe : notre pays, où la loi est la plus répressive, est celui d'Europe qui compte le plus grand nombre de consommateurs, dont un tiers ont moins de vingt-cinq ans.
perso j’adore le goût de certaines bières et certains vins, et j’aime la sensation qui va avec… cette forme d’apaisement que j’y trouve. Pour moi les deux sont intimement liés.
57 policiers ont fait irruption dans un immeuble, saisi un kilo de cocaïne et arrêté des Nigérians et des Ghanéens.
lematin.ch
Dans une note confidentielle sur les règlements de comptes entre trafiquants, la police judiciaire a constaté de fortes similitudes entre les profils d'une nouvelle génération de criminels et les tueurs à gages des cartels d'Amérique latine.
francetvinfo.fr
Au Mexique, les Narco-corridos, ces musiciens qui chantent à la gloire des cartels et font l’apologie de la narcoculture, connaissent un succès retentissant, mettant à mal les autorités qui tentent de les interdire.
Accompagnés de notes de guitare entraînantes, les paroles des narco-corridos racontent les exploits des sicarios, ces hommes de main des cartels et la vie luxueuse menées par leurs parrains. Les chansons évoquent pêle-mêle l’argent de la drogue, la violence et la loi du silence ou encore, le rejet de toutes les institutions gouvernementales.
Alors que l’Etat échoue, depuis des décennies, à améliorer les conditions de vie et la sécurité des Mexicains, ces chansons plébiscitées par la jeunesse, rencontrent un certain écho chez une grande partie de la population. Elles témoignent aussi de l’influence grandissante du crime organisé dans toutes les sphères de la société mexicaine.
youtube.com
Découverte de pourquoi le fentanyl est si addictif
La drogue agit sur deux régions du cerveau, poussant à en reprendre et pour son effet euphorisant et pour éviter le sevrage.
Les deux effets du fentanyl s’additionneraient pour pousser encore davantage vers une consommation irraisonnée de cette drogue.
AFP
Le fentanyl est un opiacé de synthèse particulièrement puissant. Détourné de son usage médical initial, il est devenu une drogue mortelle responsable des trois quarts des décès par overdose aux États-Unis. Or, l’impact des opiacés sur le cerveau reste mal compris.
En décryptant les mécanismes neuronaux en cause, une équipe de l’Université de Genève (UNIGE) a découvert que cette substance exerce deux effets distincts au travers d’un même récepteur cellulaire dans deux régions différentes du cerveau. L’un entraîne l’effet euphorisant, le second le malaise intense lors du sevrage. Cela expliquerait pourquoi les individus ne prennent pas seulement la drogue pour son effet euphorisant, mais aussi pour éviter le sevrage, et pourquoi les opioïdes sont plus addictifs que les autres drogues.
Ces résultats, à lire dans la revue «Nature», remettent en cause les modèles actuels de l’addiction et ouvrent une voie originale pour améliorer les traitements de substitution et développer des antidouleurs avec moins d’effet secondaires.
Une drogue qui agit en moins de 10 secondes
Injecté par voie intraveineuse, le fentanyl, de 20 à 40 fois plus puissant que l’héroïne et 100 fois plus que la morphine, agit en moins de dix secondes. Comme les autres opiacés, il induit un bien-être massif. Mais après une consommation répétée, l’absence de la drogue se manifeste par des symptômes de sevrage extrêmement pénibles. «Nous parlons de renforcement positif lorsque la sensation agréable entraîne la répétition de la prise de produit, et de renforcement négatif lorsque la drogue est consommée pour éviter le syndrome de sevrage», explique Christian Lüscher, professeur ordinaire au Département des neurosciences fondamentales de la Faculté de médecine de l’UNIGE, qui a dirigé ces travaux.
«Le sevrage, qui apparaît quelques heures après la dernière prise, est à la fois physique, avec des tremblements, une sudation excessive et des douleurs, et psychique, avec un mal-être intense qui n’existe pas avec les autres drogues.»
Le produit déclenche une activation des neurones dopaminergiques dans le système mésolimbique (ou système de récompense). Les neurones libèrent alors une grande quantité de dopamine. Habituellement, ces cellules sont sous le contrôle des neurones inhibiteurs GABA. Or, les opiacés bloquent ces derniers et augmentent l’activité des neurones dopaminergiques, déclenchant la phase euphorique. La clé de compréhension est le récepteur aux opiacés «mu».
Deux zones cérébrales distinctes
«Jusqu’ici, on pensait que les mécanismes du renforcement positif comme du renforcement négatif avaient lieu dans la même zone cérébrale, le système mésolimbique. Or, notre hypothèse suggère que l’origine du renforcement négatif est à chercher dans des cellules qui expriment le récepteur mu ailleurs dans le cerveau», détaille Fabrice Chaudun, maître-assistant dans le laboratoire de Christian Lüscher et premier auteur de ces travaux.
Afin de tester leur hypothèse, les scientifiques ont utilisé une série d’expériences comportementales et d’observation des neurones. La première étape a consisté à supprimer, chez des souris addicts au fentanyl, le récepteur mu à un endroit. Si le renforcement positif disparaît, le sevrage reste inchangé. «En reproduisant l’expérience dans différents réseaux neuronaux, nous avons identifié une population de cellules encore inconnues qui expriment le récepteur mu dans une autre région du cerveau, l’amygdale centrale, liée à la peur et à l’anxiété», indique Fabrice Chaudun. «En supprimant le récepteur mu dans les cellules qui s’y trouvent, les symptômes de sevrage disparaissent, mais pas le renforcement positif.»
Grâce à une collaboration avec les équipes de Brigitte Kiefer et d’Emanuel Valjent (Universités de Strasbourg et de Montpellier) et à deux lignées de souris permettant d’activer et de désactiver le récepteur mu de manière sélective dans le cerveau, les scientifiques ont reproduit les mécanismes neuronaux des opiacés avec une précision jamais atteinte. «C’est toute la complexité de la recherche sur le cerveau», résume Christian Lüscher.
Pour confirmer leurs résultats, les scientifiques ont utilisé l’optogénétique, qui permet d’agir sur des cellules individuelles. La stimulation des cellules dans l’amygdale centrale, imitant le sevrage, déclenchait les mêmes symptômes et les mêmes comportements chez les souris qu’un état de manque. De plus, un dispositif permettait aux souris d’appuyer sur un levier pour stopper la stimulation neuronale: les souris qui n’avaient pas consommé de fentanyl y avaient recours, tandis que celles sous drogue ne le faisaient pas, confirmant que le produit agit sur les mêmes réseaux.
Cela permettra d'affiner les traitements de substitution
Ces résultats modifient radicalement le modèle de compréhension de l’addiction aux opiacés. Les renforcements positif et négatif passant par deux réseaux différents, cela expliquerait le potentiel d’addiction particulièrement élevé de ces substances: les deux mécanismes s’additionneraient pour pousser encore davantage vers une consommation irraisonnée. De plus, ces découvertes permettront d’affiner les traitements de substitution et de faire avancer la recherche vers des antalgiques sans risque d’addiction.
source:lematin.ch
Ancienne maire de Canteleu (Seine-Maritime), Mélanie Boulanger et son adjoint Hasbi Colak doivent être jugés à partir de lundi pour complicité dans le cadre d'une vaste affaire de trafic de drogues. Prévu pour quatre semaines, le procès illustre comment le narcotrafic gangrène certaines communes françaises, jusqu'aux élus.
france24.com
Au Brésil, São Paulo, la plus grande métropole sud-américaine, où vivent 12 millions d'habitants, abrite en son centre un territoire habité par des milliers de sans-abris et de toxicomanes : Cracolandia. Un enfer à ciel ouvert, le plus grand marché de drogues au monde où viennent s'abandonner des milliers de dépendants chaque jour, sous l'œil passif de la police.
Au-delà des échecs répétés des politiques publiques, souvent répressives, le psychiatre brésilien Flavio Falcone, grimé et déguisé en clown, repère et approche ses patients en offrant son soutien avec une détermination inébranlable. “Le clown représente l'espoir face à l'échec : on rit de lui parce qu'il trébuche, non pas parce qu'il réussit. Ceux qui vivent dans la rue s'identifient à lui”, explique-t-il.
Suivre Flavio, c’est accéder à un monde obscur, contrôlé par les gangs les plus influents du Brésil. Lui seul, affublé de son nez rouge, a obtenu un accès à cet univers âpre et impitoyable. Il casse l’a priori des accros sur la blouse blanche. Tous craignent le corps médical qu’ils associent aux programmes d'hospitalisation forcée. Une pratique que Flavio ne cautionne pas, car, pour lui, elle contribue à déshumaniser le patient. Lui, carbure à l’empathie. Aller au-devant des autres en se mettant à leur place. Une démarche simple et efficace qui lui vaut d’être accepté de tous, aussi bien des oubliés de Cracolandia que des membres de gangs.
Chaque jour, il arpente les rues pour parler et tenter de convaincre les hommes et les femmes en perdition de rejoindre son programme de réinsertion : un toit, un travail, un traitement.
Porté par la voix captivante de Matthieu Seel, ancien prisonnier de l'addiction sur la colline du crack à Paris, désormais libre et auteur de "Rien ne dure vraiment longtemps", plongée dans l'univers parallèle de Cracolandia, où les destins s'entrelacent et se brisent sous le poids des dépendances.
youtube.com
Un État annule 175’000 condamnations pour usage de marijuana
Environ 100’000 personnes dans le Maryland vont voir disparaître de leur casier judiciaire des condamnations pour avoir possédé ou fumé de la marijuana.
lematin.ch
bonagva (19 juil.) disait:
Y'a plus vraiment de fil ouvert sur le dopage, alors je mets ça ici ...
https://www.watson.ch/fr/sport/cyclisme/924092508-pedaler-plus-vite-grace-au-monoxyde-de-carbone-ce-protocole-inquiete
Si de prime abord, cocaïne et santé ne semblent pas faire bon ménage, cette drogue s'est pourtant imposée comme la star des produits anesthésiants utilisés par les médecins à la fin du XIXe siècle...
20minutes.fr
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