Ouai ces cons ils vont prendre cinq points le stade français est à la dérive.Ca va etre chaud à Anoeta Samedi prochain,grosse semaine de chambrage à l'horizon.
Atxik Baiona.
Atxik Baiona.
top 14
L'avenir de Christophe Dominici et Ewen McKenzie s'assombrit. Les deux entraîneurs du Stade Français pourraient être remerciés dans la journée. Max Guazzini, le président, tiendra une conférence de presse cet après-midi.
Le Stade Français ne pouvait pas rêver d’un plus mauvais début de saison. Avant-dernier après cinq journées, le club de la capitale touche le fond. Avec déjà trois défaites contre Bayonne puis Montauban et Biarritz la semaine passée, pour un match nul à Toulon et une seule victoire acquise dans la douleur face à Montpellier, les Parisiens affichent un visage aussi inquiétant que décevant. Du jamais vu depuis la saison 2001-2002. Discret ces derniers jours, le président Max Guazzini s’apprête à agir en coulisses. Et de quelle manière ! Les entraîneurs Christophe Dominici et Ewen McKenzie devraient prendre la porte dans la journée. L’information devrait être officialisée cet après-midi lors d’une conférence de presse organisée au siège du club.
Pour McKenzie, sous contrat jusqu'en juin 2010, le désaveu est total. Arrivé l’été dernier en provenance des Waratahs, l’Australien n’a jamais réussi à imposer sa patte au Stade Français. L’an dernier, Paris avait bien réalisé un début de saison canon mais la suite avait été autrement plus douloureuse. Sans génie, Pierre Rabadan et ses partenaires avaient logiquement chuté contre Perpignan en demi-finale. On attendait une réaction pour ce nouveau championnat avec un jeu que l’on annonçait plus ambitieux. Elle n’est malheureusement jamais venue. Pire, la défense a pris l’eau. Avec 156 points encaissés, dont quinze essais, le Stade Français est le plus mauvais élève du Top 14.
Le recrutement estival souhaité par McKenzie n’y est sans doute pas étranger. Car si le club s’est renforcé avec les arrivées des Anglais Haskell et Palmer mais aussi des internationaux français Dupuy et Kayser, les lignes arrières manquent de talent. Le départ de l’Argentin Juan Martin Hernandez se fait cruellement sentir. Rares sont les joueurs capables de faire basculer un match sur un éclair de génie comme le faisait « El Mago ». Et c’est bien ce qui devrait coûter sa place à Dominici. L’ancien ailier international, qui peut malgré tout se vanter d’avoir la meilleure attaque du championnat (156 points), devrait lui aussi être remercié à en croire le site du Midi Olympique. « Il faut arrêter de faire des cadeaux », lançait-il après la défaite à Anoeta. Max Guazzini a visiblement entendu le message.
Le Stade Français ne pouvait pas rêver d’un plus mauvais début de saison. Avant-dernier après cinq journées, le club de la capitale touche le fond. Avec déjà trois défaites contre Bayonne puis Montauban et Biarritz la semaine passée, pour un match nul à Toulon et une seule victoire acquise dans la douleur face à Montpellier, les Parisiens affichent un visage aussi inquiétant que décevant. Du jamais vu depuis la saison 2001-2002. Discret ces derniers jours, le président Max Guazzini s’apprête à agir en coulisses. Et de quelle manière ! Les entraîneurs Christophe Dominici et Ewen McKenzie devraient prendre la porte dans la journée. L’information devrait être officialisée cet après-midi lors d’une conférence de presse organisée au siège du club.
Pour McKenzie, sous contrat jusqu'en juin 2010, le désaveu est total. Arrivé l’été dernier en provenance des Waratahs, l’Australien n’a jamais réussi à imposer sa patte au Stade Français. L’an dernier, Paris avait bien réalisé un début de saison canon mais la suite avait été autrement plus douloureuse. Sans génie, Pierre Rabadan et ses partenaires avaient logiquement chuté contre Perpignan en demi-finale. On attendait une réaction pour ce nouveau championnat avec un jeu que l’on annonçait plus ambitieux. Elle n’est malheureusement jamais venue. Pire, la défense a pris l’eau. Avec 156 points encaissés, dont quinze essais, le Stade Français est le plus mauvais élève du Top 14.
Le recrutement estival souhaité par McKenzie n’y est sans doute pas étranger. Car si le club s’est renforcé avec les arrivées des Anglais Haskell et Palmer mais aussi des internationaux français Dupuy et Kayser, les lignes arrières manquent de talent. Le départ de l’Argentin Juan Martin Hernandez se fait cruellement sentir. Rares sont les joueurs capables de faire basculer un match sur un éclair de génie comme le faisait « El Mago ». Et c’est bien ce qui devrait coûter sa place à Dominici. L’ancien ailier international, qui peut malgré tout se vanter d’avoir la meilleure attaque du championnat (156 points), devrait lui aussi être remercié à en croire le site du Midi Olympique. « Il faut arrêter de faire des cadeaux », lançait-il après la défaite à Anoeta. Max Guazzini a visiblement entendu le message.
setenza ( 7 sep 2009) disait:
L'arbitre de samedi prochain je risque de te dire qu'il sera mauvais pour le derby car c'est Maciello,
la je suis entièrement d'accord il est nul ... je parie sur 2 voir 3 cartons jaunes compte tenu qu'il est incapable de tenir un match
en même temps 2 ou 3 cartons ça devraient être le tarif de tout les matchs de haut niveau actuellement devant l'amplification des fautes merdiques au sol qui empechent volontairement et a répétition toutes les ambitions de jeux rapides ...
L'option interne est meilleure avec Blin au commande comme Landrau l'avait fait de son temps.
Les manivelles ne servent à rien de bons crochets font plus de bien,vivement samedi,ça chambre doucement en ces deux premiers jours de semaine.
Les manivelles ne servent à rien de bons crochets font plus de bien,vivement samedi,ça chambre doucement en ces deux premiers jours de semaine.
Si elle doit arriver un jour la fusion Bayonne-Biarrriz n'est pas pour demain. Pourtant les deux clubs reçoivent désormais à l'extérieur dans le même stade, celui d'Anoeta à Saint Sébastien.
Mais le derby entre le BO et l'Aviron, qui doit s'y jouer cette semaine, nous apprend qu'il y a un bug dans la fête annoncée. Biarritz, le club qui reçoit, avait envoyé 1600 places à Bayonne pour la vente aux supporters. 1100 ont été renvoyées au BO. Les supporters de l'Aviron boycotteraient ils un match qui a été délocalisé par le BO pour faire du fric?
Officiellement, Bayonne n'a pas donné de consigne de boycott à ses fans. Mais des SMS ont circulé (j'en ai reçu un) invitant les fans de l'Aviron à ne pas faire le déplacement pour ne pas remplir les caisses du BO. Basques oui, mais solidaires non. La "basquitude" à ses limites!
Cette situation pose une question: Pourquoi la LNR, qui a programmé le match retour un mercredi du 27 janvier, n'a-t-elle pas mis Bayonne à égalité avec Biarritz? C'est à dire en programmant la revanche un samedi afin de permettre à l'Aviron d'optimiser sa recette en organisant le match retour à Anoeta?
En attendant, cette délocalisation des matches du Top 14 démontre que la France du rugby professionnel n'est pas équipée pour recevoir les assistances intéressées par les grandes affiches. Ce sous-équipement est un frein au développement du rugby business dans notre pays
P.Salviac
Mais le derby entre le BO et l'Aviron, qui doit s'y jouer cette semaine, nous apprend qu'il y a un bug dans la fête annoncée. Biarritz, le club qui reçoit, avait envoyé 1600 places à Bayonne pour la vente aux supporters. 1100 ont été renvoyées au BO. Les supporters de l'Aviron boycotteraient ils un match qui a été délocalisé par le BO pour faire du fric?
Officiellement, Bayonne n'a pas donné de consigne de boycott à ses fans. Mais des SMS ont circulé (j'en ai reçu un) invitant les fans de l'Aviron à ne pas faire le déplacement pour ne pas remplir les caisses du BO. Basques oui, mais solidaires non. La "basquitude" à ses limites!
Cette situation pose une question: Pourquoi la LNR, qui a programmé le match retour un mercredi du 27 janvier, n'a-t-elle pas mis Bayonne à égalité avec Biarritz? C'est à dire en programmant la revanche un samedi afin de permettre à l'Aviron d'optimiser sa recette en organisant le match retour à Anoeta?
En attendant, cette délocalisation des matches du Top 14 démontre que la France du rugby professionnel n'est pas équipée pour recevoir les assistances intéressées par les grandes affiches. Ce sous-équipement est un frein au développement du rugby business dans notre pays
P.Salviac
trlc (10 sep 2009) disait:'tain, il comprend rien... C'est un derby !! Il est noeunoeu ou il fait exprès ?!
Officiellement, Bayonne n'a pas donné de consigne de boycott à ses fans. Mais des SMS ont circulé (j'en ai reçu un) invitant les fans de l'Aviron à ne pas faire le déplacement pour ne pas remplir les caisses du BO. Basques oui, mais solidaires non. La "basquitude" à ses limites!
Ensuite la belle excuse du développement du rugby... Si on veut développer la fréquentation des stades, faut un sentiment d'appartenance fort avec les risques d'excès et de dérives qu'auront pu connaître le foot...
non pas forcément, tu peux aussi prendre le parti d'un sport ultra télégénique et spectaculaire, modèle américain, ou les stades sont tj pleins malgré des franchises qui se déplacent de ville en ville au gré des propriétaires-acheteurs...
c'est la voie choisie par le SuperXIV avec des franchises montées de toutes pièces à partir de plusieurs équipes locales....
c'est la voie choisie par le SuperXIV avec des franchises montées de toutes pièces à partir de plusieurs équipes locales....
Mouais, c'est un axe possible, Berbizier avait tenté le coup avec une opa sur le XIII à une époque, ça eut fait long feu il me semble !!
Le rugby, c'est d'abord un beau pré, et des beaux mouvements avec du combat, parfois spectaculaire, mais souvent âpre et souterrain... Si on respecte pas ça, on va pas aller loin...
Cela dit, il a pas tort sur les stades, les faut pas forcément monstrueux, mais confortable et accueillant serait pas mal, je trouve quand même qu'on est pas mal traité comme du bétail...
Le rugby, c'est d'abord un beau pré, et des beaux mouvements avec du combat, parfois spectaculaire, mais souvent âpre et souterrain... Si on respecte pas ça, on va pas aller loin...
Cela dit, il a pas tort sur les stades, les faut pas forcément monstrueux, mais confortable et accueillant serait pas mal, je trouve quand même qu'on est pas mal traité comme du bétail...
Actuellement le principe de remplissage de grands stades c'est uniquement du spectacle (et pas qu'à Paris), mêmes les règles sont aménagées dans cet esprit la et le laxisme des arbitres (ou les directives) pousse encore plus dans cette direction.
Le combat oui mais pourvu que ça passe bien a la télé et qu'on puisse le voir depuis le haut des tribunes ... exemple type, l'autorisation d'écrouler l'an dernier (ça reviendra dans pas longtemps ça), les transformations de fautes pénalisables en simples coup franc pour inciter a jouer vite ou les déblayages des joueurs au contest (le dernier Australie Af'Sud)...
Le combat oui mais pourvu que ça passe bien a la télé et qu'on puisse le voir depuis le haut des tribunes ... exemple type, l'autorisation d'écrouler l'an dernier (ça reviendra dans pas longtemps ça), les transformations de fautes pénalisables en simples coup franc pour inciter a jouer vite ou les déblayages des joueurs au contest (le dernier Australie Af'Sud)...
Message modifié 1 fois. Dernière modification par trlc, 10/09/2009 - 15:59
Il fera beau sur SanSé samedi il y aura du monde aussi,mais ça chambre beaucoup moins qu'autrefois,le BO a peur de ne pas remplir le stade et surtout c'st du 50/50 cette fois sur le pré.
Salviac il a eté tres con mais je vois qu'il l'est resté.
Salviac il a eté tres con mais je vois qu'il l'est resté.
Le derby basque organisé, samedi, à Saint-Sébastien devrait faire le plein. Mais si les supporters biarrots se mobilisent, leurs homologues bayonnais traînent un peu les pieds.
C?est une première qui fera date. Pour la première fois de l?histoire, le derby basque entre Biarritz et Bayonne aura lieu, samedi après-midi, non pas à Aguiléra ou à Jean-Dauger mais à Anoeta. C?est à Saint-Sébastien que se jouera la suprématie régionale. L?événement est forcément attendu. Sur les 32 000 places, 24 000 ont déjà été vendues. Autant dire que le public a répondu en masse pour assister à ce match pas comme les autres. Surtout après la victoire de l?Aviron contre le Stade Français sur cette même pelouse, lors de la 2eme journée, pour la première rencontre de championnat disputée à l?étranger. « Les joueurs qui ont la chance de disputer le derby peuvent le relater, c'est une semaine et une préparation particulières, avouait le capitaine du BO, Jérôme Thion, mardi, lors d?un point presse à Saint-Sébastien. Il y a forcément un engouement spécial. »
« Ici nous sommes chez nous, lance le président Serge Blanco. On aura l'impression de jouer à Aguiléra. Il y a un engouement exceptionnel. Nous allons déplacer toute la ville de Biarritz à Saint-Sébastien. L'idylle que nous avons depuis quelques années avec Saint-Sébastien est forte. Nous venons là pour la cinquième fois. Ce match doit être un tremplin pour continuer notre saison. Le rugby prend un nouveau virage, plus professionnel. Il est important de pouvoir multiplier les recettes. Nous sommes défavorisés par rapport à d'autres clubs français, en particulier le Stade Français... » Du côté de Bayonne, la tension est là aussi perceptible. A priori, les supporters de l?Aviron traînent pourtant un peu les pieds pour faire le court déplacement. Non pas bien sûr en raison d?un manque d?intérêt mais pour ne pas renflouer les caisses du voisin.
Certaines rumeurs, non confirmées, font même état d?un boycott. Sur les 1 600 places envoyées à Bayonne, 1 100 ont ainsi été retournées. La querelle n?est pas nouvelle. Elle remonte à la publication du calendrier et une lettre du président Francis Salagoïty à son homologue biarrot et au président de la LNR, Pierre-Yves Revol demandant que les deux derbys soient jouer le week-end et que pour chaque derby l'organisation soit commune. Le match retour aura finalement lieu le 27 janvier, un mercredi, rendant quasiment impossible une éventuelle délocalisation à Anoeta. « Je trouve déplorable qu'une équipe comme Bayonne, qui est en train de gravir certains échelons, se passe de ses supporters par rapport à ce qui se fait de mieux au moins en Pays Basque, regrette Blanco. On se doit de démontrer qu'au delà des querelles entre les entités, on est sur un cycle nouveau. Maintenant, ce devrait être la fête du Pays Basque et non pas un endroit où on règle des comptes...
Rugby365
C?est une première qui fera date. Pour la première fois de l?histoire, le derby basque entre Biarritz et Bayonne aura lieu, samedi après-midi, non pas à Aguiléra ou à Jean-Dauger mais à Anoeta. C?est à Saint-Sébastien que se jouera la suprématie régionale. L?événement est forcément attendu. Sur les 32 000 places, 24 000 ont déjà été vendues. Autant dire que le public a répondu en masse pour assister à ce match pas comme les autres. Surtout après la victoire de l?Aviron contre le Stade Français sur cette même pelouse, lors de la 2eme journée, pour la première rencontre de championnat disputée à l?étranger. « Les joueurs qui ont la chance de disputer le derby peuvent le relater, c'est une semaine et une préparation particulières, avouait le capitaine du BO, Jérôme Thion, mardi, lors d?un point presse à Saint-Sébastien. Il y a forcément un engouement spécial. »
« Ici nous sommes chez nous, lance le président Serge Blanco. On aura l'impression de jouer à Aguiléra. Il y a un engouement exceptionnel. Nous allons déplacer toute la ville de Biarritz à Saint-Sébastien. L'idylle que nous avons depuis quelques années avec Saint-Sébastien est forte. Nous venons là pour la cinquième fois. Ce match doit être un tremplin pour continuer notre saison. Le rugby prend un nouveau virage, plus professionnel. Il est important de pouvoir multiplier les recettes. Nous sommes défavorisés par rapport à d'autres clubs français, en particulier le Stade Français... » Du côté de Bayonne, la tension est là aussi perceptible. A priori, les supporters de l?Aviron traînent pourtant un peu les pieds pour faire le court déplacement. Non pas bien sûr en raison d?un manque d?intérêt mais pour ne pas renflouer les caisses du voisin.
Certaines rumeurs, non confirmées, font même état d?un boycott. Sur les 1 600 places envoyées à Bayonne, 1 100 ont ainsi été retournées. La querelle n?est pas nouvelle. Elle remonte à la publication du calendrier et une lettre du président Francis Salagoïty à son homologue biarrot et au président de la LNR, Pierre-Yves Revol demandant que les deux derbys soient jouer le week-end et que pour chaque derby l'organisation soit commune. Le match retour aura finalement lieu le 27 janvier, un mercredi, rendant quasiment impossible une éventuelle délocalisation à Anoeta. « Je trouve déplorable qu'une équipe comme Bayonne, qui est en train de gravir certains échelons, se passe de ses supporters par rapport à ce qui se fait de mieux au moins en Pays Basque, regrette Blanco. On se doit de démontrer qu'au delà des querelles entre les entités, on est sur un cycle nouveau. Maintenant, ce devrait être la fête du Pays Basque et non pas un endroit où on règle des comptes...
Rugby365
Message modifié 1 fois. Dernière modification par trlc, 11/09/2009 - 08:48
Moi je vois bien les bayonnais en train de monter un gros coup : dans une marmite hostile repeinte en rouge et blanc, 15 gars concentré en bleu ciel qui vont se souder et faire exploser le verrou biarrot ! Alors que les uns pensent au show, les autres pensent au jeu... 
J'entends déjà les égos bayonnais pétarader d'impatience !
J'entends déjà les égos bayonnais pétarader d'impatience !
Byron Kelleher, l'ex-international néo-zélandais du Stade Toulousain, a été placé en garde à vue ce vendredi, après avoir été mêlé à une rixe et contrôlé en état d'ivresse par les policiers de Toulouse. Blessé à l'épaule lors de cette altercation, l'ex-All Black qui doit quitter le CHU de Toulouse ce vendredi après-midi, pourrait être indisponible pendant un ou deux mois.
Mis au repos ce week-end par Guy Novès, Byron Kelleher s'est livré, dans la nuit de jeudi à vendredi, à une sorte de troisième mi-temps par anticipation. Dans des conditions qu'il appartiendra aux enquêteurs d'éclaircir, la voiture conduite par le rugbyman toulousain et dans laquelle se trouvaient également deux de ses amis, est entrée en collision avec un autre véhicule, dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 2h50.
Une bagarre a alors éclaté au bord de la chaussée. Alertés, les policiers ont constaté l'état d'ébriété du rugbyman et de ses amis, et la blessure à l'épaule, sans doute causée par une chute, dont souffrait le demi-de-mêlée du Stade. Placé en garde à vue, il a été transféré au CHU de Toulouse. Alors que l'automobiliste mêlé à la bagarre n'exclurait pas de porter plainte, on apprend, de source proche du club de rugby, que Byron Kelleher pourrait à son tour saisir la justice
Rugbyrama
Mis au repos ce week-end par Guy Novès, Byron Kelleher s'est livré, dans la nuit de jeudi à vendredi, à une sorte de troisième mi-temps par anticipation. Dans des conditions qu'il appartiendra aux enquêteurs d'éclaircir, la voiture conduite par le rugbyman toulousain et dans laquelle se trouvaient également deux de ses amis, est entrée en collision avec un autre véhicule, dans la nuit de jeudi à vendredi, vers 2h50.
Une bagarre a alors éclaté au bord de la chaussée. Alertés, les policiers ont constaté l'état d'ébriété du rugbyman et de ses amis, et la blessure à l'épaule, sans doute causée par une chute, dont souffrait le demi-de-mêlée du Stade. Placé en garde à vue, il a été transféré au CHU de Toulouse. Alors que l'automobiliste mêlé à la bagarre n'exclurait pas de porter plainte, on apprend, de source proche du club de rugby, que Byron Kelleher pourrait à son tour saisir la justice
Rugbyrama
Message modifié 2 fois. Dernière modification par trlc, 11/09/2009 - 16:18
byron (11 sep 2009) disait:Enorme,la pression monte et va couler à flot.
Moi je vois bien les bayonnais en train de monter un gros coup : dans une marmite hostile repeinte en rouge et blanc, 15 gars concentré en bleu ciel qui vont se souder et faire exploser le verrou biarrot ! Alors que les uns pensent au show, les autres pensent au jeu...
phil6611
Le 12 sept. 2009 - 09:41
setenza (12 sep 2009) disait:
Légérement brumeux avec un soleil qui pointe son nez,la matinée commence bien.Atxik Baiona.
j'espère vraiment que bayonne va leur mettre la b****ée du siècle :d:d
phil6611
Le 12 sept. 2009 - 17:04
patauger................ c'est un peu faible comme mot!
Toulouse patauge
Le film du match
Tout petit match du Stade toulousain à domicile face à la lanterne rouge albigeoise. Longtemps menés au score, les hommes de Guy Novès ont assuré le strict minimum en s'imposant 19 à 13. Mais la bronca du public d'Ernest-Wallon au coup de sifflet final en dit long sur leur prestation...
Parfois, les visages et les attitudes en disent plus long qu'un tableau d'affichage. Samedi, Toulouse a gagné, mais ce sont bien els Albigeois qui ont levé les bras au coup de sifflet final, pendant que leurs vainqueurs baissaient la tête sous la bronca de leur public. Ernest-Wallon a dégusté trop de caviar pour se satisfaire d'une telle bouillie, même quand celle-ci se nappe d'un succès. Albi, promis à une fessée, n'a jamais baissé son pantalon face au grand Toulouse. Tête haute, les Tarnais ont tenu la dragée à la même hauteur, au point de nourrir quelques regrets devant la maigreur du butin, à savoir le bonus défensif.
Pendant une mi-temps, le Stade toulousain n'a été que l'ombre de lui-même. Manque de rythme, nombreuses maladresses, aucun enchaînement, des fautes à répétition, amorphes en attaque, fébriles en défense… les Toulousains ont montré leur pire visage durant les quarante premières minutes de jeu. Certes, toutes ces cohérences peuvent s'expliquer par tous les changements et les remaniements opérés par Guy Novès dans le XV de départ avec notamment les titularisations de Jauzion à l'arrière ou de Fritz à l'ouverture. Mais tout de même. Et les Albigeois en profitaient pour créer la surprise et regagner les vestiaires avec quatre points d'avance (10-6).
Elissalde en filou
Les Tarnais ont notamment inscrit le seul essai de la première période (22e), grâce à une magnifique inspiration de Blair Stewart. L'ouvreur albigeois feintait le drop et donnait un subtil coup de pied de l'extérieur. Ahotaeiloa bafouillait à la réception et Borgès en profitait pour marquer en coin. Le même Stewart avait réussi sa première pénalité à la 6e mais les joueurs ont tout de même laissé neuf points au pied avant la pause. Dans le même temps, Jean-Baptiste Elissalde passait deux pénalités mais ses coéquipiers, malgré un temps fort de plusieurs minutes devant l'en-but adverse en fin de période, ne parvenaient pas à franchir la ligne.
Et les hommes de Guy Novès ont dû attendre la seconde mi-temps pour enfin réagir. L'entrée de Frédéric Michalak à l'ouverture a notamment dynamisé le jeu de son équipe. Et le deuxième ligne du SCA, Thomas Vervoort, écopait d'un carton jaune à la 43e minute. Ceci annonçait les souffrances tarnaises. A la 48e minute, Swanepoel se voyait refuser un essai pour avoir posé le genou en dehors des limites du terrain avant d'aplatir, suite à une superbe action des arrières haut-garonnais. Ce n'était que partie remise. Deux minutes plus tard, Elissalde, plein de malice, jouait rapidement une pénalité à la main, feintait la passe, crochetait et allait marquer le premier essai toulousain. Toulouse prenait l'avantage (16-10).
Dès lors, le plus dur était fait pour les Rouge et Noir, qui allaient conserver la même marge de manoeuvre une demi-heure plus tard à la fin de la rencontre (19-13) après un échangé de pénalités. Mais cet essai de filou d'Elissalde est resté sans suite, alors qu'on aurait pu penser qu'il libérerait enfin le jeu toulousain. Si le propre des grandes équipes est de savoir gagner en jouant mal, alors le Stade a confirmé qu'il était une grande équipe. Cette victoire lui permet de s'ancrer confortablement dans le carré de tête, mais il lui faudra évidemment montrer autre chose à l'avenir. Le SCA, lui, avance toujours au ralenti. Mais ce point là, contrairement à d'autres, est porteur d'espoir.
Toulouse patauge
Le film du match
Tout petit match du Stade toulousain à domicile face à la lanterne rouge albigeoise. Longtemps menés au score, les hommes de Guy Novès ont assuré le strict minimum en s'imposant 19 à 13. Mais la bronca du public d'Ernest-Wallon au coup de sifflet final en dit long sur leur prestation...
Parfois, les visages et les attitudes en disent plus long qu'un tableau d'affichage. Samedi, Toulouse a gagné, mais ce sont bien els Albigeois qui ont levé les bras au coup de sifflet final, pendant que leurs vainqueurs baissaient la tête sous la bronca de leur public. Ernest-Wallon a dégusté trop de caviar pour se satisfaire d'une telle bouillie, même quand celle-ci se nappe d'un succès. Albi, promis à une fessée, n'a jamais baissé son pantalon face au grand Toulouse. Tête haute, les Tarnais ont tenu la dragée à la même hauteur, au point de nourrir quelques regrets devant la maigreur du butin, à savoir le bonus défensif.
Pendant une mi-temps, le Stade toulousain n'a été que l'ombre de lui-même. Manque de rythme, nombreuses maladresses, aucun enchaînement, des fautes à répétition, amorphes en attaque, fébriles en défense… les Toulousains ont montré leur pire visage durant les quarante premières minutes de jeu. Certes, toutes ces cohérences peuvent s'expliquer par tous les changements et les remaniements opérés par Guy Novès dans le XV de départ avec notamment les titularisations de Jauzion à l'arrière ou de Fritz à l'ouverture. Mais tout de même. Et les Albigeois en profitaient pour créer la surprise et regagner les vestiaires avec quatre points d'avance (10-6).
Elissalde en filou
Les Tarnais ont notamment inscrit le seul essai de la première période (22e), grâce à une magnifique inspiration de Blair Stewart. L'ouvreur albigeois feintait le drop et donnait un subtil coup de pied de l'extérieur. Ahotaeiloa bafouillait à la réception et Borgès en profitait pour marquer en coin. Le même Stewart avait réussi sa première pénalité à la 6e mais les joueurs ont tout de même laissé neuf points au pied avant la pause. Dans le même temps, Jean-Baptiste Elissalde passait deux pénalités mais ses coéquipiers, malgré un temps fort de plusieurs minutes devant l'en-but adverse en fin de période, ne parvenaient pas à franchir la ligne.
Et les hommes de Guy Novès ont dû attendre la seconde mi-temps pour enfin réagir. L'entrée de Frédéric Michalak à l'ouverture a notamment dynamisé le jeu de son équipe. Et le deuxième ligne du SCA, Thomas Vervoort, écopait d'un carton jaune à la 43e minute. Ceci annonçait les souffrances tarnaises. A la 48e minute, Swanepoel se voyait refuser un essai pour avoir posé le genou en dehors des limites du terrain avant d'aplatir, suite à une superbe action des arrières haut-garonnais. Ce n'était que partie remise. Deux minutes plus tard, Elissalde, plein de malice, jouait rapidement une pénalité à la main, feintait la passe, crochetait et allait marquer le premier essai toulousain. Toulouse prenait l'avantage (16-10).
Dès lors, le plus dur était fait pour les Rouge et Noir, qui allaient conserver la même marge de manoeuvre une demi-heure plus tard à la fin de la rencontre (19-13) après un échangé de pénalités. Mais cet essai de filou d'Elissalde est resté sans suite, alors qu'on aurait pu penser qu'il libérerait enfin le jeu toulousain. Si le propre des grandes équipes est de savoir gagner en jouant mal, alors le Stade a confirmé qu'il était une grande équipe. Cette victoire lui permet de s'ancrer confortablement dans le carré de tête, mais il lui faudra évidemment montrer autre chose à l'avenir. Le SCA, lui, avance toujours au ralenti. Mais ce point là, contrairement à d'autres, est porteur d'espoir.
Le XV toulousain
Jauzion - Swanepoel, David, Lamerat, Ahotaeiloa - (o) Fritz, (m) ELissalde - Sowerby, Maka, Bouilhou (cap) - Maestri, Ledevedec - Johnston, Vernet-Basualdo, Poux
en même temps, la compo de derrière explique a elle seule beaucoup de choses ..... peut etre que comme ça, la blague de Fritz en 10 qui traine de puis la fin de l'année dernière aura plus court la semaine prochaine ....
Jauzion - Swanepoel, David, Lamerat, Ahotaeiloa - (o) Fritz, (m) ELissalde - Sowerby, Maka, Bouilhou (cap) - Maestri, Ledevedec - Johnston, Vernet-Basualdo, Poux
en même temps, la compo de derrière explique a elle seule beaucoup de choses ..... peut etre que comme ça, la blague de Fritz en 10 qui traine de puis la fin de l'année dernière aura plus court la semaine prochaine ....
phil6611
Le 12 sept. 2009 - 18:59
y'a pas grand chose à dire...
biarritz fini à 14 (normal)
et bayonne accumule fautes et agressions en fin de match (notamment deux belles sur lesgourgues)
tu veux qu'on parle du petit calin entre thion et martin???
biarritz fini à 14 (normal)
et bayonne accumule fautes et agressions en fin de match (notamment deux belles sur lesgourgues)
tu veux qu'on parle du petit calin entre thion et martin???
phil6611
Le 12 sept. 2009 - 21:03
alpy (12 sep 2009) disait:
d'ailleurs pas terrible ce match, je dirais même que je me suis emmerdé!:d
fallait regarder toulouse - albi trois essais refusés, 1 essai validé de part et d'autres, ça a joué
phil6611
Le 13 sept. 2009 - 09:12
max31 (13 sep 2009) disait:
au passage défaite de perpi a bourgoin , surement le plus mauvais match de perpi depuis bien longtemps... finalement les seuls que l'on attendait pas s'en sont sortis : SF et montpellier in extremis
perpi recommence à faire trop de fautes, pour le SF et montpellier, ça devenait une question de survie
phil6611
Le 13 sept. 2009 - 09:48
Traille: "L’important était de gagner"
Biarritz ferme la porte
Centre, ouvreur puis arrière durant la partie, Damien Traille a été l’un des principaux artisans de la victoire du BOPB lors du derby basque contre Bayonne (12-6). S’il concède le manque d’ambition des Biarrots dans le jeu, il pointe la solidarité dont a fait preuve le club de Serge Blanco.
Biarritz ferme la porte
Centre, ouvreur puis arrière durant la partie, Damien Traille a été l’un des principaux artisans de la victoire du BOPB lors du derby basque contre Bayonne (12-6). S’il concède le manque d’ambition des Biarrots dans le jeu, il pointe la solidarité dont a fait preuve le club de Serge Blanco.
phil6611
Le 13 sept. 2009 - 09:51
Albi........... 3 points en 5 match,tout n'est pas de la faute aux arbitres......
1 Clermont Auvergne 20
2 Stade Toulousain 19
3 USA Perpignan 17
4 RC Toulon 16
5 Biarritz Olympique 15
6 Castres Olympique 13
7 CA Brive-Corrèze 13
8 Montauban 13
9 Stade Français 12
10 Montpellier HRC 12
11 CS Bourgoin-Jallieu 12
12 Aviron Bayonnais 11
13 Racing Metro 92 10
14 SCA Albi 3
1 Clermont Auvergne 20
2 Stade Toulousain 19
3 USA Perpignan 17
4 RC Toulon 16
5 Biarritz Olympique 15
6 Castres Olympique 13
7 CA Brive-Corrèze 13
8 Montauban 13
9 Stade Français 12
10 Montpellier HRC 12
11 CS Bourgoin-Jallieu 12
12 Aviron Bayonnais 11
13 Racing Metro 92 10
14 SCA Albi 3
Au bout de trois minutes y'avait déja deux fautes qui auraient pu être sanctionnés par un jaune dont une directement sur le coup d'envoi (il faut lui dire à Rob que quand il saute pas mais passe sous le sauteur d'en face ça se voit, enfin juste a la télé a priori pas de la touche.... ) l'autre m'est déja sorti de l'esprit ... et a la 17ième c'est la première tentative de découpage de tête du biarrot qui prendra le rouge plus tard ...
en supériorité il aurait fallu plus de patiente, et "ralentir" l'engagement ça aurait limité le nombre de fautes... mais bon Gower vu dans quel état il s'est relevé il avait peut etre plus toute sa tronche !
en supériorité il aurait fallu plus de patiente, et "ralentir" l'engagement ça aurait limité le nombre de fautes... mais bon Gower vu dans quel état il s'est relevé il avait peut etre plus toute sa tronche !
phil6611
Le 15 sept. 2009 - 19:17
Fabien Pelous entre à l'IRB
Fabien Pelous a été choisi pour intégrer la commission rugby de l'International Rugby Board (IRB). Il rejoint Jake White, le sélectionneur de l'Afrique du Sud championne du monde en 2007 et l'Anglaise Carol Isherwood, figure du rugby féminin mondial, qui avaient été nommés début septembre.
L'ancien capitaine du quinze de France a rendez-vous à Dublin au mois d'octobre pour une première réunion. La commission rugby de l'IRB a pour but de développer le rugby à travers le monde.
Fabien Pelous rejoint l'équipe dirigée par l'ancien All Black Graham Mourie qui est composée de Chris Le Fevre (Canada), Bill Nolan (Ecosse), John O'Neill (Australie), David Pickering (Pays de Galles) et Pat Whelan (Irlande).
Fabien Pelous a été choisi pour intégrer la commission rugby de l'International Rugby Board (IRB). Il rejoint Jake White, le sélectionneur de l'Afrique du Sud championne du monde en 2007 et l'Anglaise Carol Isherwood, figure du rugby féminin mondial, qui avaient été nommés début septembre.
L'ancien capitaine du quinze de France a rendez-vous à Dublin au mois d'octobre pour une première réunion. La commission rugby de l'IRB a pour but de développer le rugby à travers le monde.
Fabien Pelous rejoint l'équipe dirigée par l'ancien All Black Graham Mourie qui est composée de Chris Le Fevre (Canada), Bill Nolan (Ecosse), John O'Neill (Australie), David Pickering (Pays de Galles) et Pat Whelan (Irlande).
phil6611 (16 sep 2009) disait:Si on peut plus jouer le ballon de nos jours ?!!!!!
'tain il a craqué berdos, il expulse le talonneur castrais qui "marche" sur un montalbanais hors jeu....................
ça va être tendu la fin de match!
Bon, le problème, c'est qu'avec la télé ils essayent de faire propre...
inscrit le 19/05/07
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