
L’association de mesure de qualité de l’air de la région Rhône Alpes membre du réseau atmo ainsi que des capteurs de particuliers, ont permis en février de mesure la qualité de l’air au dessus de Tignes dans la couche de mélange au dessus du bati. Les conditions d’altitude sont particulieres et peuvent entrainer des discontinuités importantes. Les résultats figureront dans un futur rapport, en attendant étant donné le nombre de voitures et l’importantes pollutions venant des bus, on pouvait s’attendre à des concentrations de CO2 et de NOX importantes (Tignes étant certainement la station française où le trafic routier est le plus important d’après la DDE, devant les 2 alpes) ; toutefois les concentrations n’ont pas dépassé les directives. En revanche, on a observé le développement d’un polluant très dangereux, l’ozone qui résulte de la réaction entre les polluants primaires (CO, COV..) et le rayonnement solaire. L’ozone est donc un polluant photochimique. Cette forte concentration s’explique par les émissions importantes de polluants primaires et par l’ensoleillement très généreux du mois de février.
Cette pollution ne semble pas inquiéter les professionnels, je lance un gros carton rouge personnel a Tignes, meme si il n’y a pas 36 solutions, reguler untel trafic durant les periode n’est pas facile, le probleme se fixe a long terme et il faudra en reparler.
inscrit le 20/9/02
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