Echec de la guerre contre les drogues...
quasiment toutes les drogues ont été au départ des médicaments. médicaments détournés de leur usage, pour finir dans les mains des mafias.
c'est quasi toujours le même schéma. A ma connaissance... à part le cannabis... je vois pas trop d'exception... le lsd à sauté le cap du médicament prescrit... mais il y arrive aujourd'hui.
c'est quasi toujours le même schéma. A ma connaissance... à part le cannabis... je vois pas trop d'exception... le lsd à sauté le cap du médicament prescrit... mais il y arrive aujourd'hui.
oui et non. la plupart sont juste des mélanges de mdma, amphet, hypnotiques, à différents dosages, qui à la base ont été créé pour d'autres utilités que de durer 48heures la tête collée devant un sound system... ou de chiller tel un légume en pensant être un génie... mais oui, il y a des exceptions, et oui, elles vont devenir de moins en moins des exceptions.
ronron (27 juil.) disait:
Sauf pour les nouvelles drogues de synthèses qui sont clairement conçus pour être simplement des drogues sans effets thérapeutiques souhaités.
Avec visiblement aussi parfois un "coupage" entre des drogues classiques et des "nouvelles" drogues. Dans le livre Mécanique Mort il est question d’héroïne coupée avec du fentanyl (!). Je ne sais pas si ça existe en vrai, mais si c'est le cas, ça doit te transformer en mort-vivant en deux prises...
tout se mélange... héro/fentanil coke/speed/amphet xtc/coke/amphet et dans les drogues "festives" c'est devenu le grand n'importe quoi. tu peux acheter 2 pilules au même gars et avoir deux produits complètement différents. On fait du testing et aujourd'hui un consommateur ne peut plus venir avec 30 extasy, en tester une et savoir ce qu'il aura dans les autres... c'est devenu tellement facile de trouver du matériel pour faire des comprimés, pour trouver des produits de coupe que n'importe qui peut s'improviser en heisenberg...
il y a 20 ans nos bénéficiaires étaient clairement défini comme consommateurs d'héro ou de coke ou de drogues psychédéliques... aujourd'hui on a des zombies qui prennent tout ce qui leur passe devant... avec quand même une accélération foudroyante des usagers de crack et... "étonnement" d'alcool fort. Le détournement de médicaments est aussi très prononcé en ce moment.
il y a 20 ans nos bénéficiaires étaient clairement défini comme consommateurs d'héro ou de coke ou de drogues psychédéliques... aujourd'hui on a des zombies qui prennent tout ce qui leur passe devant... avec quand même une accélération foudroyante des usagers de crack et... "étonnement" d'alcool fort. Le détournement de médicaments est aussi très prononcé en ce moment.
Tan Da Boss
Le 28 juil. 2022 - 09:29
rts.ch
Je comprends pas trop l'interêt du cannabis de synthèse.
Apparemment, il coupe du CBD avec de la poudre cannabinoïde.
Le prix public du CBD est plus ou moins le même prix que la weed sur le marché noir et si tu fais pousser, autant faire pousser de la vraie beuh que du CBD puis de le couper avec cette poudre.
@ak t'as peut être un peu plus d'infos pour nous/m'éclairer?
Je comprends pas trop l'interêt du cannabis de synthèse.
Apparemment, il coupe du CBD avec de la poudre cannabinoïde.
Le prix public du CBD est plus ou moins le même prix que la weed sur le marché noir et si tu fais pousser, autant faire pousser de la vraie beuh que du CBD puis de le couper avec cette poudre.
@ak t'as peut être un peu plus d'infos pour nous/m'éclairer?
Ben l'avantage est pour le producteur, qui peut produire légalement son cbd, pour ensuite transformer à moindre frais son produit pour le vendre à un public non averti des dangers du dit produit. Franchement, pour le consommateur, à part jouer à la roulette russe, il n'y a aucun avantage...
PerGiocare
Le 28 juil. 2022 - 22:32
Le médicament ne connaît pas la crise :
Pas de crise pour les exportations des pharmas suisses en Russie
La Suisse exporte aujourd’hui davantage vers la Russie qu’avant le début de la guerre.
lematin.ch
file:///Users/tgohl/Downloads/Brochure_apports_rA%CC%83%C2%A9sidentiel_GREA_2021_FINAL%20V2.pdf
"Les institutions résidentielles spécialisées en addictions : un lieu
de reconstruction et de rétablissement
Les problématiques d’addiction peuvent s’avérer complexes, tant sur le
plan psychique que somatique, comportemental, ou encore social. Elles
demandent ainsi des réponses complexes, pluridisciplinaires et adaptées
aux différentes situations individuelles.
Elles exigent également un lieu où travailler sur soi, sur ses comportements
addictifs, un lieu où retrouver une stabilité, où il est possible de consolider
ou redéfinir un projet de vie, sans s’isoler socialement.
C’est précisément là où interviennent les institutions résidentielles
sociothérapeutiques spécialisées en matière d’addictions en prenant le
relai sur les structures non spécialisées. "
"Les institutions résidentielles spécialisées en addictions : un lieu
de reconstruction et de rétablissement
Les problématiques d’addiction peuvent s’avérer complexes, tant sur le
plan psychique que somatique, comportemental, ou encore social. Elles
demandent ainsi des réponses complexes, pluridisciplinaires et adaptées
aux différentes situations individuelles.
Elles exigent également un lieu où travailler sur soi, sur ses comportements
addictifs, un lieu où retrouver une stabilité, où il est possible de consolider
ou redéfinir un projet de vie, sans s’isoler socialement.
C’est précisément là où interviennent les institutions résidentielles
sociothérapeutiques spécialisées en matière d’addictions en prenant le
relai sur les structures non spécialisées. "
LE PREMIER PROJET PILOTE CANNABIS DÉMARRE LE 15 SEPTEMBRE À BÂLE
19 AOÛT 2022 CANNABIS IMPRIMER
Le 15 septembre, Bâle donnera le coup d'envoi de son projet pilote cannabis en pharmacie, ont annoncé les autorités cantonales cette semaine lors d'une conférence de presse. C'est le premier projet pilote cannabis à démarrer. Pour les projets romands, il faudra encore patienter un peu. Ce premier projet démarre en même temps que les discussions au Conseil national sur la mise en oeuvre de l'initiative Siegenthaler, qui demande la régulation du cannabis.
Le Canton de Bâle-Ville a annoncé ce jeudi 18 août le démarrage de son projet pilote cannabis, "WEED CARE", lors d'une conférence de presse. L'étude, réalisée par le Département de la santé du Canton, la clinique universitaire psychiatrique de Bâle et l'Université de Bâle, démarrera le 15 septembre. Pour ce projet pilote, Bâle a choisi le modèle de distribution via les pharmacies - l'achat de cannabis sera possible dans 9 d'entre elles. Bien que la Confédération ait fixé le plafond à 5'000 participant·e·s à ces études, Bâle se limite à un total de 370 seulement.
Les projets des villes de Lausanne et Genève, eux, devront patienter encore. Le feu vert n'a pas encore été donné par l'OFSP, qui doit autoriser chacun des essais pilotes. De plus, le cannabis distribué via ces projets doit être biologique, ce qui exclut la culture indoor. Il faudra donc probablement attendre que l'hiver soit passé.
Le premier essai pilote cannabis démarre au moment où la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique du Conseil national (CSSS-N) entame ses travaux(link is external) sur la mise en oeuvre de l'initiative Siegenthaler(link is external), qui demande la régulation du cannabis. Pures produits du fédéralisme, les essais pilotes devaient permettre aux villes, concernées en premier lieu par le deal de rue et les externalités négatives de la consommation de cannabis, de gérer ces problèmes à leur manière. Elles devaient ainsi poser les bases du futur modèle de régulation du cannabis en Suisse. Or, le Conseil fédéral a lourdement encadré ces essais pilotes, les rendant nettement moins intéressant, comme le signalait le GREA dans un communiqué de presse publié le 1er avril 2021. Le Parlement, lui, n'attendra pas de connaître les résultats de ces différentes études avant d'opter pour un modèle de régulation suisse.
19 AOÛT 2022 CANNABIS IMPRIMER
Le 15 septembre, Bâle donnera le coup d'envoi de son projet pilote cannabis en pharmacie, ont annoncé les autorités cantonales cette semaine lors d'une conférence de presse. C'est le premier projet pilote cannabis à démarrer. Pour les projets romands, il faudra encore patienter un peu. Ce premier projet démarre en même temps que les discussions au Conseil national sur la mise en oeuvre de l'initiative Siegenthaler, qui demande la régulation du cannabis.
Le Canton de Bâle-Ville a annoncé ce jeudi 18 août le démarrage de son projet pilote cannabis, "WEED CARE", lors d'une conférence de presse. L'étude, réalisée par le Département de la santé du Canton, la clinique universitaire psychiatrique de Bâle et l'Université de Bâle, démarrera le 15 septembre. Pour ce projet pilote, Bâle a choisi le modèle de distribution via les pharmacies - l'achat de cannabis sera possible dans 9 d'entre elles. Bien que la Confédération ait fixé le plafond à 5'000 participant·e·s à ces études, Bâle se limite à un total de 370 seulement.
Les projets des villes de Lausanne et Genève, eux, devront patienter encore. Le feu vert n'a pas encore été donné par l'OFSP, qui doit autoriser chacun des essais pilotes. De plus, le cannabis distribué via ces projets doit être biologique, ce qui exclut la culture indoor. Il faudra donc probablement attendre que l'hiver soit passé.
Le premier essai pilote cannabis démarre au moment où la Commission de la sécurité sociale et de la santé publique du Conseil national (CSSS-N) entame ses travaux(link is external) sur la mise en oeuvre de l'initiative Siegenthaler(link is external), qui demande la régulation du cannabis. Pures produits du fédéralisme, les essais pilotes devaient permettre aux villes, concernées en premier lieu par le deal de rue et les externalités négatives de la consommation de cannabis, de gérer ces problèmes à leur manière. Elles devaient ainsi poser les bases du futur modèle de régulation du cannabis en Suisse. Or, le Conseil fédéral a lourdement encadré ces essais pilotes, les rendant nettement moins intéressant, comme le signalait le GREA dans un communiqué de presse publié le 1er avril 2021. Le Parlement, lui, n'attendra pas de connaître les résultats de ces différentes études avant d'opter pour un modèle de régulation suisse.
le monde bouge...
LA COLOMBIE ENVISAGE DE DÉPÉNALISER LA COCAÏNE
25 AOÛT 2022 CADRE INTERNATIONALPOLITIQUE DES ADDICTIONS IMPRIMER
Colombie
Dans la continuité du changement politique en Colombie, le nouveau gouvernement envisage de dépénaliser la cocaïne.
Après des décennies de « guerre contre la drogue » menée par la Colombie en partenariat avec Washington, le nouveau gouvernement de Gustavo Petro prend un virage à 180 degrés en proposant la fin de la prohibition et la mise en place d'une législation visant à dépénaliser la cocaïne et le cannabis. Cette thématique a déjà été évoquée dans une news du GREA étant donné son impact sur les politiques drogues.
Les dirigeants de la Colombie verraient volontiers leurs pays comme un laboratoire géant afin d’expérimenter la dépénalisation des drogues. Le contexte régional semble favorable étant donné les affinités d’intérêt entre pays producteurs de coca, tels que le Pérou et la Bolivie, également situés à gauche sur l’échiquier politique. Toutefois, la perspective ne fait pas l’unanimité comme en témoignent les déclarations de la Maison-Blanche qui indique que les États-Unis ne sont pas partisans de la décriminalisation. Pour un ancien fonctionnaire de la Drug Enforcement Administration (DEA) cité sous couvert d'anonymat, cela minerait la coopération entre les deux pays, comme le relate le Washington Post (en anglais)(link is external).
grea.ch
"L’ensemble des organisations professionnelles du domaine sont favorables à la proposition de faciliter la remise de diacétylmorphine (héroïne de fabrication pharmaceutique) pour le traitement de l’addiction aux opioïdes, d’élargir la distribution à d’autres institutions concernées, notamment dans les établissements médico-sociaux ou les prisons, ainsi qu'à la possibilité de remettre jusqu'à sept doses quotidiennes. Ces modifications, proposées par le Conseil fédéral, contribuent à ce que les personnes en traitement rencontrent moins d'obstacles. Les principes de promotion de l’autonomie et de la qualité de vie des personnes en traitement, reconnus pour d'autres maladies chroniques, sont donc enfin logiquement appliqués aux personnes sous traitement de diacétylmorphine. Cet allégement a été possible grâce à l’évolution des connaissances acquises pendant la pandémie et le semi-confinement. Pendant cette période, l’élargissement de la remise des traitements de diacétylmorphine a été nécessaire pour des raisons sanitaires et a fait ses preuves, selon un récent mandat d’analyse de l’OFSP."
grea.ch
La diacétylmorphine c'est vraiment le frère jumeau de l'héro... pour une personne qui ne veut/peut pas arrêter de s'injecter de l'héro, la diacétylmorphine lui permet de continuer à s'injecter, avec un produit "propre" qui présente toujours exactement les mêmes caractéristiques, sous contrôle médical et en toute légalité en suisse.
La méthadone est prévue pour être bue avec une vi de plus de 24 heures dans le corps pour se substituer à l'héro.... donc pas d'injection, pas de flash.
La méthadone est prévue pour être bue avec une vi de plus de 24 heures dans le corps pour se substituer à l'héro.... donc pas d'injection, pas de flash.
en suisse ça fait maintenant plus de 25 ans que des personnes peuvent s'injecter de l'héro synthétique (La diacétylmorphine). Le tout payer par l'assurance maladie. Et sous contrôle médical.
Les critères sont: Plusieurs tentatives avortées d'arrêt et de cure de méthadone, état de santé (pour un injecteur en mauvaise santé, de participer au PEPS (prescription d'héroine) favorise un contact avec le réseau médical, sort la personne de ses trafics, et lui permet de s'injecter un produit très fiable, sans coupe et de fait, améliore son état de. santé. L'âge de la personne rentre en compte également.
Les critères sont: Plusieurs tentatives avortées d'arrêt et de cure de méthadone, état de santé (pour un injecteur en mauvaise santé, de participer au PEPS (prescription d'héroine) favorise un contact avec le réseau médical, sort la personne de ses trafics, et lui permet de s'injecter un produit très fiable, sans coupe et de fait, améliore son état de. santé. L'âge de la personne rentre en compte également.
PerGiocare
Le 3 sept. 2022 - 09:45
Ben entre éventuels risques veineux et toxicomanie hard permanente ... Non ?
mescaline ( 3 sept.) disait:
Même si c’est sous contrôle médical, ça reste donc une injection en IV, répétée régulièrement, avec les conséquences possibles sur le réseau veineux. Pas de soucis de ce côté là ?
toutes les personnes qui participent à ce programme on vu une amélioration de leur santé physiologique et psychique.
Mais évidemment que cela a des conséquences. Mais bien moindre qu'une toxicomanie "sauvage" avec du matériel d'injection douteux et surtout, un produit dont on ne sait jamais ce qu'il contient réellement.
Mille fois moins d'abcès, de transmission hiv et hépatites, bref... de la vraie réduction des risques.
mescaline
Le 3 sept. 2022 - 09:58
PerGiocare ( 3 sept.) disait:
Ben entre éventuels risques veineux et toxicomanie hard permanente ... Non ?
Évidemment, mais je m’interrogeais par rapport à la méthadone (buvable)
Il est évident que sous contrôle médical, le risque infectieux diminue drastiquement, et que le produit est « fiable »
la méthadone évite le manque de l'héro mais ne reproduit pas ses effets.
Certaines personnes ne peuvent/veulent pas abandonner ces "bénéfices" que procure l'injection. Montée instantanée et flash. Certaines sont également très dépendantes du rituel de l'injection.
Nous ne sommes pas là pour juger ces personnes, nous leur donnons un moyen de moins se péjorer. Point.
Certaines personnes ne peuvent/veulent pas abandonner ces "bénéfices" que procure l'injection. Montée instantanée et flash. Certaines sont également très dépendantes du rituel de l'injection.
Nous ne sommes pas là pour juger ces personnes, nous leur donnons un moyen de moins se péjorer. Point.
quand je dis "nous" je parlais des personnes qui travaillent dans ce programme.
Il n'y a aucune autre attente dans ce programme que de réduire les risques liés aux prises de produit.
après il y a d'autres effets... mais au départ, c'est de la pure réduction des risques. Ce programme était précurseur en Europe et dans le monde.
Il n'y a aucune autre attente dans ce programme que de réduire les risques liés aux prises de produit.
après il y a d'autres effets... mais au départ, c'est de la pure réduction des risques. Ce programme était précurseur en Europe et dans le monde.
youtube.com
Depuis la reconquête du pouvoir par les talibans à Kaboul en août 2021, la situation humanitaire s'est considérablement détériorée. L'Afghanistan est le plus grand producteur d'opium au monde. Au cours des 20 dernières années, les talibans et les seigneurs de guerre ont gagné des milliards de dollars grâce à l'exportation d'héroïne.
Mais c’est aussi l’un des pays les touchés au monde par la toxicomanie. Le pays est ravagé par l’héroïne et plus particulièrement sa capitale.
Pourchassés à Kaboul par les talibans, des milliers de toxicomanes, dont l’addiction heurte leurs valeurs fondamentalistes, sont internés de force pour suivre une cure de désintoxication dans une clinique, située dans une ancienne base américaine.
Conçu à l’origine pour accueillir un millier de patients destinés à un sevrage drastique, pendant 45 jours, l’établissement croule aujourd’hui sous le nombre de personnes qui y sont envoyées. Cruellement dépourvu de médicaments, le centre peine à assurer sa mission : le stock de méthadone est inexistant, le personnel est dépassé, les patients souffrent de la faim. Jusqu’à cinq millions d’Afghans, pour un pays qui en compte trente-neuf millions, seraient dépendants de l’héroïne et de la méthamphétamine…
ARTE Reportage (Allemagne, 202
disponible jusqu'au 30/06/2025
Depuis la reconquête du pouvoir par les talibans à Kaboul en août 2021, la situation humanitaire s'est considérablement détériorée. L'Afghanistan est le plus grand producteur d'opium au monde. Au cours des 20 dernières années, les talibans et les seigneurs de guerre ont gagné des milliards de dollars grâce à l'exportation d'héroïne.
Mais c’est aussi l’un des pays les touchés au monde par la toxicomanie. Le pays est ravagé par l’héroïne et plus particulièrement sa capitale.
Pourchassés à Kaboul par les talibans, des milliers de toxicomanes, dont l’addiction heurte leurs valeurs fondamentalistes, sont internés de force pour suivre une cure de désintoxication dans une clinique, située dans une ancienne base américaine.
Conçu à l’origine pour accueillir un millier de patients destinés à un sevrage drastique, pendant 45 jours, l’établissement croule aujourd’hui sous le nombre de personnes qui y sont envoyées. Cruellement dépourvu de médicaments, le centre peine à assurer sa mission : le stock de méthadone est inexistant, le personnel est dépassé, les patients souffrent de la faim. Jusqu’à cinq millions d’Afghans, pour un pays qui en compte trente-neuf millions, seraient dépendants de l’héroïne et de la méthamphétamine…
ARTE Reportage (Allemagne, 202
disponible jusqu'au 30/06/2025
Sardineaioli05
Le 10 oct. 2022 - 11:55
bonagva
Le 26 oct. 2022 - 15:00
ronron
Le 26 oct. 2022 - 15:12
Un vrai pas de l'Allemagne vers la légalisation :
huffingtonpost.fr
Ça va être la fête en Alsace!
Et là, la situation de la France va vraiment devenir impossible à tenir.
lematin.ch
L’Allemagne ouvre la voie à une légalisation à usage récréatif
Histoire de tenir une promesse électorale, Berlin pose le cadre pour légaliser le commerce du cannabis. Le dernier mot appartiendra à la Commission européenne.
L’Allemagne ouvre la voie à une légalisation à usage récréatif
Histoire de tenir une promesse électorale, Berlin pose le cadre pour légaliser le commerce du cannabis. Le dernier mot appartiendra à la Commission européenne.
inscrit le 06/02/03
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