ak ( 3 févr.) disait:cool !
la bière c'est pas vraiment de l'alcool
donc je suis pas vraiment alcoolique
Echec de la guerre contre les drogues...
donc je suis pas vraiment alcoolique
PerGiocare
Le 5 févr. 2021 - 19:04
Ouais, mais certaines sont marquées par exemple 13°... C'est des degrés de quoi ?
Un sous marin de narco ... en Galice
opex360.com
Narco-Submarines : Specially Fabricated VesselsUsed for Drug Smuggling Purposes
core.ac.uk
core.ac.uk
Oui, il y a effectivement des drones sous-marin employés pour la surveillance :
rusi.org
Ils peuvent patrouiller pendant de très longues durées (des semaines, voire des mois).
On en retrouve aussi en Ecosse :
forbes.com
Certains cartels commencent à employer des drones kamikazes. C'est pas encore des Harop, mais ça en dit long sur la situation là-bas.
forbes.com
CARL HART SE CONFIE SUR L'USAGE DES SUBSTANCES
08 FÉVRIER 2021 CANNABISOPIOÏDESSTIMULANTS IMPRIMER
Le neuroscientifique américain et professeur à l'Université de Columbia Carl Hart publie un livre Drug Use for Grown-Ups (usage de drogues pour adultes, ndlr) où il se confie sur sa consommation d'héroïne ou de MDMA et tord le coup à certains préjugés. Selon lui, les effets négatifs de l'usage "récréatif" des substances sont exagérés. Il parle aussi de l'hypocrisie qui entoure la recherche et la médecine.
Il y a peu de domaines qui sont entourés d'autant de désinformation et d'hypocrisie que la consommation de substances, écrit Carl Hart. Il semble y avoir une tension entre la justice pénale pour contrecarrer les trafiquants de drogue toujours plus sophistiqués et la demande des consommateurs, dont l'appétit augmente constamment.
Derrière le débat moral et sociétal, il se cache une question scientifique essentielle : les drogues à des fins "récréatives" sont-elles nocives en elles-mêmes ? Si tout le monde s'accorde pour partager une certaine dangerosité de la MDMA, la cocaïne et l'héroïne, les arguments en faveur de leur interdiction sont disproportionnés. Selon lui, les dommages causés à la société dans son ensemble devraient être attribués à la pauvreté et à la criminalisation des drogues, plutôt qu'aux effets psychoactifs.
De nombreux scientifiques qui étudient les substances psychoactives exagèrent régulièrement l'impact négatif que la consommation de drogues récréatives a sur le cerveau. Ils taisent en revanche les effets bénéfiques que la consommation peut avoir. Ces scientifiques n'osent pas partager cette perspective par peur des répercussions sur leur capactié à obtenir des subventions.
Il dit que la médecine est conservatrice et qu'elle peut pécher par excès de prudence. "Mais ce qu'ils n'ont pas pris en considération, c'est qu'il y a un coût à pécher par excès de prudence et que ce coût est immense".
08 FÉVRIER 2021 CANNABISOPIOÏDESSTIMULANTS IMPRIMER
Le neuroscientifique américain et professeur à l'Université de Columbia Carl Hart publie un livre Drug Use for Grown-Ups (usage de drogues pour adultes, ndlr) où il se confie sur sa consommation d'héroïne ou de MDMA et tord le coup à certains préjugés. Selon lui, les effets négatifs de l'usage "récréatif" des substances sont exagérés. Il parle aussi de l'hypocrisie qui entoure la recherche et la médecine.
Il y a peu de domaines qui sont entourés d'autant de désinformation et d'hypocrisie que la consommation de substances, écrit Carl Hart. Il semble y avoir une tension entre la justice pénale pour contrecarrer les trafiquants de drogue toujours plus sophistiqués et la demande des consommateurs, dont l'appétit augmente constamment.
Derrière le débat moral et sociétal, il se cache une question scientifique essentielle : les drogues à des fins "récréatives" sont-elles nocives en elles-mêmes ? Si tout le monde s'accorde pour partager une certaine dangerosité de la MDMA, la cocaïne et l'héroïne, les arguments en faveur de leur interdiction sont disproportionnés. Selon lui, les dommages causés à la société dans son ensemble devraient être attribués à la pauvreté et à la criminalisation des drogues, plutôt qu'aux effets psychoactifs.
De nombreux scientifiques qui étudient les substances psychoactives exagèrent régulièrement l'impact négatif que la consommation de drogues récréatives a sur le cerveau. Ils taisent en revanche les effets bénéfiques que la consommation peut avoir. Ces scientifiques n'osent pas partager cette perspective par peur des répercussions sur leur capactié à obtenir des subventions.
Il dit que la médecine est conservatrice et qu'elle peut pécher par excès de prudence. "Mais ce qu'ils n'ont pas pris en considération, c'est qu'il y a un coût à pécher par excès de prudence et que ce coût est immense".
1 euro 40 pour des heures de speed...
lematin.ch
RÉDUCTION DES RISQUES ET ALCOOL : RAPPORT FRANÇAIS
16 FÉVRIER 2021 ALCOOLRÉDUCTION DES RISQUES
En France, un rapport paraît sur la réduction des risques liés à l'alcool. Financé par la Mildeca (ministère en charge des addictions), « La réduction des risques et des dommages liés à l’alcool » s’intéresse tout particulièrement aux initiatives de plus en plus répandues visant à accompagner la consommation d’alcool de personnes en difficulté avec ce produit, en particulier les plus vulnérables et en situation de précarité.
Le rapport « La réduction des risques et des dommages liés à l’alcool » (RdRDA) est rédigé par Guylaine Benech. Il a été conduit sous la direction scientifique de feu le Pr Michel Reynaud et du Dr Bernard Basset.
Le document se répartit en quatre partie et se termine par une liste de recommandations pour améliorer le dispositif français. En annexe, des fiches sur des expériences amènent une riche plus-value.
grea.ch
"LE PREMIER DRY JANUARY EN SUISSE EST UN SUCCÈS
18 FÉVRIER 2021
Le premier «Dry January» (janvier sans alcool) en Suisse a interpelé plusieurs milliers de personnes dans ce défi à la fois collectif et individuel, aussi bien sur le site internet, les réseaux sociaux et sur l’application Try Dry. Selon un sondage, 15% de la population y aurait participé. C’est un succès au-delà des espérances pour les organisateurs qui augure déjà d’une nouvelle édition en 2022.
Fichier(s) joints
Communiqué de presse
Le défi d’une pause d’alcool, ou d’une réflexion sur sa propre consommation, a débuté officiellement le 1er janvier 2021 dans le cadre d’une période bousculée par la pandémie de Covid-19. Pour les organisateurs, cette situation représentait une grande inconnue : allait-on adhérer à cette première édition en Suisse, après son lancement en Grande-Bretagne et en France, dans un contexte inédit ?
La réponse se lit dans les chiffres. 3’800 personnes se sont inscrites à la newsletter, dont près d’un tiers en Suisse romande. La participation a été la plus forte dans les cantons urbains : Zurich, Genève, Vaud. L’application Try Dry a été téléchargée 4’000 fois. En comparaison des chiffres lors du lancement du Dry January en France en 2020, les chiffres suisses dépassent les espérances des organisateurs. Quelque 2'000 personnes en Suisse ont suivi les pages Facebook, Instagram et Twitter. Vidéos de personnalités, concours, tirage au sort de prix, quiz et slogans légers : tout a été mis en œuvre pour faire de ce Dry January une expérience agréable et on le lit dans les témoignages reçus (en fin de CP).
La campagne semble s’être bien implantée en Suisse romande. Sur la base d’un échantillon de 528 personnes, un sondage indicatif mené par un institut extérieur montre que 62% de la population romande connaît le Dry January, contre 41% en Suisse alémanique. La mobilisation des acteurs de terrain romands aussi bien du domaine social que médical a contribué à cet essor. Dans les deux régions linguistiques, environ 15% de la population de plus de 18 ans a renoncé à l’alcool en janvier, soit un million de personnes. Trois personnes sur quatre (77%) peuvent même s’imaginer, une fois, faire une pause en janvier. En Suisse romande la démarche a été suivie avant tout pour des raisons de santé mais aussi pour relever un défi. Les restrictions sociales et festives ont été aussi une source de motivation. Cette période spéciale est par ailleurs vécue différemment selon les régions. Ce même sondage révèle qu’en Suisse romande, une personne sur deux (52%) dit boire moins d’alcool que d’habitude en raison de la pandémie, contre une personne sur trois (34%) en Suisse alémanique. Mais des deux côtés de la Sarine, environ 13% ont augmenté leur consommation.
Le Dry January semble aujourd’hui être l'un des meilleurs moyens d’ouvrir le débat sur l’alcool en Suisse, où la consommation est ancrée dans la culture nationale. Les bienfaits du challenge, total ou partiel, ne sont pas visibles simplement sur le plan physique et mental, mais aussi sur l’ouverture de la parole autour d’un produit finalement banalisé dans la société. Le Dry January reviendra en 2022. Comme ce fut le cas pour cette première édition, la campagne commencera à la fin de cette année déjà. Entretemps, l’application Try Dry qui a été plébiscitée, peut continuer à être téléchargée gratuitement."
source: encore et toujours l'excellent GREA (groupement romand d'étude des addictions)
18 FÉVRIER 2021
Le premier «Dry January» (janvier sans alcool) en Suisse a interpelé plusieurs milliers de personnes dans ce défi à la fois collectif et individuel, aussi bien sur le site internet, les réseaux sociaux et sur l’application Try Dry. Selon un sondage, 15% de la population y aurait participé. C’est un succès au-delà des espérances pour les organisateurs qui augure déjà d’une nouvelle édition en 2022.
Fichier(s) joints
Communiqué de presse
Le défi d’une pause d’alcool, ou d’une réflexion sur sa propre consommation, a débuté officiellement le 1er janvier 2021 dans le cadre d’une période bousculée par la pandémie de Covid-19. Pour les organisateurs, cette situation représentait une grande inconnue : allait-on adhérer à cette première édition en Suisse, après son lancement en Grande-Bretagne et en France, dans un contexte inédit ?
La réponse se lit dans les chiffres. 3’800 personnes se sont inscrites à la newsletter, dont près d’un tiers en Suisse romande. La participation a été la plus forte dans les cantons urbains : Zurich, Genève, Vaud. L’application Try Dry a été téléchargée 4’000 fois. En comparaison des chiffres lors du lancement du Dry January en France en 2020, les chiffres suisses dépassent les espérances des organisateurs. Quelque 2'000 personnes en Suisse ont suivi les pages Facebook, Instagram et Twitter. Vidéos de personnalités, concours, tirage au sort de prix, quiz et slogans légers : tout a été mis en œuvre pour faire de ce Dry January une expérience agréable et on le lit dans les témoignages reçus (en fin de CP).
La campagne semble s’être bien implantée en Suisse romande. Sur la base d’un échantillon de 528 personnes, un sondage indicatif mené par un institut extérieur montre que 62% de la population romande connaît le Dry January, contre 41% en Suisse alémanique. La mobilisation des acteurs de terrain romands aussi bien du domaine social que médical a contribué à cet essor. Dans les deux régions linguistiques, environ 15% de la population de plus de 18 ans a renoncé à l’alcool en janvier, soit un million de personnes. Trois personnes sur quatre (77%) peuvent même s’imaginer, une fois, faire une pause en janvier. En Suisse romande la démarche a été suivie avant tout pour des raisons de santé mais aussi pour relever un défi. Les restrictions sociales et festives ont été aussi une source de motivation. Cette période spéciale est par ailleurs vécue différemment selon les régions. Ce même sondage révèle qu’en Suisse romande, une personne sur deux (52%) dit boire moins d’alcool que d’habitude en raison de la pandémie, contre une personne sur trois (34%) en Suisse alémanique. Mais des deux côtés de la Sarine, environ 13% ont augmenté leur consommation.
Le Dry January semble aujourd’hui être l'un des meilleurs moyens d’ouvrir le débat sur l’alcool en Suisse, où la consommation est ancrée dans la culture nationale. Les bienfaits du challenge, total ou partiel, ne sont pas visibles simplement sur le plan physique et mental, mais aussi sur l’ouverture de la parole autour d’un produit finalement banalisé dans la société. Le Dry January reviendra en 2022. Comme ce fut le cas pour cette première édition, la campagne commencera à la fin de cette année déjà. Entretemps, l’application Try Dry qui a été plébiscitée, peut continuer à être téléchargée gratuitement."
source: encore et toujours l'excellent GREA (groupement romand d'étude des addictions)
lematin.ch
"Quelque 23 tonnes de cocaïne ont été découvertes dans des conteneurs dans les ports de Hambourg et Anvers, a annoncé mercredi le service allemand des douanes, saluant la plus importante saisie jamais effectuée en Europe."
23 tonnes...
23'000 kilos
23'000'000 de doses...
voir 230'000'000 boulettes....
Bim!
"Quelque 23 tonnes de cocaïne ont été découvertes dans des conteneurs dans les ports de Hambourg et Anvers, a annoncé mercredi le service allemand des douanes, saluant la plus importante saisie jamais effectuée en Europe."
23 tonnes...
23'000 kilos
23'000'000 de doses...
voir 230'000'000 boulettes....
Bim!
Un pétard mouillé?
nouvelobs.com
Sardineaioli05 ( 2 févr.) disait:
finalement, pas si longtemps que ça
Mhooon (24 févr.) disait:
Déjà que j'ai du mal avec l'alcool, si on commence à le couper au cannabis... ^^
Message modifié 1 fois. Dernière modification par Blacksite, 24/02/2021 - 17:28
Blacksite (24 févr.) disait:
Mhooon (24 févr.) disait:
Déjà que j'ai du mal avec l'alcool, si on commence à le couper au cannabis... ^^
contrairement à moi qui n'a du mal ni avec l'un, ni avec l'autre
Mhooon (24 févr.) disait:
Tinquiète pas. Pendant quelques heures tu peindras tes chars russes en rose, et ils lanceront des fleurs. On fera semblant de rien.
Je pense que je ne serai plus en état de peindre quoi que ce soit.
Message modifié 2 fois. Dernière modification par Blacksite, 24/02/2021 - 17:46
Je vais bientôt recevoir mon 2e coffret de ZeroZeroZero. La semaine prochaine probablement.
Et le nouveau numéro de Diplomatie Les grands dossiers est sorti.
areion24.news
Je t'ai photocopié les articles sur le Mexique, la Colombie et la Bolivie qui est apparemment devenu un gros producteur de coca .
Je t'enverrai tout ça dès que j'aurai tout.
"DE PLUS EN PLUS D'OPIOÏDES FORTS PRESCRITS
24 FÉVRIER 2021 MÉDECINE DES ADDICTIONSOPIOÏDES IMPRIMER
Une augmentation importante de la prescription d'opioïdes forts a été constatée entre 2013 et 2018. De nouvelles recherches plus complètes sont nécessaires afin de mieux en comprendre les raisons selon le rapport mandaté par la Confédération.
Fichier(s) joints
La fiche d'information en français
Le rapport complet (en allemand)
Une étude mandatée par la Confédération (disponible en ligne, en allemand(link is external), résumé en français(link is external)) met en évidence les changements observés en matière de prescription d’analgésiques et de somnifères sur la période allant de 2013 à 2018. Elle montre que la prescription d’opioïdes puissants a fortement augmenté fortement durant cette période (+42,2 % entre 2013 et 2018). Les opioïdes faibles sont un peu plus rarement prescrits (-9,8 %). La recherche souligne que 5 achats sur 6 d'opioïdes puissants ne sont pas associés à une maladie tumorale et que la majorité des cas concernent notamment des douleurs chroniques. Cette situation n'a pas pu être abordée en détail et doit être clarifiée par de nouvelles recherches. La problématique des prescriptions d'opioïdes ne doit pas être traitée à la légère, notamment à la lumière de la situation en Amérique du Nord (voir le dossier du GREA).
Des somnifères tels que les benzodiazépines sont eux prescrits plus rarement et moins longtemps qu’en 2013."
24 FÉVRIER 2021 MÉDECINE DES ADDICTIONSOPIOÏDES IMPRIMER
Une augmentation importante de la prescription d'opioïdes forts a été constatée entre 2013 et 2018. De nouvelles recherches plus complètes sont nécessaires afin de mieux en comprendre les raisons selon le rapport mandaté par la Confédération.
Fichier(s) joints
La fiche d'information en français
Le rapport complet (en allemand)
Une étude mandatée par la Confédération (disponible en ligne, en allemand(link is external), résumé en français(link is external)) met en évidence les changements observés en matière de prescription d’analgésiques et de somnifères sur la période allant de 2013 à 2018. Elle montre que la prescription d’opioïdes puissants a fortement augmenté fortement durant cette période (+42,2 % entre 2013 et 2018). Les opioïdes faibles sont un peu plus rarement prescrits (-9,8 %). La recherche souligne que 5 achats sur 6 d'opioïdes puissants ne sont pas associés à une maladie tumorale et que la majorité des cas concernent notamment des douleurs chroniques. Cette situation n'a pas pu être abordée en détail et doit être clarifiée par de nouvelles recherches. La problématique des prescriptions d'opioïdes ne doit pas être traitée à la légère, notamment à la lumière de la situation en Amérique du Nord (voir le dossier du GREA).
Des somnifères tels que les benzodiazépines sont eux prescrits plus rarement et moins longtemps qu’en 2013."
Première en Europe, saisie d'un narco semi-submersible...
Saisie d’un « narco sous-marin » en Europe
Vidéo avec l'intérieur de l'engin ici.
Saisie d’un « narco sous-marin » en Europe
Vidéo avec l'intérieur de l'engin ici.
Message modifié 1 fois. Dernière modification par Blacksite, 17/03/2021 - 19:00
J'ai commencé à regarder ZeroZeroZero. Plusieurs histoires se croisent dans cette expédition de cocaïne vers l'Europe : des mafieux italiens qui doivent réceptionner la marchandise, des "hommes d'affaire" américains qui affrètent le bateau pour la convoyer, des déserteurs des forces spéciales mexicaines qui mettent leurs talents au service des cartels. C'est cette dernière intrigue que je préfère.
Vraiment très intéressant et sympa. J'aurai fini au plus tard fin de cette semaine.
@ ak : je t'enverrai l'ensemble (le coffret DVD, le livre et des articles de presse) vendredi.
Vraiment très intéressant et sympa. J'aurai fini au plus tard fin de cette semaine.
@ ak : je t'enverrai l'ensemble (le coffret DVD, le livre et des articles de presse) vendredi.
plus c'est gros, plus ça passe
lematin.ch
ben pas là...
je passe tous les jours depuis... 15 ans...
on a du m'arrêter 5 fois...
me fouiller une...
et quand je dis "fouiller", on m'a demandé d'ouvrir mon véhicule...
quand ils ont vu le bordel... ils m'ont demandé de circuler
vélos, skis, matos de camping, vieux slips (ça marche super bien les vieux slips pour être tranquille) chaussettes qui puent (comme pour les slips )
on a du m'arrêter 5 fois...
me fouiller une...
et quand je dis "fouiller", on m'a demandé d'ouvrir mon véhicule...
quand ils ont vu le bordel... ils m'ont demandé de circuler
vélos, skis, matos de camping, vieux slips (ça marche super bien les vieux slips pour être tranquille
) chaussettes qui puent (comme pour les slips )
Le Mexique se rapproche de la légalisation de la marijuana
La Chambre des députés a approuvé un projet de loi visant à réglementer l'utilisation scientifique et industrielle du produit. Pour être adopté, le Sénat doit désormais voter ce texte, avant qu'il ne revienne devant la chambre basse.
A lire ici.
La Chambre des députés a approuvé un projet de loi visant à réglementer l'utilisation scientifique et industrielle du produit. Pour être adopté, le Sénat doit désormais voter ce texte, avant qu'il ne revienne devant la chambre basse.
A lire ici.
Sacrée victoire...
Moufide Bouchibi, l'un des plus gros barons de la drogue français arrêté à Dubaï.
lci.fr
Où l'on apprend que notre politique de répression permet à des gars de devenir des barons et s'installer à Dubaï...
PerGiocare
Le 1 avril 2021 - 07:10
anorak disait:Où l'on apprend que notre politique de répression permet à des gars de devenir des barons et s'installer à Dubaï...
Il y a des RM à Dubaï ? Ouvertes ?
Tan Da Boss
Le 1 avril 2021 - 13:53
inscrit le 26/11/99
7314 messages