greulaux
greulaux

inscrit le 09/02/04
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Pourquoi ce post ? Parce que :

lemonde.fr

Les fautes d'orthographe deviennent un handicap pour faire carrière

C'est pas nouveau vous allez me dire, mais pour l'avoir plus ou moins vécu dans un cadre professionnel, ça fait sacrément réfléchir, croyez moi.


Toutes ces règles proviennent du site suivant :
leconjugueur.com

Maintenant, au boulot : ;-)

Qu'appelle-t-on Conjugaison ?

La conjugaison est l'ensemble des formes que peut prendre un verbe

Le mode, le temps et la personne déterminent chacune des formes que peut prendre un verbe.
En français, il existe 4 modes :
L'indicatif exprime des actions et des vérités générales.
Le subjonctif exprime un souhait, une volonté ou un conseil.
Le conditionnel exprime une condition.
L'impératif exprime un ordre.
Chacun de ses modes est subdivisé en temps. On distingue les temps simples des temps composés. Un temps composé se construit toujours avec un auxiliaire puis le verbe au participe passé.
Enfin, chaque temps comporte 6 personnes repérées par les pronoms personnels je, tu, il/elle/on, nous, vous, ils/elles.
Il existe également des formes impersonnelles comme le participe et infinitif. Au total, pour chaque verbe, il peut exister près d'une centaine de formes possibles. Mais pas de panique, la plupart se ressemble beaucoup.

Les groupes

En français, les verbes peuvent êtres classés dans trois groupes différents.

PREMIER GROUPE : les verbes dont l'INFINITIF se termine en -ER sauf ALLER.

Particularité: il est le plus régulier de tous les groupes parce que son unique radical ne subit pas de modification au cours de la conjugaison: AIMER: aim-e; aim-ons; aim-ent).

DEUXIÈME GROUPE : ceux qui terminent en -IR (ces verbes ont l'infinitif en -IR et le Participe Présent en -ISSANT).
Il s'agit aussi d'un groupe régulier, puisque tous les verbes qu'il englobe se conjuguent en utilisant toujours de la même manière leur double radical : l'un pour les personnes du singulier et l'autre pour les personnes du pluriel : fin-is; finiss-ons).

TROISIÈME GROUPE : appartiennent à ce groupe tous les verbes irréguliers. On peut subdiviser ce groupe en trois sous-groupes :

1. Les terminés en -IR (comme MOURIR : mour-ant; mour-ons);
2. Les terminés en -OIR (comme RECEVOIR : recev-ant; recev-ons);
3. Les terminés en -RE (comme RENDRE : rend-ant; rend-ons);

4. ALLER qui, malgré sa terminaison, est du troisième groupe.
Les modes
On appelle mode, la manière dont le verbe exprime l'état ou l'action. En français, on distingue deux types de mode :

- les modes personnels : ils sont introduits par un pronom personnel, je, tu, il etc.
- les modes impersonnels : tous les modes n'ayant pas de pronom personnel : l'infinitif, le participe et le gérondif.
Les modes personnels sont au nombre de quatre :

- L'indicatif exprime des actions et des vérités générales.
- Le subjonctif exprime un souhait, une volonté ou un conseil.
- Le conditionnel exprime une condition.
- L'impératif exprime un ordre.

Certaines grammaires tendent à rattacher le conditionnel à l'indicatif et ne le considèrent pas comme un mode à part entière. C'est vrai que sur la forme et le sens, on peut le rapprocher de l'indicatif. Pour des raisons de tradition, le conjugueur présente le conditionnel comme un mode à part entière.
Quant à l'impératif, il comporte une flexion de personne incomplète car il ne se forme pas avec toutes les personnes. "je", "il" et "ils" sont les grands absents de l'impératif.
Les modes impersonnels sont au nombre de trois : l'infinitif, le participe et le gérondif. Ils permettent de conférer au verbe des emplois réservés à d'autres classes tels que les noms ou les adjectifs.

Les voix

La catégorie de la voix permet d'indiquer de quelle manière le sujet prend part à l'action. On distingue trois types de voix :
La voix active
Lorsque le verbe est à la voix active, le sujet se retrouve le moteur de l'action. C'est lui qui est véritablement l'agent de cette action.

Le chat mange la souris.
La voix passive

Au contraire, à la voix passive, le sujet devient spectateur de l'action et la subit.

La souris est mangée par le chat.

Grammaticalement, le complément d'objet passe à gauche du verbe et devient le sujet tandis que le sujet devient à droite le complément d'agent.

Tous les verbes ne peuvent pas se mettre à la voix passive. Seuls les verbes qui sont transitifs directs peuvent se mettre à la voix passive. Une manière simple de retenir quels verbes peuvent se mettre à la voix passive est de regarder s'il y a une préposition après le verbe comme à, de, au, du etc. À ce moment, il n'est pas possible de mettre le verbe à la voix passive.
De plus, tous les verbes d'état ne peuvent être mis à la voix passive. On appelle verbe d'état les verbes qui n'expriment pas une action mais qui permettent d'attribuer une caractéristique (qualité ou défaut) à un être ou un objet : être, devenir, sembler, paraître, rester...

La voix pronominale

La voix pronominale se forme avec le pronom réfléchi personnel "se". En français, les deux modes privilégiés sont la voix active et la voix passive. Certains grammairiens classent la voix pronominale dans la voix passive avec un complément d'agent "se".

Il se promène dans son jardin.

Certains verbes sont conjugués uniquement à la forme pronominale. On parle alors de verbes essentiellement pronominaux : se méfier, se désister, se souvenir, s'évanouir...
On parle voix pronominale réfléchie lorsque le sujet et le pronom sont la même personne. Dans le cas inverse, on parle de voix pronominale réciproque.

il s'est regardé dans la glace. (réfléchi)

Pierre et Paul se sont regardés dans la glace. (réciproque)

Règle générale : les accents

On ne met pas d'accent sur une voyelle suivie d'une consonne doublée ou d'un x :
- s'efforcer, examiner...
Sauf dans le cas où l'accent sert à différencier un verbe d'un autre :
- que je crûsse (imparfait du subjonctif du verbe croître)

Verbes avec un e muet

Devant une syllabe contenant un e muet, on écrit è et non é : évènement (note : événement est l'orthographe la plus répandue) comme avènement, cèdera comme lèvera, etc.

Exceptions :

a) les préfixes dé- et pré- (dégeler, prévenir, etc.) ;
b) les é initiaux (échelon, édredon, élever, etc.) ;
c) médecin et médecine.
Dans les verbes terminés à l'infinitif par -eler et -eter, le e du radical se change en è quand la syllabe qui suit contient un e muet : il détèle, il époussète ; il détèlera, etc. Les noms en -ment s'écrivent comme le verbe.

Exceptions : appeler, jeter et les verbes de leurs familles (y compris interpeller) redoublent l ou t devant une syllabe contenant un e muet : j'appelle, je jette, j'appellerai, etc.

Note : Ceci fait partie des modifications orthographiques de 1990, les anciennes formes sont encore tolérées.

Verbes avec le préfixe "dé"

Lorsqu'un verbe commence par le préfixe dé, il prend normalement un accent : déranger...
Sauf dans le cas où un s de liaison apparaît. On écrit alors des avec 2 s pour former le son s :

- dessécher, dessaisir, desservir, dessabler...
Et on écrit dé lorsque l'on entend le son Z :
- désunir, déshabiller, désaccord, déshonneur...

Verbes à la forme interrogative

Lorsque le verbe se termine par un e final, un accent grave apparaît dans la nouvelle orthographe afin de tenir compte des sonorités. Ainsi écrit-on : puissè-je, aimè-je...

L'accent circonflexe

L'accent circonflexe peut se placer sur toutes les voyelles sauf le y : â, ê, î, ô et û.
Son rôle est multiple puisqu'il est à la fois historique, il sert également à distinguer les mots et il fait partie des terminaisons normales de certains temps.

L'accent circonflexe historique

Dans le cas de certains mots, l'accent circonflexe provient de l'évolution de la langue. Il remplace souvent le e et le s de certains mots. On retrouve cependant l'ancienne orthographe dans le dérivé du mot (forêt/forestier) ce qui permet de deviner la place de l'accent :

- âge s'écrivait autrefois eage
- tête s'écrivait autrefois teste
- forêt, forestier
- vêtement, vestimentaire
- hôpital, hospitalier
- fenêtre, défenestrer

Cette évolution nous viendrait du moyen-âge. À cette époque, le papier était rare et l'imprimerie n'existait pas. Pour économiser de la place, les moines chargés de recopier les livres remplaçaient parfois le s de certains mots par un s au dessus de la consonne. Au fur et à mesure, le s est devenu un ^ jusqu'à ne plus prononcer le s de ces mots.

L'accent circonflexe de différenciation

Pour d'autres cas au contraire, l'accent circonflexe permet de faire la différence entre deux mots. Typiquement, le participe passé de devoir est dû afin de ne pas le confondre avec l'article du (du pain).
- que je crûsse (imparfait du subjonctif du verbe croître)
- crû (participe passé de croître) à distinguer de cru (verbe croire et adjectif)
- le nôtre et le vôtre à distinguer des pronoms possessifs notre et votre

L'accent circonflexe des terminaisons

Lorsque le "i" est suivi d'un "t", on retrouve un accent circonflexe. Par exemple pour les verbes en aître et oître : il disparaît, il croît...
Note : cette forme tend à progressivement disparaître car l'Académie Française recommande de ne plus mettre l'accent circonflexe sur ces verbes : apparaitre, il apparait, comparaitre, il connait, croitre etc. Mais attention si vous les utilisez, sachez les justifier!
Et enfin à l'imparfait du subjonctif :
- qu'il mangeât
- qu'il eût mangé
- il fût venu

Le trait d'union avec en

Lorsque en est placé en début de phrase, il n'y a pas de trait d'union avec le verbe :
- en venant
- en marchant
- s'en aller
Par contre, lorsque le pronom en est placé juste après le verbe, on met un trait d'union entre le verbe et le pronom :
- viens-en au fait
- vends-en un peu
Lorsque le verbe ne se termine pas par un s, on ajoute un s à la fin du verbe afin de tenir compte des sonorités. On dit qu'il s'agit d'une raison euphonique :
- donnes-en mais donne
- gardes-en un peu mais garde-les
À l'impératif avec le pronom personnel de la seconde personne (toi), le pronom se change en t' devant le en :
- va-t'en
- convaincs-t'en

Le trait d'union avec y

Avec le pronom y, on retrouve les mêmes règles qu'avec en.
- vas-y mais va
- rends-t'y
- allons-y
- nous y allons

Le trait d'union avec non

Lorsque non est suivi par un verbe à l'infinitif, on ajoute un trait d'union avec le verbe. Si le verbe n'est pas à l'infinitif, il n'y a pas de trait d'union.
- une fin de non-recevoir
- un devoir non achevé

Le trait d'union avec l'impératif

Les pronoms personnels situés après un impératif se joignent à lui et entre eux par un trait d'union.
- allons-nous-en
- prête-le-moi
- vends-lui-en
La seule exception est avec pronom en et y avec toi puisque celui-ci se change en t'.
- va-t'en
- rends-t'y
Cependant, si ces pronoms personnels se rapportent à un infinitif placé après l'impératif, les traits d'union disparaissent.
- viens me le dire
- laisse-moi la regarder
Pour déterminer si un pronom personnel se rapporte ou non à l'infinitif, il faut mettre la phrase à l'infinitif. Les pronoms situés avant le verbe conjugué se rapportent à celui-ci et seront donc liés par trait d'union à l'impératif.
- viens me le dire (tu viens me le dire)
- laisse-moi la regarder (tu me laisses la regarder)
- regarde-le chanter (tu le regardes chanter)

Le trait d'union dans les questions

Il existe plusieurs façons de poser les questions en français. La plus familière est de poser la question sur le modèle sujet + verbe + complément. L'intonation de la voix détermine alors qu'il s'agit d'une question.
Une autre forme, plus soutenue, consiste à faire précéder le verbe de est-ce que + sujet + verbe + complément.
Enfin, la forme la plus soutenue est celle de l'inversion du sujet. Un trait d'union apparaît entre le verbe et le sujet qui se retrouve alors à droite du verbe : verbe + trait d'union + sujet + complément. Pour des raisons de sonorité, il est possible qu'il apparaisse avec la troisième personne du singulier. De même, un accent grave peut apparaître au présent de l'indicatif lorsque le verbe est terminé par un e.
- Tu viendras ?
- Est-ce que tu viendras ?
- Viendras-tu ?
- Viendra-t-il ?
- Puisse-t-il venir ?
- Puissè-je venir ? (nouvelle orthographe, puissé-je est encore admis)
Les homophones
Les homophones sont tous les mots qui se prononcent de la même façon mais dont l'orthographe change.
En plus des changements orthographiques, ces mots donnent souvent un sens différent à la phrase.
Les homophones grammaticaux désignent ainsi des mots au son similaire mais de différente catégorie grammaticale.

Différence entre a et à

Les mots a et à sont des homophones grammaticaux c'est-à-dire qu'ils n'ont pas la même fonction grammaticale dans la phrase.
- a provient du verbe avoir conjugué au présent de l'indicatif : il a.
- à est une préposition.
La façon la plus simple pour les distinguer est de mettre la phrase dans un autre temps comme l'imparfait. À l'imparfait, a devient avait tandis que à ne change pas.
On écrit toujours à devant un infinitif et a devant un participe passé. Pour reconnaître le participe passé de l'infinitif, on peut prendre un verbe du troisième groupe comme prendre, vendre, dormir... En plus on obtient l'accord : pris, prise ou prendre.
- il a dit de ne pas s'en faire. (présent)
- il avait dit de ne pas s'en faire. (imparfait)

- il ne pense qu'à manger. (On remplace par un autre verbe)
- il ne pense qu'à dormir.

Utilisation de se et ce

=> se s'emploie devant un verbe pour désigner une action réfléchie : se lamenter, se raser...
=> ce s'emploie devant un nom pour désigner l'objet que l'on veut représenter.

Différence entre et / est

et et est ne sont pas vraiment des homophones car leur son est légèrement différent. Cependant, il peut être facile de les confondre à l'écrit. Ici aussi, il faut examiner leur fonction grammaticale.
et est avant tout une conjonction de coordination, c'est-à-dire qu'il est utilisé pour faire la liaison entre les mots et les idées : le chien et le chat.
est est un verbe venant de être. On le retrouve dans la conjugaison : il est.
Une première façon pour les différencier est de mettre la phrase au passé : est devient était tandis que et ne change pas.
Une deuxième méthode consiste à remplacer et par ou : le chien ou le chat. Si la phrase n'a plus aucun sens, c'est sûrement qu'il s'agit de est.

Différence entre s'est / c'est

Pour bien faire la différence, on peut mettre la phrase à la première personne du singulier. Dans ce cas, s'est devient me suis tandis que c'est lui ne bouge pas.
C'est un garçon. => C'est un garçon.
Il s'est levé de bonne heure. => Je me suis levé de bonne heure.
On peut aussi mettre la phrase à la forme négative. C'est devient ce n'est pas et s'est devient ne s'est pas :
C'est un garçon. => Ce n'est pas un garçon.
Il s'est levé de bonne heure. => Il ne s'est pas levé de bonne heure.

Différence entre on et ont

Pour faire la différence entre on et ont, il faut mettre la phrase au passé. On reste on puisqu'il s'agit d'un pronom personnel comme il ou nous. Ont devient avaient.
On est venu ce soir.
==> Nous sommes venus ce soir.

Ils ont trouvé la route.
==> Ils avaient trouvé la route.

Différence entre leur et leurs

D'une manière générale, leur, pronom personnel invariable, reste invariable devant un verbe. Si on peut remplacer leur par lui alors leur reste invariable.
Il leur reste un dernier espoir.
==> Il lui reste un dernier espoir.
Mais leur peut aussi être un adjectif possessif. Dans ce cas, il s'accorde en nombre devant un nom pluriel : leurs.
Leur table est belle.
Leurs chaises sont jaunes.
Leur peut aussi être un nom commun dans l'expression "le leur" pour désigner ce qui est à eux. On dit aussi "être des leurs" pour désigner une appartenance à un groupe ou à une famille.
Le voisin a aussi un chat mais le leur est gris.
Il est des leurs.

Différence entre leur et leurs

D'une manière générale, leur, pronom personnel invariable, reste invariable devant un verbe. Si on peut remplacer leur par lui alors leur reste invariable.
Il leur reste un dernier espoir.
==> Il lui reste un dernier espoir.
Mais leur peut aussi être un adjectif possessif. Dans ce cas, il s'accorde en nombre devant un nom pluriel : leurs.
Leur table est belle.
Leurs chaises sont jaunes.
Leur peut aussi être un nom commun dans l'expression "le leur" pour désigner ce qui est à eux. On dit aussi "être des leurs" pour désigner une appartenance à un groupe ou à une famille.
Le voisin a aussi un chat mais le leur est gris.
Il est des leurs.

Différence entre notre et nôtre

Notre est un adjectif possessif et peut être facilement remplacé au pluriel par nos.
Nôtre est un pronom possessif. Il est toujours précédé d'un le ou d'un la. Au pluriel, il devient nôtres.
Bref, le plus simple est de mettre la phrase au pluriel pour savoir s'il s'agit de notre ou nôtre.
Un membre de notre famille
==> un membre de nos familles

c'est le nôtre
==> ce sont les nôtres
Note : idem pour votre et vôtre

Différence entre ou et où

Ou peut se remplacer par ou bien. Où permet de poser une question ou de ne pas répéter un mot. Où précise un lieu. Il ne peut pas être remplacé par ou bien.
En terme de grammaire, ou est une conjonction de coordination. Où peut à la fois être un pronom interrogatif ou un pronom relatif.
Veux-tu du café ou chocolat ?
==> Veux-tu du café ou bien du chocolat.

Où vas-tu ?
==> On pose une question : Où pronom interrogatif
L'endroit où tu vas est très joli.
==> On précise le lieu : Où pronom relatif. Où remplace l'endroit.

Accord avec le sujet

1/ Règle générale

En règle générale, le verbe s'accorde avec son sujet. On peut le repérer en posant la question : "Qui est-ce qui ?" ou "Qu'est-ce qui ?".
Dans le cas où il y a plusieurs sujets, on considère qu'il s'agit d'un pluriel. Pour le genre, désolé mesdames mais le masculin l'emporte. Il suffit d'un seul sujet masculin au milieu de 10 sujets féminins pour que le masculin l'emporte.
- le cheval est blanc.
- le cheval et le mur sont blancs.
- les guitares sont neuves.
- la guitare et la sono sont neuves.
- la guitare et le violon sont neufs.

2/ Accords difficiles avec un sujet

Lorsque le sujet se compose d'une partie au singulier et d'une partie au pluriel, on a le choix de l'accord en fonction du sens.
- Le groupe des bleus partira en premier.
- Un petit groupe d'enfants se faufilent au premier rang.
Lorsque le sujet comprend des expressions de quantité comme : peu, beaucoup, trop, la plupart, assez, combien, l'accord se fait au pluriel. Mais avec un nom au singulier, l'accord se fait au singulier.
- La plupart des gens font leurs courses le samedi.
- Trop de pluie inonde les sols.
Lorsque le sujet est un pronom relatif (qui, que, quoi, dont, où, auquel, duquel...), le verbe être s'accorde avec son antécédent. Si celui-ci est pluriel, l'accord est au pluriel.
- Il aime les chats qui sont noirs.
- La palette de couleurs qui est utilisée est jolie.
C'est, ce sont, c'était, c'étaient : le verbe être s'accorde avec l'attribut du sujet. Mais avec nous et vous le verbe être reste au singulier.
- Ce sont eux qui ont gagné.
- C'est nous qui avions raison.

3/ Accords difficiles avec plusieurs sujets

Quand les verbes sont à des personnes différentes, le tu l'emporte sur le il. Le je l'emporte sur le tu. Pour simplifier je puis tu puis il.
- Paul reste.
- Paul et toi restez.
- Paul et moi restons.
- Paul, toi et moi restons.
Avec plusieurs sujets, l'accord se fait au pluriel si les sujets s'additionnent. Avec ou, il n'y a pas d'addition mais une sélection entre les deux sujets. Avec et, ni, comme, avec, il y a addition. Attention à la ponctuation pour voir l'addition.
- Le blanc et le noir me vont.
- Ni le blanc ni le noir ne me vont.
- Le blanc ou le noir me va.
- Le blanc comme le noir me vont.
- Le blanc, avec le pull, me va.

Accord de la forme pronominale

Le participe passé des verbes pronominaux suit une règle d'accord différente de celle de l'auxiliaire être même si la forme pronominale est formée avec être.

1/ Accord avec le sujet

Les verbes pronominaux de sens passif ou neutre n'ayant pas de complément d'objet COD ou COI se conjuguent avec le sujet.
Les verbes essentiellement pronominaux c'est-à-dire ne se conjuguant qu'à la forme pronominale (s'enfuir) se conjuguent avec le sujet.
- nous nous sommes méfiés. (verbe essentiellement pronominal)
- la guitare s'est vendue facilement. (verbe de sens passif)
- ils se sont aperçus du problème. (verbe de sens neutre)

2/ Verbes de sens réfléchi et de sens réciproque

On accorde le participe passé avec le complément d'objet direct (COD) si celui-ci est placé avant le verbe (comme pour les verbes conjugués avec avoir). Le COD peut être le pronom réfléchi ou un autre mot de la phrase. En général, on reconnaît un COD en se posant la question quoi ? Ces verbes sont dits transitifs.
Si le complément qui suit est un complément d'objet indirect (COI), comme avec avoir, il n'y a pas d'accord. Les COI sont introduits par des prépositions comme à, de, par etc. Ces verbes sont dits intransitifs.
- ils se sont habillés.
===> verbe de sens réfléchi
- nous nous sommes rencontrés.
===> verbe de sens réciproque
- voici les vêtements qu'il s'est achetés.
accord avec vêtements, COD placé avant le verbe
- ils se sont acheté des vêtements.
===> COD après le verbe : pas d'accord
- ils se sont plu.
===> verbe intransitif, pas d'accord
- les secondes se sont succédé.
===> verbe intransitif, pas d'accord

3/ Verbes pronominaux suivis d'un infinitif

On accorde le participe passé avec le COD placé avant le verbe si le COD fait l'action exprimée par l'infinitif (comme avec l'auxiliaire avoir)
- Nous nous sommes entendus chanter à la radio.
===> infinitif : action faite par le COD chanter, accord
- Nous nous sommes vu féliciter par le moniteur.
===> infinitif : l'action est portée sur voir, pas d'accord


L'auxiliaire avoir

Avoir dans les temps composés
Il existe seulement deux auxiliaires en français : avoir et être.
Avoir s'emploie principalement avec les temps composés : j'ai mangé, il aurait su...
Pour former le temps composé, on conjugue l'auxiliaire avoir et on lui ajoute le participe passé du verbe.

Avoir, pour les verbes d'action
Avoir s'emploie lors de la conjugaison des verbes d'action. Pour les verbes d'état, on utilise plutôt l'auxiliaire être.
Même si la grande majorité des verbes sont des verbes d'action qui ne se conjuguent qu'avec l'auxiliaire avoir, certains verbes acceptent les deux auxiliaires indifféremment en changeant néanmoins de sens.
Avec avoir, les verbes suivants expriment une action alors qu'ils expriment le résultat de cette même action lorsqu'ils s'emploient avec être.
aborder crever expirer
descendre changer enlaidir
rajeunir vieillir maigrir
...
Ex: J'ai descendu le piano.
Je suis descendu.
Cette liste ne se veut pas exhaustive et il existe de nombreux verbes de ce genre.

L'auxiliaire être

Être dans les temps composés
Il existe seulement deux auxiliaires en français : avoir et être.
Tout comme avoir, être s'emploie également pour former les temps composés de certains verbes.
On dit ainsi je suis tombé ou je suis venu. Il s'agit là de la conjugaison normale du verbe et on n'utilise jamais l'auxiliaire avoir pour ces verbes.
Les verbes qui ont cette particularité sont des verbes d'état, c'est-à-dire qu'ils ne désignent pas une action mais un état. Parmi ces verbes, on retrouve:
mourir naître tomber devenir
venir partir arriver aller
...
Cette liste ne se veut pas exhaustive et il existe de nombreux autres verbes d'état.

Être avec la forme passive
Être peut également s'employer avec les verbes transitifs, ie suivis par un COD, pour rendre le sujet passif.
Voix active : le chat mange la souris
Voix passive : La souris est mangée par le chat.
Lorsque l'auxiliaire être est employé dans la conjugaison, le sujet subit l'action alors qu'il en est l'acteur avec l'auxiliaire avoir. Cette transformation n'est possible que dans le cas où le verbe est suivi par un complément d'objet direct (COD). Le complément se transforme alors en un complément d'agent.
Enfin, le dernier point que l'on peut noter est l'accord du participe passé avec le sujet avec la forme passive.

Accord du participe passé suivi d'un infinitif

Lorsque le participe passé est suivi immédiatement par un infinitif, il faut se poser la question de qui fait l'action indiquée par l'infinitif. Si le sujet fait l'action du participe passé, alors on l'accorde.
- la personne que j'ai entendue parler (c'est la personne qui parle)
- la chanson que j'ai entendu chanter (la chanson est chantée)
Fait et laissé
Les cas d'accord de fait et laissé suivis par un infinitif prêtent souvent à confusion. C'est pourquoi, l'Académie Française recommande dans la réforme de 1990 de les considérer comme invariables lorsqu'ils sont suivis d'un infinitif avec l'auxiliaire avoir ou dans la forme pronominale.
- elles se sont fait prendre
- elle s'est laissé séduire
- je les ai fait venir
- la lettre que j'ai fait partir
Eu à, donné à
Ces participes passés suivis d'un infinitif s'accordent si le nom (ou le pronom) qui précède est senti comme le COD du participe :
- les problèmes qu'il a eu à résoudre (il a eu quoi ? à résoudre des problèmes)
- l'auto qu'on lui avait donnée à réparer (on lui avait donné quoi ? une auto à réparer)
Le verbe à l'infinitif peut aussi être sous-entendu :
- j'ai fait tous les efforts que j'ai pu... (que j'ai pu faire)

Accord de la forme pronominale

Le participe passé des verbes pronominaux suit une règle d'accord différente de celle de l'auxiliaire être même si la forme pronominale est formée avec être.

1/ Accord avec le sujet

Les verbes pronominaux de sens passif ou neutre n'ayant pas de complément d'objet COD ou COI se conjuguent avec le sujet.
Les verbes essentiellement pronominaux c'est-à-dire ne se conjuguant qu'à la forme pronominale (s'enfuir) se conjuguent avec le sujet.
- nous nous sommes méfiés. (verbe essentiellement pronominal)
- la guitare s'est vendue facilement. (verbe de sens passif)
- ils se sont aperçus du problème. (verbe de sens neutre)

2/ Verbes de sens réfléchi et de sens réciproque

On accorde le participe passé avec le complément d'objet direct (COD) si celui-ci est placé avant le verbe (comme pour les verbes conjugués avec avoir). Le COD peut être le pronom réfléchi ou un autre mot de la phrase. En général, on reconnaît un COD en se posant la question quoi ? Ces verbes sont dits transitifs.
Si le complément qui suit est un complément d'objet indirect (COI), comme avec avoir, il n'y a pas d'accord. Les COI sont introduits par des prépositions comme à, de, par etc. Ces verbes sont dits intransitifs.
- ils se sont habillés.
===> verbe de sens réfléchi
- nous nous sommes rencontrés.
===> verbe de sens réciproque
- voici les vêtements qu'il s'est achetés.
accord avec vêtements, COD placé avant le verbe
- ils se sont acheté des vêtements.
===> COD après le verbe : pas d'accord
- ils se sont plu.
===> verbe intransitif, pas d'accord
- les secondes se sont succédé.
===> verbe intransitif, pas d'accord

3/ Verbes pronominaux suivis d'un infinitif

On accorde le participe passé avec le COD placé avant le verbe si le COD fait l'action exprimée par l'infinitif (comme avec l'auxiliaire avoir)
- Nous nous sommes entendus chanter à la radio.
===> infinitif : action faite par le COD chanter, accord
- Nous nous sommes vu féliciter par le moniteur.
===> infinitif : l'action est portée sur voir, pas d'accord

Accord avec le pronom on

L'accord avec le pronom on dépend largement de ce à quoi il se rapporte.
Lorsque on = tout le monde, les gens en général, on remplace le il et est de la troisième personne du singulier. On notera que cet usage de on est soutenu.
- Dans ce pays on dîne à 20h.
- On dit que de tous les peuples de la Gaule les Belges sont les plus braves.
On peut également se mettre à la place de nous. L'accord se fait alors comme si le on était de la première personne du pluriel avec les participes passés. Cet emploi de on se fait à l'oral. On préfère largement utiliser le on à la place du nous à l'oral.
- on est allés à la plage hier, j'en suis encore fatigué.
- on est rentrés tard cette nuit.
Dans un sens proche de l'ironie, on peut également se mettre à la place de tu et vous. Il remplace alors une deuxième personne.
- C'est à cette heure-ci qu'on arrive.
- Alors, on n'a pas fait aujourd'hui ?
Enfin, le tableau ne serait pas complet si on ne remplaçait pas le je. L'accord est alors comme la première personne.
- Deux secondes, on arrive.
- On fait ce qu'on peut.
Dans toutes les conjugaisons de on, la marque de la personne se fait uniquement sur le participe passé. Le verbe ou l'auxiliaire est toujours à la troisième personne du singulier.

Le futur proche

Le futur proche n'est pas à proprement parler un temps du futur. Voilà pourquoi il ne figure pas dans la liste des conjugaisons. Il s'agit plutôt d'une tournure de phrase.
Le futur proche se construit avec aller + infinitif. Il permet d'exprimer :

- un événement sur le point de se produire
- quelque chose que l'on va immédiatement faire.
- un projet ou des prévisions

Exemples :
Je vais souffler les bougies.
Il va bientôt arriver.
Les copains vont faire une drôle de tête.
Formation du conditionnel
Le conditionnel existe sous trois temps : le présent, le passé première forme et le passé deuxième forme.

1/ Le conditionnel présent

Le conditionnel présent est formé comme le futur simple, mais avec les terminaisons de l'imparfait. On retrouve ainsi toutes les irrégularités et les exceptions du futur.
Par exemple, le verbe aller au futur : J'ir-ai. Le verbe aller au conditionnel : J'ir-ais.

2/ Le conditionnel passé

Le conditionnel passé première forme se forme en prenant l'auxiliaire adéquat au conditionnel présent + participe passé. Il s'agit de la forme la plus souvent utilisée.
Le conditionnel passé deuxième forme se forme en prenant l'auxiliaire adéquat à l'imparfait du subjonctif + participe passé. Cette forme est plus utilisée à l'écrit. Il s'agit d'une forme de langage très soutenue.

Formation de l'impératif

L'impératif existe sous deux temps : le présent et le passé. On ne s'étendra pas davantage sur l'impératif passé car personnellement, je ne l'ai jamais vraiment beaucoup rencontré. Disons simplement qu'il se forme avec l'auxiliaire être et avoir. (Aie rangé tes affaires quand j'arrive).
La principale caractéristique de l'impératif est de n'exister qu'aux personnes : tu, nous et vous. Il permet d'exprimer un ordre, donner un conseil ou faire une suggestion.
En général, l’impératif est identique au présent de l'indicatif à l'exception près qu'il n'a pas de sujet. La seule règle par rapport au présent est la disparition du s final de la deuxième personne pour tous les verbes se terminant par un e (verbe en -er y compris aller et certains verbes du troisième groupe comme cueillir). Sauf devant en et y où l'on garde le s pour une raison de sonorité (voir la note de grammaire à ce sujet).
- Cueille des fleurs!
- Va te coucher!
- Allons-y!
- Mangez des pommes!

Utilisation du futur

Le futur peut indiquer :

1) une action qui va se produire considérée comme certaine
Je vais aller à la mairie pour me faire une carte d'identité, ils sauront me renseigner.
On est sûr d'obtenir une réponse.
Remarque : aller suivi par son propre infinitif désigne un futur proche : je vais aller.

2) un ordre
Pendant que je fais le ménage, tu feras la vaisselle.
"Tu feras" signifie "fais" et il s'agit d'un ordre.

Utilisation de l'imparfait et du passé simple

I) L'imparfait :
L'imparfait peut indiquer :

1) une action du passé dont la durée n'est pas définie
Il prenait son bain.
Elle occupait un poste dans l'administration.

2) une action ou un phénomène qui se répète
Le midi, il mangeait dans le parc.
Tous les jours, elle nettoyait les meubles.

3) une description
À l'est de l'étang, c'étaient les bruyères et puis les prairies et les cultures. La ferme s'élevait presque à l'horizon.

II) Le passé simple :
Le passé simple peut indiquer :

1) une action achevée, par opposition à l'imparfait
Elle était sa femme depuis longtemps quand il lui dit...

2) une action soudaine
Il était dans son bain quand le téléphone se mit à sonner.
Sa vie se passait paisiblement quand soudain, il tomba malade.
On notera que le passé simple ne s'emploie pas à l'oral, seulement à l'écrit.

Utilisation du présent de l'indicatif

Le présent de l'indicatif peut indiquer :

1) des paroles en train d'être prononcées
on le retrouve dans les répliques entre personnages à l'intérieur d'un même texte au passé :
Quand il entendit la nouvelle, il s'écria : "c'est formidable!"

2) une vérité générale

Les difficultés vinrent de ce que sa maladie n'était pas de celles que l'on soigne selon les méthodes éprouvées.
en employant le verbe soigner, l'auteur désigne un ensemble de maladies qui répondent à cette définition.
Le présent de vérité générale est également celui que l'on retrouve dans les proverbes :
les bons comptes font les bons amis.
et dans les fables :
On a souvent besoin d'un plus petit que soi.

3) des actions passées que l'on veut faire revivre

Dans un texte au passé, on peut rencontrer un verbe au présent de narration ce qui rend le récit plus vivant. Ce procédé est souvent employé par les journalistes pour rendre l'article plus proche du lecteur. On appelle cela le présent journalistique.
Le pic était juste au dessus de sa tête, et elle ne l'avait pas vu qu'après avoir pas mal regardé de côtés et d'autres. Suivant ses pensées, la sage Élise se met à pleurer.
L'emploi du présent traduit mieux que le passé simple la soudaineté de la réaction de la jeune fille.

4) le passé proche ou le futur proche

L'imparfait du subjonctif

L'imparfait du subjonctif ne s'emploie plus qu'à l'écrit. On ne le trouve jamais à l'oral. Pourtant, si on se réfère aux règles de concordance des temps, il retrouve un grand rôle dans la grammaire française.
En théorie, lorsque la principale est au passé ou au conditionnel, il faut répercuter cette marque du temps dans la subordonnée. On utilise alors soit l'imparfait soit le plus-que-parfait du subjonctif.
- il faudrait qu'il vînt demain.
- il faudrait pour cela qu'il fût venu plus tôt.
- il fallait qu'il vînt demain.
- il fallait pour cela qu'il fût venu plus tôt.
Les deux phrases ci-dessus sont grammaticalement complètement exactes mais on se rend bien vite compte que plus personne ne s'exprime comme cela. On préfère ne pas respecter la concordance des temps et l'on dit :
- il faudrait qu'il vienne demain.
- il faudrait pour cela qu'il soit venu plus tôt.
À l'écrit, on retrouve cependant encore l'emploi du subjonctif imparfait à toutes les personnes pour les auxiliaires avoir et être et seulement à la troisième personne du singulier pour les autres verbes.
- Il avait agi ainsi pour que nous eussions le temps de riposter.
(avoir, toutes les personnes)
- Il nous prévint pour que vous fussiez en état d'agir.
(être, toutes les personnes)
- Je le prévins pour qu'il sût à quoi s'en tenir.
(autres, 3e personne du singulier uniquement)


Pour les autres personnes, on préfère finalement changer la phrase afin de ne pas alourdir la phrase.
- Il désirait que vous arrivassiez le plus vite possible.
(correct mais personne ne l'écrit)
- Il désirait que vous arriviez le plus vite possible.
(incorrect et mal admis dans la langue surveillée)
- Il désirait vous voir arriver le plus vite possible.
(tout à fait correct, on contourne le subjonctif)

Le participe présent et l'adjectif verbal

Attention à bien faire la différence entre le participe présent et l'adjectif verbal. Leur orthographe ne suit pas les mêmes règles. Le participe présent est toujours invariable et il exprime une action : des fillettes tremblant de peur.
Quant à l'adjectif verbal, il indique toujours un état et suit les règles d'accord de l'adjectif : des fillettes tremblantes.

La ponctuation

La ponctuation permet de lire et de comprendre un texte. Sans elle, il serait impossible de suivre un dialogue ou une conversation. Comment sans elle savoir qui parle ?
Lorsque l'on parle, le ton de la voix monte et descend tout le temps. À l'écrit, les signes de ponctuations indiquent les montées, les descentes et les pauses de la voix.
De même un signe de ponctuation remplacé par un autre peut changer le sens de la phrase du tout au tout.

leconjugueur.com


Ps : j'espère qu'avec ça j'ai battu le record du post le plus long ?? !! ;-) ... et puis de toute façon y a pas de neige, alors autant mettre à profit une partie de son temps libre ... :-)

Pierro
Pierro

inscrit le 30/11/02
6202 messages
Ouai bon j'ai lu que le début mais je pense que je le lirais en entier sous peu.

A signaler sous firefox 2, un correcteur intégré bien pratique (certes pas parfait), notamment pour les forums de discussions.
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
91K messages
je suis le premier à faire des fautes d'orthographe... et je serais enchanté si on me corrigeais de façon... sympathique :-) juste la petite correction en gras... sans se moquer :-) parce que ça rend bien service...
greulaux
greulaux

inscrit le 09/02/04
5669 messages
ak (30 novembre 2006 22 h 43) disait:

je suis le premier à faire des fautes d'orthographe... et je serais enchanté si on me corrigeais de façon... sympathique :-) juste la petite correction en gras... sans se moquer :-) parce que ça rend bien service...


Si seulement ça pouvait se faire de la sorte ... le problème c'est que la susceptibilité de certains rend l'exercice de la correction orthographique "amicale" quelque peu délicat ...

A mon avis le travail est à faire en aval de l'écriture du post, en révisant ses leçons avant tout "postage" ;-) ... d'ailleurs demain je m'imprime ça et j'y passe le week end :-) !
jige74
jige74

inscrit le 17/11/05
19K messages
greulaux (30 novembre 2006 22 h 28) disait:

Pourquoi ce post ? Parce que :

Bin tiens. ;)

"J'ai l'impression que l'ambiance dans les entreprises s'est détériorée au point de faire des fautes orthographiques une arme redoutable de plus en plus utilisée pour déstabiliser les personnes".

Mes employeurs successifs avaient, ont eu une orthographe et conjugaison pires que la mienne.
Me suis-je fait jarter parce qu'ils ne savaient pas utiliser l'outil de correction fourni par leur logiciel idoine et adéquat ? Je doute.

En revanche, il m'aurait plu de les tancer vertement, à propos de leur prose écrite. Mais la connotation de l'action, et à terme, le but ne s'y prétaient pas.

Ce que je me demande, comment as-tu pu poster un sujet aussi long, alors que le forum de Skipass n'autorise que 9000 caractères ?

En revanche, ce que tu as écrit m'intéresse bougrement, pour des mouflets de ma connaissance.

Te disant "bravo"... ;)
leio
leio

inscrit le 12/08/03
2612 messages
Moi ce qui m'énerve c'est les "sa" à la place de "ça". (ex : c'est sa le plus fou)

Donc règle 1273 :

Si on peut remplacer par "ma" ou "ta" c'est "sa"
Si on peut remplacer par ceci ou celà c'est "ça"

[mode boardline on]
Et en tant que PDG de moi-même lors de mon premier recrutement l'orthographe sera primordial.
C'est un excellent moyen de discriminer "légalement" ... le "système" est quand même vachement bien pensé ! ;)
[mode boardline off]
leio
leio

inscrit le 12/08/03
2612 messages
borderline le manque de board se fait sentir :)
greulaux
greulaux

inscrit le 09/02/04
5669 messages
jige74 (30 novembre 2006 22 h 56) disait:

greulaux (30 novembre 2006 22 h 28) disait:

Pourquoi ce post ? Parce que :


Ce que je me demande, comment as-tu pu poster un sujet aussi long, alors que le forum de Skipass n'autorise que 9000 caractères ?



Ah, je savais pas qu'on était limité à 9000 caractères !

A priori je suis passé à travers les mailles ... ? :-)
leio
leio

inscrit le 12/08/03
2612 messages
36568, 36569, 36570 caractères !

Effectivement le filet doit être rompu.
Nikolas
Nikolas
Statut : Confirmé
inscrit le 25/05/04
14K messages
Matos : 7 avis
Tu as fait un post super interessant. Je vais l'éditer et l'afficher au mur de ma classe.
sandydidou
sandydidou

inscrit le 19/09/06
6816 messages
Les orthophonistes ça existe !
jige74
jige74

inscrit le 17/11/05
19K messages
Test, hors sujet, mais test. ;)
jige74
jige74

inscrit le 17/11/05
19K messages
Ne fonctionne pas :
"Attention, votre message dépasse la limite autorisée. ( 9278 / 6000 caractères)."
Comprends pas. :(
3-Rider . : | : . [Jarod]
3-Rider . : | : . [Jarod]

inscrit le 18/12/02
7029 messages
Je ne vais pas tout lire ce soir parce que j'ai un peu trop d'alcool dans le sang (;)) mais franchement c'est honteux les personnes qui ne savent pas écrire un mail, un CV, un contrat, etc. sans faute d'orthographe (et dieu sait que y'en a un paquet, je le sais par expérience alors que je ne suis qu'en école d'ingé dans une assoc'...) ! Je serais PDG je n'hésiterai pas à envoyer chier un mec qui arrive sans savoir écrire correctement.
ak
ak
Statut : Expert
inscrit le 06/02/03
91K messages
" mais franchement c'est honteux"


pffff n'importe quoi...
benzonico
benzonico

inscrit le 12/02/06
11K messages
ak > oui c'est honteux que dans un mail de présentation ou un CV tu ais des fautes. Tu peux relire avant d'envoyer. La première impression est toujours très importante, surtout si elle est mauvaise... (apres, ça n'empeche pas de faire des fautes... mais dans ce genre de document c'est pas tolérable)
ventoux84
ventoux84
Statut : Confirmé
inscrit le 18/11/03
1074 messages
fallait pas poster dans blah blah mais dans la zone Ski freestyle ... tu aurais eu plus d'écho ;)

Pour recentrer le sujet : on en revient de plus en plus aux lettres manuscrites dans les processus de recrutement (chez moi notamment) !
benzonico
benzonico

inscrit le 12/02/06
11K messages
ventoux > c'est quoi l'interet mis à part une étude pipographologique ?
ventoux84
ventoux84
Statut : Confirmé
inscrit le 18/11/03
1074 messages
benzonico (01 décembre 2006 08 h 18) disait:

ventoux > c'est quoi l'interet mis à part une étude pipographologique ?

Tu as un correcteur intégré quand tu écris sur papier ;) ? sinon effectivement les torchons illisibles ou incrustés de fautes donnent une petite idée de la clarté du candidat ;)
benzonico
benzonico

inscrit le 12/02/06
11K messages
en mm tps pour le tps que ça prend de saisir une lettre de motivation a l'ordi pour faire la correction puis de la recopier...
Calim
Calim

inscrit le 06/11/01
13K messages
benzonico (01 décembre 2006 08 h 12) disait:
oui c'est honteux que dans un mail de présentation ou un CV tu ais des fautes.
que tu aies, non ?
greulaux
greulaux

inscrit le 09/02/04
5669 messages
ventoux84 (01 décembre 2006 08 h 14) disait:

fallait pas poster dans blah blah mais dans la zone Ski freestyle ... tu aurais eu plus d'écho ;)



Loll :-)
CiscoGoy@
CiscoGoy@

inscrit le 12/12/05
3475 messages
Stations : 1 avisMatos : 1 avis
c'est vrai qu'il m'arrive régulierement de faire des fautes sur le forum mais il me semble aussi que cela est du à la vitesse de frappe et à la non relecture

par contre dans un cv ou un mail important il est vrai que ca passe mal
carambole
carambole

inscrit le 04/01/04
29K messages
Stations : 2 avis
Belle initiative greulaux ;)

Je suis toujours assez sidéré de voir la manière dont sont écrits les posts sur les forum !

la vitesse de frappe n'explique pas tout loin s'en faut !

moi je conseille un petit investissement : Cordial de chez synapse. C'est l'un des meilleurs correcteurs même si malheureusement il n'est pas infaillible !
JLO
JLO
Statut : Confirmé
inscrit le 01/02/04
9277 messages
Matos : 1 avis
Je voudrais dire aux modos de virer tous les posts ou se trouvent un faute !

Il ne resterait pas grand chose !
C est vrai que les sms c est chiant ! mais bon en général on se comprend tous sur le forum, malgré nos fautes ! non ?

Pas tout le monde a recu la meme education scolaire,
la discrimination par la lettre de motiv ! Mouai j adore.......

Si t es un peu malin, tu te la fais corriger par maitre cappello et hop !
Sinon à l epoque ou je bossais j étais en relation avec a lot of cadres !
Si j avais gardé les mails, pfffffffffff !

Et puis j ai bossé à la campagne aussi avec des bons du terroir !
Je leur ai pas demandé leur CV.........

SVP, par les tps qui courent un peu de tolerance et d humanisme !

Merci pour moi, je demanderai à ma femme qu elle me corrige !
JLO
JLO
Statut : Confirmé
inscrit le 01/02/04
9277 messages
Matos : 1 avis
humanité peut etre ?

Enfin vous m avez compris !
Exilatu
Exilatu

inscrit le 19/05/04
1024 messages
Greulaux nous dit « Les fautes d'orthographe deviennent un handicap pour faire carrière »
C'est sans doute que ses professeurs ont du dire à Charlemagne quand il a abandonné le latin pour un sabir (Germano-latin) qui allait au fil du temps devenir le français...
Il serait temps d'admettre que le français va évoluer sans doute à cause (ou grâce) au langage SMS, il est trop tôt pour juger des résultats, mais ce qui est sur c'est que nous ne parlons (n'y n'écrivons) plus le français comme les contemporains de Molière et que ces changements vont continuer. Lisez pour voir un roman du début du 20ème siècle, vous constaterez que les tournures de phrases vous y semblent déjà démodées…
Et puis pour finir une petite citation
On a trop réduit la connaissance de la langue à la simple mémoire. Faire de l'orthographe le signe de la culture, signe des temps et de sottise.
[ Tel Quel (1941) ]
Paul Valéry |
greulaux
greulaux

inscrit le 09/02/04
5669 messages
Exilatu (01 décembre 2006 13 h 11) disait:

Greulaux nous dit « Les fautes d'orthographe deviennent un handicap pour faire carrière »


C'est pas de moi, c'est de Florence Amalou dans le monde du 04/05/06 ... lemonde.fr

Pour ce qui est de l'influence des SMS sur l'othographe française, j'espère sincérement qu'à long terme elle sera inexistante ...

Enfin je terminerai par une petite citation d'Alain :

"L'orthographe est de respect ; c'est une sorte de politesse."

;-)
Janou
Janou

inscrit le 07/12/04
137 messages
Exilatu (01 décembre 2006 13 h 11) disait:

On a trop réduit la connaissance de la langue à la simple mémoire. Faire de l'orthographe le signe de la culture, signe des temps et de sottise.
[ Tel Quel (1941) ]
Paul Valéry |


Paul Valéry...le chanteur ?
greulaux
greulaux

inscrit le 09/02/04
5669 messages
C'est pas chanteuse plutôt ?

;-)
benzonico
benzonico

inscrit le 12/02/06
11K messages
Calim > ptdr ! :) je m'attendais à une réaction de ce style ! Je prétend pas être parfait en orthographe mais pour certaines choses, tu fais un effort...
jm74
jm74

inscrit le 21/11/03
851 messages
Sympathique sujet et bien d'actualité qui plus est, je crois que Mr DeRobien (ministre de l'enseignement ?) veut redonner ses lettres de noblesse à la grammaire dans les écoles... Au passage, je n'étais pas pas au courant qu'elle n'y était plus...

Comme dit juste au-dessus, un peu de tolérance, autant les messages sms sont bien saoulant, autant là où 3 fautes se courrent après c'est pas vraiment gênant (même 4, allez 5 max)...

CV + motivation = 0 faute ? benh disons que c'est un peu normal, c'est se présenter à l'employeur, et selon le poste visé, on n'y va pas en costard/basket je crois... :D

[mode lourd on]
leio (30 novembre 2006 22 h 59) disait:

Moi ce qui m'énerve c'est les "sa" à la place de "ça". (ex : c'est sa le plus fou)

Donc règle 1273 :

Si on peut remplacer par "ma" ou "ta" c'est "sa"
Si on peut remplacer par ceci ou celà c'est "ça"

C'est ça la règle ?... :D

sa = exprime la possession (sa voiture...)
ça = pour montrer... j'ai l'image du binome pouce/index qui forme le "C" quand je pointe du doigts...

[mode lourd off]

nb: J'espère n'avoir fait aucune faute Ô my god... après 10 re-lectures... ;)
jm74
jm74

inscrit le 21/11/03
851 messages
benzonico (01 décembre 2006 14 h 18) disait:

Calim > ptdr ! :) je m'attendais à une réaction de ce style ! Je prétend pas être parfait en orthographe mais pour certaines choses, tu fais un effort...

Voilà qu'il confond orthographe et conjuguaison... mal barré le jeune aujourd'hui... mais où vas-t-on ? ;D
byron
byron

inscrit le 13/01/04
34K messages
jm74 (01 décembre 2006 14 h 41) disait:

Sympathique sujet et bien d'actualité qui plus est, je crois que Mr DeRobien (ministre de l'enseignement ?) veut redonner ses lettres de noblesse à la grammaire dans les écoles... Au passage, je n'étais pas pas au courant qu'elle n'y était plus...

Bon, un petit effet d'annonce très vieille france histoire de faire plaisir aux lecteurs du figaro... Demande à un instit s'ils ne font plus de grammaire... Et là où en effet, ils font moins de grammaire, c'est que ce même robien ne leur donne pas les moyens d'en faire...
carambole
carambole

inscrit le 04/01/04
29K messages
Stations : 2 avis
pourquoi ils ont moins de moyens qu'avant ?
ils font quoi à la place de la grammaire ?
byron
byron

inscrit le 13/01/04
34K messages
Les moyens n'ont pas forcément suivi les besoins...

De la discipline, j'imagine...

Mais c'est clair, on les foutrait en tôle dès la maternelle qu'on serait tranquillou après !
Calim
Calim

inscrit le 06/11/01
13K messages
byron (01 décembre 2006 14 h 49) disait:
Mais c'est clair, on les foutrait en tôle dès la maternelle qu'on serait tranquillou après !
Lens enfants de pauvres en tole, et les enfants de riche en ecole privee
Comme ca on optimise, chacun a sa place des la naissance ;)
byron
byron

inscrit le 13/01/04
34K messages
Tout à fait !

La patrie reconnaissante.
greulaux
greulaux

inscrit le 09/02/04
5669 messages
Calim (01 décembre 2006 14 h 53) disait:

byron (01 décembre 2006 14 h 49) disait:
Mais c'est clair, on les foutrait en tôle dès la maternelle qu'on serait tranquillou après !
Lens enfants de pauvres en tole, et les enfants de riche en ecole privee
Comme ca on optimise, chacun a sa place des la naissance ;)


ça vas pas la tête !! pourquoi les mettre en tole alors qu'ils pourraient se rendre bien plus utile à nettoyer par exemple les bas côtés de nos routes ??
byron
byron

inscrit le 13/01/04
34K messages
greulaux (01 décembre 2006 15 h 06) disait:

ça vas pas la tête !! pourquoi les mettre en tole alors qu'ils pourraient se rendre bien plus utile à nettoyer par exemple les bas côtés de nos routes ??


Des travaux forcés ? Mouais, pas con ça... Faudrait voir... peut être avec un encadrement militaire...
Calim
Calim

inscrit le 06/11/01
13K messages
Ca ferait un beau programme electoral ca !
greulaux
greulaux

inscrit le 09/02/04
5669 messages
byron (01 décembre 2006 15 h 12) disait:

greulaux (01 décembre 2006 15 h 06) disait:

ça vas pas la tête !! pourquoi les mettre en tole alors qu'ils pourraient se rendre bien plus utile à nettoyer par exemple les bas côtés de nos routes ??


Des travaux forcés ? Mouais, pas con ça... Faudrait voir... peut être avec un encadrement militaire...


Et puis çe redonnerait un peu de vigueur à notre belle armée !! :-)
hautezalpinette
hautezalpinette
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9019 messages
jm74 (01 décembre 2006 14 h 41) disait:

[ça = pour montrer... j'ai l'image du binome pouce/index qui forme le "C" quand je pointe du doigts...

[mode lourd off]

nb: J'espère n'avoir fait aucune faute Ô my god... après 10 re-lectures... ;)


eh bé si...


binôme, évidemment!!!!!!
hautezalpinette
hautezalpinette
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inscrit le 23/11/05
9019 messages
...et puis doigt sans "s" , m'enfin là, c'est tellement énorme et honteux!
Ouatitm
Ouatitm

inscrit le 15/05/04
8956 messages
Je m'insurge contre les fautes dans les pseudonymes :

On écrit : Hautesalpinette
hautezalpinette
hautezalpinette
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inscrit le 23/11/05
9019 messages
arghhh! l'arrozeuse arrozée
obligée de m'incliner cette fois..
sandydidou
sandydidou

inscrit le 19/09/06
6816 messages
SVP, par les tps qui courent un peu de tolerance et d humanisme !

Ben oui ! Pas de blème.

Mais si vos pb d'orthographe vous dérangent autant , pensez "orthophonistes" (on a besoin de vos sous MDR)
Des orthos !
Des orthos !
Des orthos !
Des orthos !
Des orthos !
Des orthos !
Des orthos !
Des orthos !
Des orthos !
Mr_Moot
Mr_Moot

inscrit le 17/10/05
32K messages
byron disait:
Demande à un instit s'ils ne font plus de grammaire...
Les plus frais émoulus (les plus décervelés par le système), d'une part te diront qu'ils ne sont pas des instituteurs mais des professeurs des écoles, d'autre part écarquilleront bien grand leurs yeux lorsqu'ils entendront les mots "grammaire" et "orthographe". Car le drame est là : on peut être reçu au concours pour enseigner dans le primaire et apprendre à lire et écrire aux enfants en ayant une orthographe très approximative (pour parler gentiment). Il suffit d'avoir une licence, et bon nombre des aspirants à cette profession la font en "sciences" de l'éducation parce que c'est non seulement la spécialité la plus facile mais aussi celle qui plaît le plus aux gourous des IUFM.
Mr_Moot
Mr_Moot

inscrit le 17/10/05
32K messages
leio disait:

Moi ce qui m'énerve c'est les "sa" à la place de "ça". (ex : c'est sa le plus fou)

Donc règle 1273 :

Si on peut remplacer par "ma" ou "ta" c'est "sa"
Si on peut remplacer par ceci ou celà c'est "ça"

[mode boardline on]
Et en tant que PDG de moi-même lors de mon premier recrutement l'orthographe sera primordial.
[mode boardline off]

[tatillon]
cela ; primordiale
[/tatillon]

Moi, ce que je vois, c'est la confusion systématique (je ne devrais pas appeler ça de la confusion, puisque c'est chez certains un remplacement systématique de l'un par l'autre) entre les participes passés et les verbes du premier groupe (ceux qui se terminent en "er", les plus faciles a priori).
Exemple : "Il est aller mangé à la cantine".

Le côté systématique me fait pencher en faveur (si j'ose dire) d'un enseignement défectueux.
JLO
JLO
Statut : Confirmé
inscrit le 01/02/04
9277 messages
Matos : 1 avis
Ils ont quand meme bon dos les enseignants !

Je vais tenir éloigner ma femme de l ordi sinon elle va déclencher et me squatter le pc toute la soirée !