Devenir moniteur/monitrice de ski : l'avis d'un moniteur (partie 2).

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Devenir moniteur/monitrice de ski : l'avis d'un moniteur (partie 2).

Qu'en est il du métier et du quotidien de moniteur de ski ? Comment est-ce payé ?
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Manoushlight
Texte :
Cet article est issu du mag communautaire skipass.com, dans lequel les membres de notre communauté peuvent partager librement leurs plus belles histoires de montagne. Publiez la votre !

Organisation des articles.

Ayant à de nombreuse occasions entendu et lu des questions au sujet du métier de moniteur de ski, j'ai pris la décision de fournir un article très complet. Cependant vu la longueur de l'article, j'ai décidé de le découper en plusieurs parties.

1. La formation (+ international).

2. Le métier, le mode de vie (+international)

3. Mes conseils, mon parcours personnel.

Chaque partie sera détaillée et longue, mais cela devrait permettre aux personnes désirant devenir moniteur/monitrice de ski, d'être bien renseignée et de pouvoir faire un choix éclairé.

Le métier.

Être moniteur de ski, pouvoir vivre de sa passion... Même si ces idées peuvent vous laisser rêveur, il est important de comprendre que le métier ne consiste pas uniquement à être un passionné, mais plus à être un professionnel.

En passant d'amateur à professionnel, soyez conscient que votre rapport au ski risque de se modifier.

Le plaisir d'enseigner contre le plaisir de skier.

En tant que moniteur.ice.s, il vous arrivera souvent d'être face à des situations très frustrantes, des enfants qui pleurent, qui ont froid, que les parents ont forcé à être en cours, des adultes apeurés lorsqu'ils dépassent les 5km/h, des adultes vous posant des questions super complexes en skis, alors qu'ils n'en sont même pas au chasse-neige, des parents qui se plaignent pour diverses raisons, etc. Comme vous le voyez, les exemples ne manquent pas. Tout n'est pas tout rose dans la profession... et bien des moniteurs déchantent lorsqu'ils démarrent leur carrière.

J'ai rencontré des moniteurs qui se sont battus pour pouvoir enseigner professionnellement et qui ont arrêté leur carrière après une seule saison.

A comprendre absolument : enseigner n'a rien avoir avec skier pour soi. L'attention de l'enseignant est totalement orientée envers ses élèves et le principal plaisir vient du fait de les voir évoluer et pas du ski que l'on pratique.

En tant que moniteur depuis plusieurs années, je compte sur les doigts d'une main le nombre de jours ou j'ai pris du plaisir à skier ( je parle d'un plaisir de passionné ) avec mes élèves. Pourtant, j'ai une majorité d'élèves d'un niveau avancé ( au-delà d'étoile d'or ). Mais cela n'empêche que je ne skie pas à mon niveau, que je skie avec des contraintes, que je skie des jours ou je ne voudrais pas skier, etc.

Je précise que j'ai beaucoup de plaisir avec mes élèves/clients en ski, mais le plaisir vient du partage, de la progression de mes élèves, mais ce n'est pas le même plaisir que celui de skier avec des ami.e.s ou pour moi.

L'enseignement même.

Ayez conscience que la majorités de moniteur.ice.s font plus de chasse-neige que de parallèle sur leur saison. Cela parait donc assez contradictoire de pousser son niveau jusqu'au plus haut point, pour finalement enseigner le chasse-neige. Mais la compréhension profonde des mouvements à ski, permet d'enseigner avec plus de profondeur à chaque niveau, j'ai, pour ma part fait un lien solide entre des mouvements que je pratique en chasse-neige et en carving et c'est l'une des qualités qu'il faut avoir en tant qu'enseignant. Par ailleurs être enseignant, c'est prendre soin d'un groupe et en être responsable. Envisager une superbe ligne hors-piste est faisable avec des ami.e.s, mais ce n'est plus du tout le même rapport en tant qu'enseignant. La il faudrait évaluer la prise de risque, vérifier l'intérêt didactique, minimiser les risques, etc. Autant vous dire qu'au final, même avec des étudiant.e.s d'un niveau avancé, il est assez rare de pouvoir faire du hors-piste avec une pente de plus de 30°. L'enseignement c'est aussi devoir travailler avec des acteurs externes tel que : les employés des remontées, les pisteurs/pisteuses, les parents, les shops, les restaurants, les hôtels, les appartements, les profs d'écoles, les animateur.ice.s. Si, la plupart du temps, le travail avec ces partenaires est très enrichissant, il y a de nombreux moments où la situation devient conflictuelle. Pour la plupart des moniteurs c'est au final ce qui pèse le plus sur le métier (en particulier les parents et petits-amis).

D'autres données entrent en jeu, mais il serait long de toutes les citer. Je vais donc parler de l'une des composantes les plus importante de l'enseignement : la communication. La communication est un terme très général, c'est la capacité à transmettre des infos, mais, aussi à prendre compte ce qui nous est transmis dans l'autre sens. C'est la capacité d'utiliser les bons canaux de communication, faire lire une brochure sur la technique de ski n'a aucun intérêt avec un enfant de 4 ans, même si c'est exemple est assez évident, il n'est pourtant pas rare de voir d'énormes erreurs de communication entre un prof et ses étudiants. Utiliser la sensation, des métaphores, des images, des défis sont des moyens parfois trop peu utilisé par les moniteurs débutants. Mais la communication, c'est aussi les langues, s'initier aux langues avant d'entrer dans le métier me paraît être une nécessité.

Rester à jour.

Cela peut paraître difficile à concevoir lorsque l'on n'est pas dans la profession, mais une fois les diplômes atteins, il peut être difficile de continuer de se mettre à jour. On a tous déjà vu un moniteur assez âgé skier et enseigner le ski comme on le faisait à l'époque des skis droits. Apprendre le planté de bâton comme si celui-ci avait plus d'importance que le travail des pieds et des jambes, apprendre une godille qui ne s'utilise plus aujourd'hui, apprendre à skier pieds serré, etc.

Sachez que le ski est en permanente évolution, que sur les 5 dernières années, des évolutions techniques majeure sont à noter; on peut très rapidement être sur la touche si l'on ne se met pas à jour. Et même si cela peut paraître étonnant, après s'être entraîné intensivement pendant des années, il peut être difficile de continuer à la faire. Mais un moniteur qui n'est pas à jour finit par enseigner des choses fausses et qui ne fonctionnent pas.

Un cercle vicieux peu vite s'installer : le moniteur donne des mauvais conseils -> l'élève n'y arrive pas -> le moniteur s'impatiente -> l'élève se frustre -> le moniteur accuse l'élève et perd la passion de l'enseignement -> le moniteur ne se met plus à jour -> il donne des mauvais conseils ...

Être à jour, permet d'avoir des leçons enrichissantes pour soit même et pour nos élèves et de continuer à avoir un métier de passion. Bien de moniteur ne pensent plus qu'à l'argent après 3 ou 4 saisons et selon moi, c'est largement lié à au cercle décrit plus tôt.

Le booking/travail :

Selon le pays ou l'école, la répartition du travail à lieu différemment. Il est important de savoir qu'en tant que moniteur, si souvent le payement à l'heure est plus que correct, c'est le nombre d'heures de travail qui peut vite devenir problématique.

Certaines écoles ont une hiérarchie claire et un type d'attribution d'heures qui en découle. Ce qui signifie qu'en fonction de votre place dans cette hiérarchie vous aller travailler beaucoup ou très peu. Je rencontre un bon nombre de moniteurs diplômé qui n'arrivent pas à en vivre, car ils ne travaillent pas suffisamment d'heures pour en vivre. Ainsi, la situation peut devenir pesante, il est nécessaire de s'informer sur la répartition du travail au sein de l'école de ski que vous voulez intégrer avant d'être dans une situation compliquée. Dans certains car le rebooking va être valorisé, c'est-à-dire la capacité à avoir des gens qui prolongent les leçons par rapport au plan initial. En tant que moniteur de ski, il y a toujours une implication commerciale dont il faut tenir compte. L'école de ski vend un cours de ski, en tant que moniteur de ski, je vous conseille d'être en accord avec ce que votre école de ski vend. Vend-elle de la dépendance au moniteur ? Vend-elle de la progression ? Vend-elle du fun? Vend-elle de la sécurité?

Les conditions de travail (+ international).

Je ne vais pas pouvoir donner des détails concernant chaque pays, d'autant plus que j'en serais incapable, mais je vais partager quelques éléments que je connais et qui peuvent vous permettre de vous faire une idée concernant les salaires.

Il y a d'énormes différences de systèmes et de salaire d'un pays à l'autre. La majorité des moniteurs en France sont indépendants, alors qu'en Autriche ou en Suisse la majorité d’entre eux sont salariés. Chaque situation a ses défauts et avantages.

Être indépendant est mieux payé, on estime en général à 65€ de l'heure brut. Bien entendu il faut vérifier ce qu'il reste en net, car cela peu varier fortement. Par ailleurs être indépendant ne permet pas d'avoir le droit au chômage, ce qui signifie qu'entre les saisons les indépendants sont sans revenus.

Si en France la majorité des moniteurs sont indépendant, une association telle que l'UCPA engage des moniteurs en tant que salarié, le salaire est alors bien moins élevé, mais la sécurité bien plus élevée. La plupart du temps, le salaire varie entre 1200€ et 1600€ par mois.

En Autriche, le système n'a aucun rapport, il y a une convention collective assez solidement négociée. Le salaire est assez bas, mais la sécurité est maximale. Un Anwärter sera payé entre 800€ et 1000€ par mois, alors qu'un Staatliche salarié devrait gagner entre 2000€ et 3500€ par mois. Par contre, le contrat inclut 2 semaines de congés payés par saison, et le salaire doit être honoré même s'il n'y a aucun client. Peu de moniteurs le savent, mais, en Autriche, si vous avez travaillé plus de 10 mois dans la même école, l'école doit vous rajouter 2 mois de salaire supplémentaire par saison. Bref, bien que les salaires soit moins élevé qu'en France ou en Suisse, la sécurité est au rendez-vous, par contre il est assez clair qu'il faudra défendre vos droits, à l'image de ce que doivent faire les salariés d'une entreprise classique.

En Suisse la plupart des moniteurs sont salariés, et le salaire varie entre 22fcs/h à 60fcs/h selon le niveau de diplôme, l'école et le type de leçons. C'est donc un statut qui paraît très intéressant, car il n'implique pas les problèmes qu'ont les indépendants et le salaire est plus ou moins aussi élevé qu'en France malgré tout. Cependant, il n'y a que très peu de garantie quant au nombre d'heures prestées, car les contrats permettent aux écoles de vous obliger à être disponible sans que l'école ne doive s'engager à un nombre d'heures en échange. De plus la vie Suisse est bien plus chère que dans d'autres pays d'Europe, bref, il est conseillé de bien échanger avec votre futur manager, car les conditions sont très variables d'une école à l'autre.

Je m'arrête là concernant les pays les plus proches et que je connais bien, je précise cependant que les saisons en Nouvelle-Zélande, USA, Australie ou au Canada sont réputée très peu lucrative, la plupart du temps les moniteurs reviennent à l'équilibre voire en déficit.

A l'inverse le japon semble tout à fait correct en terme de prix de vie et de salaire. Le Chili propose des salaires rivalisant avec la Suisse. La Chine, permet souvent de bons salaire fixe et les moniteurs sont logé et nourrit.

Quoi qu'il en soit, renseignez-vous bien avant d'intégrer une école de ski, un employeur très transparent ne vous donnera pas de garantie, mais vous dira ce qu'il s'est passé sur les saisons précédentes. De mon expérience, les employeurs les moins honnêtes promettent des choses et c'est de ceux-là que je me méfierais. Seul les promesses écrite sur le contrat sont à prendre en compte, le reste n'a pas de valeur légale.

Par ailleurs chaque école à un système de répartition des heures et il est intéressant de vous renseigner concernant celui-ci. L'ESF est assez connue pour son système de classement à l'ancienneté. D'autres écoles vont attribuer plus ou moins d'heures aux moniteurs diplômés. Certaines vont tabler sur les compétences individuelles. D'autres cherche à égaliser le nombres d'heures. Mais la plupart du temps c'est un mélange plus ou moins subtil entre ces différents éléments. Se tromper à ce niveau là peu vous mettre dans une situation ou vous finissez en perte en fin de saison ou au contraire : comblé financièrement.

Le choix de la station est très important également, certaines stations sont très prospères niveau enseignement et d'autres pas du tout. Et cela ne dépend pas uniquement de la taille de la station.

En préparant l'article un lien m'a été envoyé vers un document que je trouve très intéressant, il donne des pistes concernant la formation et le métier : https://www.ensa.sports.gouv.fr/sites/default/files/2021-09/SA-C1-I3%20Presentation_ENQUETE_INSERTION_SKI_DIPLOMES_2019.pdf

Le mode de vie.

Le rythme des saisons.

Être professionnel du ski implique une vie totalement hors du commun.

La saison de moniteur ne dure que l'hiver. Cela signifie qu'il faut avoir un plan quant au reste de l'année.

La saison de ski démarre en général lors des premières vacances de décembre, souvent entre le 15 et le 20 décembre. Elle se finit en général vers les vacances de Pâques aux alentours du 20 avril.

Pendant la saison, les vacances de décembre et les vacances de février seront les plus intenses. Cela dure en général 2 semaines entre la fin décembre et début janvier et 4 à 5 semaines en février. Le reste de la saison est plus ou moins calme. Il est conseillé de travailler un minimum de 300 heures par saison pour être en confort financier. Personnellement, j'essaye de travailler 450 heures par saison, au-delà, j'ai trop de douleurs physique en fin de saison, en deçà de 400 heures, j'estime que ma saison n'est pas superbe financièrement.

En général les moniteurs peuvent avoir un jour de congé le samedi car c'est souvent le jour des rotations entre les semaines. Si vous êtes impliqué dans un club, ce qui est mon cas, il arrive d'enchainer 50 jours sans congé car les entraînements immanquables ont souvent lieu le samedi.

J'ai pour ma part un métier d'été et je pense que c'est une nécessité en tant que moniteur. Je travaille de fin juin à début décembre, il est possible de ne travailler que de juin à août et d'être en confort financier, mais il n'est pas toujours facile de trouver le contrat idéal. De nombreux moniteurs travaillent dans le bâtiment l'été ou sont moniteurs d'un sport d'été (VTT, Voile, Canyoning, Escalade, etc.).

La stabilité.

Le défaut évident du métier est l'instabilité. Pas de garantie de revenus, des périodes sans travail, des périodes super rush... Une saison sans neige et toutes les prévisions sont modifiée (d’où le fait qu'un manager ne peut pas vraiment vous garantir un nombre d'heures à l'avance). Il est assez difficile de se projeter dans le futur. Si en plus vous voulez avoir une vie familiale, cela peut devenir très complexe.

C'est pourquoi de nombreux/nombreuses moniteur.ice.s ne font que quelques saisons et passent à autre chose. Raison de plus d'essayer de vous initier à la profession avant de vous engager dans une formation longue et coûteuse.

Il est de toute façon très conseillé de ne pas se reposer uniquement sur votre diplôme de moniteur et de vous former dans d'autres domaines, que ce soit dans le secteur du sport, du bâtiment, de la restauration.

Sur le plan relationnel et familial, cela peu être très compliqué, les relations à long terme peuvent être difficile si la personne avec qui vous vous engager ne partage pas la même passion. Le cliché du moniteur dragueur est en partie lié au fait que peux d’entre eux arrivent à maintenir une relation à long terme.

Vos ami.e.s et votre famille ne seront pas forcément dans la possibilité de vous voir fréquemment. J'ai personnellement, un budget dédié à l'accueil de ma famille et mes ami.e.s, car, issu d'un milieu modeste, il serait hors de leur moyen de venir me voir sinon. Quoi qu'il en soit, réfléchir à votre équilibre relationnel me parait très important si vous décidez de vous lancer à long terme dans cette carrière.

Le physique.

L'avantage d'être moniteur, c'est que vous allez faire du sport de manière régulière tout le temps. Mais, comme on le voit en préparation physique la partie la plus importante du sport, c'est le repos et cela peu parfois manquer en tant que moniteur. Ainsi, les risques de blessures déjà élevées à ski, augmentent drastiquement sans avoir un certain suivi.

De nombreux moniteurs/monitrices se blessent ce qui met parfois fin à leur carrière. Des problèmes chroniques sont assez fréquents notamment dans le bas du dos (zone lombaires), aux genoux, aux tibias (périostites), aux pieds (oignons, exostoses, bursite, etc.).

La plupart de ces problèmes doivent être pris au sérieux, ils sont issus parfois d'un excès d'activité, d'un matériel inadapté, et même d'une technique inadaptée. De nombreux problèmes de genoux viennent du fait que certains moniteurs initient les prises de carres en cherchant à incliner les genoux plutôt que le pied, d’où l'importance de rester à jour.

Conclusion.

Devenir moniteur de ski ce n'est pas un acte isolé, c'est un écosystème et il y a un équilibre à trouver. Cela combine des aspects individuels, des aspects financiers, des aspects sociaux, etc.

Le rêve de devenir moniteur peut parfois prendre le dessus sur le concret et mener à de mauvais choix.

Dans quel type de station voulez-vous être ? Comment envisagez vous votre vie relationnelle et affective ? Qu'est-ce qui vous satisfera financièrement ? Qu'est-ce qui maintiendra votre passions ?

Un grand nombre de questions qui semblent secondaires au début, finissent par prendre plus d'importance une fois que l'on entre dans la profession.

Même si cela parait surprenant, je suis assez persuadé que votre niveau à ski et votre réussite en formation sera en grande partie dépendante de l'écosystème que vous mettrez en place.


14 Commentaires

matbri Insupportable l'écriture inclusive, quelle horreur !
matbri dommage le fond de l'article est bien, ça gâche tout
-2
Manoushlight Salut Matbri.
Désolé que ce type d'écriture t'ai dérangé. Je trouve ça un peu dommage de mal noter un article à cause du choix d'écriture qui a été prit.
Je pense, par ailleurs que c'est un peu exagéré de dire qu'il est horrible que de tenter de s'adresser à la majorité.
ak J'ai même pas remarqué... c'est dire.
 

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NobruDude Super intéressant :) On se rend bien compte, via ton vécu, qu'il y a bcp d'à côtés auxquels il faut penser avant de se lancer ! ça me rappelle un peu un guidos qui me disait que le plus difficile dans son boulot, c'était pas la montagne ou la neige, mais bien la gestion des gens et des groupes, là aussi, ça poussait à réfléchir :P
 

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yrlab Bien complet mais quelques illustrations aurait rendu l'article plus attractif. Par rapport à la conclusion, l'écosystème est bien sûr très important pour exercer un métier de moniteur. Et même pour tous les autres métiers..
 

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matbri J'avais pas vu la réponse de Manoushlight. On a quand même le droit de critiquer la forme choisie pour l'article, qui nuit à sa clarté et qui massacre la grammaire française, en plus de relever d'un pur choix militant.
 

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matbri Mis à part cela, sur le fond, je pense que les skieurs.euses ne pourront qu'être intéréssés.ées par la lecture de ces écrits.tes :D
ak visiblement tu ne maitrises pas trop l'inclusif...
 

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Manoushlight Tu as totalement le droit matbri. J'ai bien entendu ce que tu dis, j'ai aussi le droit de ne pas être d'accord. Je suis content que tu apprécies le fond.
 

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