Je sais plus c'est quoi exactement mais c'est décalé de chez décalé genre 22h-5h! Mais d'un autre côté t'es mieux payé.
Tout ce que je sais c'est que quand il était encore mon voisin, il m'apportait le parisien et l'équipe en revenant du boulot (vers 6h je crois enfin tôt le matin)
Voilà pour le peu d'infos que j'ai...
Je crois aussi que t'as des avantages à cause de la pénibilité du travail de nuit.
Mais je peux pas plus te renseigner, j' y connais rien en droit du taf et je suis pas DRH (peut être skiator peut t'aider mais faut le trouver...). 
Mais vu comment vont les choses, on va pas tarder à traiter ces travailleurs de nuit de fainéants et de privilégiés et réaligner tous les salaires vers le bas... 
Pour les primes, il y en a plein. Mais cela depends essentiellement de la convention appliqué.
Pour ne citer que les plus connues:
- Prime d'équipe (travail en équipe avec horaire variable)
- Prime de panier (travail de 8h ininterrompue genre faction, c'est la prime pour manger)
- Prime de nuit ..
- Prime pour samedi (Tx horaire * x%) ou dimanche
- Prime de nuit (cumulable avec les primes WE et panier et équipe)
Et sans doute d'autre propre à l'imprimerie
Pour info, un contremaitre (agent de maitrise) dans une papeterie (qui tourne 7j/7 24/24) a un salaire variant entre 200000F et 450000F brut /ans suivant l'usine ou il travaille.
L'imprimerie doit avoir également des grosse différence entre les différentes usines!
Bon courage pour ton entretien.
Et essaie de te positionner plutot comme qqun qui vient leur rendre service, ca te permet de demander le salaire qu'ils proposent avant qu'il ne te demande tes prétentions! Avec un peu d'applond, tu peux le demander presque au début, ainsi, si le salaire ne te convient pas, tu coupe court pour e faire perdre de temps à personne (je l'ai fait, et j'ai été embauché! ) mais faut être vraiment sur de ton coup!
Hors salaire, pense surtout au récup, le travail de nuit doit impliquer des récup, genre tout les 5jours travaillés, 1 récup, ou qqch comme ca!
- Pour la pression sur les cadres dans ce milieu, je suis au courant. Mais bon, de toutes manières, je n'ai pas encore de proposition ferme et puis, le jeu en vaut peut être la chandelle!
Bonne chance !
@+
Que veux tu savoir?? Je ne suis pas sur de pouvoir te renseigner car je suis DRH dans la grande distribution et non dans le livre.
Juste qu'effectivement, si tu veux bosser dans ce secteur, mieux vaut être coopté par une syndicaliste CGT qui contrôle absolument tout.
Aussi, est ce que tu connais des sites sur le net où il y aurait de bons forum où je pouraît peut être questionner des gars qui bosseraient dans ce secteur? Et d'autres sites, où je pourrais évaluer le salaire, trouver la convention collectives?
Merci d'avance.
bon le dilemne si j'ai bien compris c'est que tu vas avoir un entretien d'embauche et tu voudrais savoir ce que tu pourrais te permettre de demander à ton futur patron???
j'ai tout suivi non?
bon alors tu vas devant ton miroir dans la salle de bain... tu te regarde droit dans les yeux, tu respires un bon coup pour te sentir bien. maintenant que tu sents que tu es en confiance, que tu sais ce que tu vaux au taf parce que tu sais que tu es un bosseur et que tu fourni du bon boulot...
tu te pose la question suivante :
"combien je vaux de salaire... connaissant mon expérience et mes compétences... sachant que je vais sacrifier pour ce taf, mes sorties entre potes et toutes les virées skipass dans la peuf peuf bien fraiche...?????????"
si tu es profondement honnête avec toi même et que la réponse te semble honnête et réaliste... alors tu obtiendras ce que tu demande. parce que le boss verra dans tes yeux que tu le vaux vraiment.
c'est la force du mental... comme tout en haut d'un couloir impressionant...
allez courage, tu peux le faire!!!
Me regarder dans le miroir, je l'ai déjà fais, et j'ai eu tellement peur que je me suis dis que je ferais mieux de renoncer à cet entretien J'ai quand même un sacrée tête de vainqueur
Plus sérieusement, je viens bien estimer un fourchette, mais ce milieu (édition de la presse) est tellemnt spécial et de plus sachant que l'on doit travailler de nuit et le w-e, je me dis qu'avec mes estimations perso, je peux être complètement à côté de la plaque...
Je te donne le minimum légal, prévu par le Code du Travail
Définition:
Est définit comme travail de nuit, le travail effectué entre 21 h et 06H
(L213-1-1) Toutefois, l'article ajoute que par accord collectif étendu (de
branche par ex) ou par accord d'entreprise, on peut choisir une autre plage
de 9 h consécutives, comprises entre 21 et 7 heures et comprenant en tout
état de cause l'intervalle entre 24 et 05 heures du mat.
Durée maximale :
durée maximale quotidienne effectué par les travailleurs de nuit : 08
heures.
Toutefois, quelques cassation et jurisprudence notamment sur l'appréciation
par période de 24 heures. Ainsi, l'amplitude journalière de 13 heures,
appréciée par journée civile, ne s'applique pas au travail de nuit.
Contreparties :
Le C.T. prévoit deux modalités : repos compensateur ou compensation
salariale (majoration des heures de nuit)
Ces deux compensations peuvent se cumuler. Par exemple, dans ma boite,
(Carrouf), les heures de nuits sont majorées à 30% + repos compensateur
Ensuite, quelques particularités : surveillance médicale accrue, priorité
d'emploi, , incompatibilité avec des obligations familiales impérieuses,
etc...
Si tu as le statut cadre (pas supérieur ou dirigeant), c'est légèrement
différent :
Soit tu es cadre cadres "autonomes" forfaitaires en heures soit le respect obligatoire et
légale des conditions suivantes :
- Durée maximale journalière 10 heures (C trav. L 212 -1, al. 2)
- Durée maximale hebdomadaire (48 h et 44 heures sur 12 semaines). (C. trav. L 212 -7, al.2)
- Repos quotidien de 11h consécutives (C. trav. L 220 -1,)
- Repos hebomadaire (interdiction de travailler plus de 6 jours sur 7) (C. Trav. L 221 -2)
- Repos hebdomadaire de 24 heures consécutives (C. Trav. L 221 -4)
- Repos dominical (C. trav. L221 -5)
soit tu es cadre forfaitaire en jours (217 maxi par an, mais souvent négocié moins par les accords d'entreprise) et à ce moment là, la complexité et
d'évaluer la charge de travail.
Exemple ci-dessous avec un extrait d'un note de synthèse que j'ai fait passer dans ma boite pour éclairer les Managers.
Appréciation de la charge de travail dans le cadre du forfait jours
a) L'atténuation du lien de subordination
L'entreprise va dorénavant avoir à résoudre l'équation suivante : d'un côté, le calcul en jours ne se justifie que parce que le cadre jouit
d'une réelle autonomie dans l'organisation de son temps de travail, de l'autre, il n'en reste pas moins un salarié donc, par nature, une
personne soumise à un lien de subordination juridique.
Il va donc falloir beaucoup de doigté pour trouver la juste mesure de ce que peut revendiquer l'entreprise.
A mon sens, on ne peut pas :
sauf si l'accord le prévoit expressément, exiger un temps minimum de présence pour considérer qu'il y a une journée ou une demi-journée de travail ;
sanctionner le cadre parce qu'il est arrivé ou parti en dehors des plages horaires fixées pour le reste du personnel.
Mais on peut :
se plaindre de l'absence à une réunion alors que le cadre ne pouvait ignorer que sa présence était nécessaire à l'accomplissement de sa mission ;
sanctionner le cadre si, par sa mauvaise organisation ou pour ne pas avoir « tiré à temps la sonnette d'alarme », il n'a pas réalisé sa mission.
C'est désormais la mission et la conscience professionnelle mise à l'accomplir qui doit nous guider dans notre appréciation de la prestation du
cadre et non pas l'observation de consignes précises relatives à la présence sur le lieu de travail.
b) Réduction du temps de travail et ajustement de la mission
L'article L. 212-15-3 du Code du travail relatif aux cadres de la catégorie 3 précise, ce qu'il ne fait pas pour ceux de la catégorie 2, que ces
personnes
« doivent bénéficier d'une réduction effective de leur durée du travail ».
Pourquoi cette précision ? Parce que, les cadres de catégorie 2 étant soumis au droit commun, on est sûr que, d'une façon ou d'une autre, leur temps
de travail va diminuer comme celui de leurs équipes, alors que l'on n'en est pas sûr pour les cadres de la catégorie 3. Disons que cet abaissement
de la durée du travail est la juste contrepartie des souplesses accordées aux entreprises dans l'organisation du travail de ces cadres.
Il faut donc que, de façon tangible, si l'on part du principe que ces cadres étaient occupés à temps plein, la mission de chacun ait été auditée afin
de procéder à des allégements des tâches confiées. En d'autres termes, il ne s'agit pas de faire tenir en 217 jours, voire moins ce qui, autrefois,
tenait en 228 jours (47 semaines x 5 jours ouvrés - 7 jours fériés).
Observations
Faut-il systématiquement diminuer les quotas pour ceux qui sont rémunérés au variable sur la base d' objectifs quantifiables ? Pas forcément.
La réduction de la charge de travail peut fort bien s'opérer en déchargeant le cadre de tâches administratives qui peuvent être confiées à des
personnes moins qualifiées.
Le Code du travail français étant très mal foutu et trop complexe, il y a
de quoi écrire des milliers de lignes sur le sujet. Je te propose de te
faire expliquer les conditions lors de l'entretien et je t'éclairerai si
besoin.
Ensuite, les sites performants sur le sujet sont tous payants. Méfie toi
des gratuits car les informations sont souvent erronées et pas toujours
pertinentes. Seul un juriste est capable d'apprécier et d'interpréter
correctements les données.
Le site du gouvernement te file des informations brutes fiables, mais il
faut les décortiquer.
inscrit le 10/02/99
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