Comme le ski de piste que tu pratiques assidument?
Aller, retourne dormir va!
Skiator (17 septembre 2005 09 h 19) disait:
Oula, excusez moi pour les fautes, mais je n'ai pas de dictionnaire, suis pour la sauvegarde des forêts!!
Un beau poncif d'ailleurs puisque l'industrie papetière contribue fortement à la reforestation!
Levieux disait:"chacun est libre encore heureux d'avoir ses opinions" ou son style de vie mais la moindre des choses est de savoir respecter les autres.
BTC disait:Error JeanBernard,
La pollution sera tout aussi importante au niveau local avec de l'huile végétale qu'avec du diésel. Les rejets sont les mêmes.
Par contre au niveau planetaire, ça n'a rien a voir :
- l'un combustible fossile=co2 en plus dans l'atmosphère;
- l'autre combustible naturel = co2 recyclé.
vieux disait:tant qu'on y est les velo ca pollue aussi que fait des pneus de velo usés ca pollue aussi non le recyclage et les vieux velos quant fait t'on , le liquide des freins à disques des VVT ou fini t'il
Tan Da Boss disait:mais le problème de la majorité des gens, c'est qu'ils ont pas envie de se bouger le cul pour ça et attendent qu'on leur trouve une solution miracle
WakeNooB///31 (17 septembre 2005 17 h 57) disait:
Fait divers: Un propiètaire de 4*4 a envoyé à l'hopital le membre d'un groupuscule (à la con) anti 4*4.
Skiator (17 septembre 2005 16 h 40) disait:
Quant à comparer le commerce des armes avec celui du Teck, il faut oser!
les amis de la terre disait:
Objet : Réaction à l’émission Capital : « Meubles en teck : de la jungle à votre salon »
Messieurs,
...
Si la première partie du reportage traitant des qualités techniques du bois de teck est tout à fait intéressante, il nous semble en revanche que la seconde partie consacrée à l’exploitation locale en Birmanie aurait gagné à être beaucoup plus incisive, étant donné les enjeux.
Vous n’êtes en effet pas sans savoir que plusieurs appels au boycott du teck provenant de ce pays ont déjà été lancés il y a quelques années, notamment par le prix Nobel de la paix et opposante démocrate A. San Suu Kyi, s’attirant ainsi les foudres d’un des régimes les plus répressifs de la planète en place depuis 1962.
Dans ce contexte dramatique, nous regrettons vivement que le lien direct n’ait pas été fait dans votre reportage entre la commercialisation du bois de teck d’une part, et les enjeux écologiques, politiques et sociaux liés à son exploitation locale d’autre part.
Entre autres horreurs, la torture et de travail forcé des enfants, femmes et hommes sont en effet courants en Birmanie. Cela concerne notamment fortement le secteur de l’exploitation forestière dans lequel le régime est très impliqué via l’entreprise d’état Myanmar Timber Enterprise (MTE), avec le soutien et l’implication directe d’une armée pléthorique.
La situation est si grave que l’Organisation Internationale du Travail (OIT) a pour la première fois de son histoire appliqué en 2000 à l’encontre de la Birmanie l’article 33 de sa constitution, visant à prendre des sanctions internationales pour mettre fin à ces pratiques d’un autre âge.
Des sanctions internationales ont également été prises à l’encontre du régime birman en 1998 suite à la répression de manifestations pro-démocratiques à Rangoon, et à la séquestration d’Aung San Suu Kyi ainsi que de 1800 autres prisonniers politiques. Faute de pouvoir prétendre depuis à l’aide au développement de la communauté internationale, le régime se voit donc contraint de brader à un rythme inconsidéré ses ressources en teck, qui constituent la seule source de devises disponible pour éviter la faillite d’état.
Cela se fait d’ailleurs souvent dans les zones frontalières avec la complicité directe et très intéressée d’entreprises basées en Chine ou en Thaïlande, alors que les ressources en bois de ces deux pays ont déjà été quasi-intégralement anéanties, et en échange d’un soutien politique bienvenu.
Cela est d’autant plus dramatique que les écosystèmes de Birmanie où le teck est majoritairement exploité, constituent des zones de forêts subtropicales d’une biodiversité exceptionnelle au niveau mondial et unanimement reconnue par la communauté scientifique, notamment car abritant parmi les dernières populations importantes de certains grands mammifères sauvages (tigres, éléphants...).
Contrairement à ce qui est sous-entendu dans votre reportage, cette exploitation ne se fait d’ailleurs majoritairement pas dans des conditions de durabilité écologique satisfaisantes. Nombreuses sont en effet les preuves que ces pratiques se traduisent le plus souvent par de véritables saccages naturels, du fait du traçage de routes d’accès (qui servent aussi aux troupes birmanes à des fins répressives...) et par des coupes sous-diamètre, mettant ainsi gravement en péril à la fois les ressources en teck et les écosystèmes concernés à moyenne échéance.
Il y a donc fort à parier que l’exemple montré dans le reportage d’une exploitation « artisanale », à dos d’éléphant, soit fort peu représentatif de la situation générale... A titre informatif, il semble d’ailleurs que certains sites soient volontairement montrés en exemple par le régime, afin de justifier d’une pseudo-durabilité aux yeux des visiteurs étrangers.
Certaines ONGs très sérieuses, telles que Global Witness et Earthrights, ont d’ailleurs publié des études très complètes et poussées sur le sujet, qui sont disponibles sur internet et auxquelles je vous invite à vous référer.
En conclusion, il nous semble qu’il aurait été bienvenu que votre rédaction fasse preuve d’un peu plus d’approfondissement en traitant de ce sujet, afin d’informer les téléspectateurs des enjeux réels liés aujourd’hui à l’exploitation du teck en Birmanie et alors que ces aspects sont pourtant succinctement abordés dans votre reportage. Les preuves d’abus en tout genre sont en effet malheureusement si nombreuses qu’il est à craindre que tout échantillon de teck provenant de Birmanie et vendu en Occident soit aujourd’hui quasi-obligatoirement lié à des pratiques très douteuses, autant sur le plan éthique qu’écologique...
De même, il aurait été tout à fait intéressant d’aborder la question des labels tels que le FSC (Forest Stewardship Council), seul apte aujourd’hui à garantir au consommateur le respect d’un certain nombre de critères environnementaux et sociaux...
Outre les critères strictement techniques développés en première partie du sujet, l’attribution de ce type de label peut d’ailleurs être la cause d’une différence de prix entre deux produits apparemment identiques tels que des chaises de jardin. En d’autres termes, un produit plus cher que son concurrent n’est pas forcément uniquement de meilleure qualité; il peut aussi avoir été produit dans des conditions sociales et écologiques beaucoup plus respectueuses... ce que les consommateurs ne savent pas encore forcément, et qu’il aurait été intéressant de développer dans le cadre de votre reportage.
...
Gwenael WASSE
Chargé d’étude Campagne Forêts
Le mouvement prend de l'ampleur !!
fr.biz.yahoo.com
Ahhhhhhh ces militants qui se voilent la face ...
Environ 200 militants écologistes manifestent à Paris contre les 4x4
PARIS (AFP) - Environ 200 militants écologistes ont manifesté samedi à Paris contre la circulation des 4X4 en ville, déployant une banderole "Jeepollue" et s'affublant de masques d'animaux devant la vitrine d'un concessionnaire du XIe arrondissement.
Les manifestants, brandissant des pancartes "buffles en colère" ou "Vache qui rit solidaire", entendaient protester contre les pare-chocs "anti-buffles" qui équipent les véhicules tout terrain, et plus généralement contre la dangerosité et le caractère polluant des 4X4.
"Selon les chiffres de l'ADEME (Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie NDLR), une berline rejette en moyenne 142 g de CO2 par kilomètre, contre 229 g pour un 4X4", a fait valoir Olivier Louchard, coordinateur du Réseau Action climat France, l'une des deux associations à avoir appelé à la manifestation.
"Nous attendons de l'Etat qu'il mette en place une taxe contre les véhicules polluants qui soit réellement dissuasive. Le malus sur la carte grise annoncé par le Premier ministre Dominique de Villepin ne représentera que 0,5 % du prix d'achat d'un 4X4", a expliqué Stephen Kaerckhove, délégué général de l'association Agir pour l'environnement.
Denis Baupin, adjoint du maire de Paris en charge des transports, a déclaré être présent "en tant que citoyen qui en a marre du 4X4 en ville". "Le 4X4 est une caricature de voiture, plus grosse, plus polluante et plus dangereuse. En tant que municipalité, nous ne pouvons pas faire grand chose. C'est au gouvernement de nous donner le pouvoir d'interdire les 4X4 dans certaines zones urbaines", a-t-il poursuivi.
Etaient également présents à la manifestation des représentants du mouvement des Dégonflés, qui entendent attirer l'attention de l'opinion publique en dégonflant nuitamment les pneus de 4X4 choisis au hasard.
FunFun disait:truc bete...
combien de rotation par jour d'avion sur CDG et Orly ???
sachant que un A340 au decollage consomme 20000 litres de kerosene...
ca fait une paire de 4x4
pietro-beretta (18 septembre 2005 11 h 15) disait:
FunFun disait:truc bete...
combien de rotation par jour d'avion sur CDG et Orly ???
sachant que un A340 au decollage consomme 20000 litres de kerosene...
ca fait une paire de 4x4
Combien de passagers transporte un A340 ? sur Combien de kilometre ? en Combien de temps ? bien sur les avions sont polluants, mais faudrait quand meme comparer ce qui est comparable...
inscrit le 09/09/03
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