L@Toussuire (11 févr. 2014) disait:
Je pense que c'était peut-être vrai il y a quelques années, mais désormais l'électorat frontiste se retrouve dans toutes les classes sociales, de l'ouvrier au chef d'entreprise ou à l'universitaire.
Bref pas un profil d'électeur mais plusieurs.
Si il y a plusieurs profils d’électeur FN, je suis d’accord avec byrÔn pour la partie sans repère, ou plutôt dirais-je la partie un repère unique : « La préférence nationale »
En gros, en cas de difficulté nationale, la solution doit d’abord satisfaire les nationaux.
L@Toussuire (11 févr. 2014) disait:
Il y a certes des tendances mais la conjoncture et la volatilité des phénomènes observés en sciences humaines, fait qu'il est impossible de construire un véritable électeur type du Front national. Au mieux, on peut arriver à un modèle mais, il faut être conscient qu'il sera valable à un moment donné.
L’électeur-type du Front National, existe bel et bien : c’est un électeur qui détermine ses positions selon l’air du temps.
C’est un électeur sensible à la démagogie. C’est un naïf.
Il n’y a aucune proposition économique réaliste et réalisable dans le programme FN.
La seule logique inscrite en filigrane est :
la France au temps du colonialisme (domination, l’étranger n’est une menace mais quelqu’un de soumis) était une grande puissance. La situation économique était prospère.
Aujourd’hui, fondu dans une autre entité européenne ( statut égalitaire voire d’opposant qui doit se plier à un avis non partagé, l’étranger n’est plus soumis mais un égal), la puissance nationale n’existe plus et la situation économique est pour le moins défavorable.
Donc arrêtons de nous soumettre à une autre autorité que la nôtre, et nous retrouverons la prospérité économique.
! 
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