Dirao de un viaje andino - 2 2 commentaires

Diaro de un viaje
Argentina y Chile
 La onda cordillera

Au début, l?amerique du sud c?est des histoires que l?on entend à travers différents récits, des histoires de montagnes, de villages perdues.
Un continent encore un peu sauvage pour nous européen, souvent perdus dans nos citées, des rêves de grandeur plein les yeux, immensités perdues de la Patagonie, et volcans escarpés du Chili.
Séparée de l?Afrique il y a plusieurs centaines de millions d?années par les forces lentes et puissantes de la tectonique des plaques. La nature a été reine et a marqué de son empreinte la terre, l?air, l?eau et le feu. Les 4 éléments restent et resteront encore les maîtres des lieux, obligeant les êtres vivant à s?adapter pour survivre, et aux humains a vivre en harmonie avec la nature pendant les millénaires pré colombiens.
Apres la découverte des Amériques, et le génocide des populations indigènes et leurs affaiblissement du aux différentes épidémies de variole et autres infections importées dans ce « nouveau monde », l?eldorado tant recherché s?offre a vous, nous, moi.
Vidé d?une partie de sa substance, cette nature omniprésente au long des siècles d?exploitations humaines variées garde encore une part de mystère.

L?amérique du sud est composée de 13 pays, de la taille d?une région française à 15 fois la France pour le Brésil.
Mais ici nous nous arrêterons sur 2 pays en particulier, le Chili et l?Argentine. Les deux ayant leurs particularités, défauts et qualités.
Leurs positions au sud du continent fait d?eux un ensemble séparé par la fameuse « cordillères des Andes ».
Cette chaîne de montagne qui commence en Colombie (réellement au Nord du Canada jusqu?au Cap Horn), est une frontière naturelle et en même temps un dénominateur commun a tous les pays de l?Ouest du continent. Formée par la rencontre des plaques du Pacifique et la plateforme continentale sud-américaines, elle s?élèvent a 6952m au sommet de l?Aconcagua ce qui en fait la deuxième chaîne montagneuse du monde par sa hauteur.
Tout d?abord les hauts plateaux de la Colombie, la jungle qui poussent jusqu'à des hauteurs alpines ensuite arrivent les premiers volcans de l?Equateur, les pics escarpés des incas au Pérou, L?altiplano Bolivien et ses lacs de sels, de nouveau les volcans au Chili, solitaire et massifs dominants la mer ; enfin la Patagonie, pays de lacs, immensités sans fin autre que le cap Horn et Ushuaia, dernière terres dites « australes » en Argentine.
Derrière chaque montagne se cache un nouvel horizon pour les yeux, un nouvel espace à parcourir pour les pieds, de nouveaux minéraux a toucher, des essences à sentir, des plats à goûter, des animaux ou le vent à entendre.
Ici apprécier revient à prendre le temps de le faire, de vivre les lieux et les instants pleinement. Il faut subir les distances et le climat comme des facteurs positifs et non négatifs, sous peine d?impatience et déceptions.
Le Roi ici est le vent, formé par les particularités géographiques de la Patagonie, et la présence d?un coté du Pacifique et de la Pampa de l?autre qui crée des immenses déplacement de masse d?air.





Ces lieux ci particuliers sont maintenant a une douzaine d?heure d?avion de l?europe, alors que du temps des conquistadors on comptait en semaine de navigation.

Il existe plusieurs façon d?arriver au pied de la cordillère des andes depuis les centres urbains du chili ou d?argentine
L?avion depuis Santiago ou Bariloche, qui offre une vue imprenable sur les sommets proches et enneigés.
Sinon on prend le temps de découvrir les paysages et les gens en prenant un bus au terminal de Retiro à Buenos Aires, mais surtout pas un week-end pour les non-hispanophones, de peur de se perdre dans ce point de départ pour tout le pays.
Les voyages en bus forment un peu les voyageurs, ils leurs permettent de découvrir l?ambiance, les gens et les paysages, tout cela dans un confort certain avec des sièges presque couchette.

Depuis Buenos Aires, le voyage jusqu'à Bariloche comprend 23h de bus, a travers les immensités de la Pampa, royaume du steak sur pattes que l?on découvrira forcément à un moment ou à un autre dans son assiette sous la forme d?un « Bife » ou d?une « parilla ».
Au bout de 21h les premières montagnes apparaissent au long de la route, très loin sur l?horizon desséchée de l?hiver patagonien.
Ensuite, ce sont les lacs qui se révélent, de plus en plus grand pour finalement découvrir le Nahuel Huapi, immense lac bordant la cordillère.
Les points de vue du Cerro Otto et de la station Cerro Catedral de Bariloche, font parties de ces panoramas que l?on garde incrustés à sa rétine quand l?image d?une aurore orangée c?est imprimé dessus.
Même en skiant sur les pistes, le regard est attiré par son étendue bleu sombre, entouré de ses pics appelés ici Catedral.



Tout ces espaces nous enjoignent a poursuivre le voyage vers d?autres contrées andines.

Une des options est de partir explorerle Villarica, géant cracheur de feu chilien de 2800 mètres, situé à Pucon au nord ouest de Bariloche a une dizaine d?heure de bus.
Ce volcan est un des plus actif de la cordillère et peut offrir des spectacles inoubliables a tous ceux qui le contemplent.
De nuit son cratère s?auréole d?un voile rouge, couleur de la lave en fusion jaillissant du cratère et se détachant du noir de la nuit.
Et comme par magie, le lendemain il est possible d?aller admirer ce spectacle en randonnée au prix de plusieurs heures de marches et d?un peu de chance pour le traditionnel stop du matin pour accéder au pied de la station grâce au nombreux pick up.
Si le Roi « vent » est clément le spectacle du cratère se rajoutera à l?incrustation rétinienne de bariloche.
Encore une fois, la descente offre une visions de rêve avec un autre lac immense bordant la ville de Pucon et un tour d?horizon sur les proches volcans chiliens.

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La Poudre du Sud - 15 15 commentaires

Début décembre 2006, les alpes du sud prenaient de jolies quantités de neige. L?espoir était naissant, les cuisses tremblaient sous l'émotion, les mollets se contractaient de joie et le sourire était large, très large!!!! Le premier rendez vous fut pris un matin tôt au Lautaret avec deux affamés ''Castor & Albertus'', direction (+)

un projet a l'attention de la communautée - 32 32 commentaires

petit rappel comme vous l'avez surement compris skipassers de tous les pays, je cherche a devenir Riderpro, en freeride. Il y a plusieurs moyens, gagner une compète de freeride, en balançant de gros lincoln, mettre les runs les plus fous dans des videos.... Problème ça ne m'intéresse pas et ça ne correspond pas non plus a ma vision du ski. Et puis qu (+)

le début d'une grande histoire! - 4 4 commentaires

Et voila c'est fait je rejoins une petite marque de ski qui fait plaisir. EXTREM ski, ils sont suedois et fabriquent du matos depuis 1981. ça faisait quelque temps déjà que je leur courais après, tellement j'avais envie de naviguer sur ces drakars de vikings. bon ça reste une petite marque de ski qui n'est pas encore trop présente en France mais justeme (+)