
grace a un post j'ai trouvé l'article ci après qui vous explique comment choisir votre chaussure de ski adapté a votre pied
et c'est le boss de sidas qui parle.
on y apprend par exemple que le premier reflexe a avoir quand on essaie une chaussure de ski neuve c'est de mettre son pied a l'interieur en ayant retiré le chausson avant.
Sidas, Julien Calléja : "évolution des orthèses plantaires thermoformées"
Ce qui est appelé semelle moulée par la majorité des pratiquants, a connu une forte évolution grâce aux progrès en matière de performance des matériaux. Autrefois on recherchait, pour plus de précision, un contact le plus direct possible entre le pied et la chaussure. Actuellement grâce à des matériaux fins et rigide, la semelle, en limitant la déformation du pied en pronation (appui sur la face interne du pied et le gros orteil), va permettre de diminuer le temps de latence entre l' inclinaison des tibias du skieur et la réaction des skis. De plus, en augmentant la surface et la qualité de l' appui du pied contre la chaussure, les sensations kinesthésiques sont améliorées (chaîne neuromotrice qui permet de réaliser un geste en sport de façon quasi inconsciente). Aujourd'hui la mode n' est plus à la souffrance en ski et on peut allier performance et confort relatif. De part le nombre de paramètres a prendre en compte et de par le changement et la diversité des modèles, Il n' est pas possible d' attribuer une tendance de moule à une marque. Il convient de respecter les conseils simples en matière de choix des coques de chaussures de ski qui suivent :
- Pied nu calé en avant dans la chaussure sans chausson, il doit y avoir une réserve d' espace de 1,5 cm à 2,5 cm entre son talon et la coque.
- On doit pouvoir passer une main de chaque coté des malléoles.
- Il doit y avoir un espace entre le coup de pied et la coque.
- Le pied doit pouvoir effectuer un léger mouvement d' essuie glace dans la coque.
Si ces espaces ne sont pas respectés on imagine aisément les surpressions qui seront imposé au pied quand on rajoutera le chausson.
Réaction unanime de l' ensemble des skieurs de haut niveau et entraîneurs : on se demande bien pourquoi dans le passé on a accepté de tant souffrir au niveau des pieds.
je pense vu le nombre de post que ça méritait d'etre signalé
et c'est le boss de sidas qui parle.
on y apprend par exemple que le premier reflexe a avoir quand on essaie une chaussure de ski neuve c'est de mettre son pied a l'interieur en ayant retiré le chausson avant.
Sidas, Julien Calléja : "évolution des orthèses plantaires thermoformées"
Ce qui est appelé semelle moulée par la majorité des pratiquants, a connu une forte évolution grâce aux progrès en matière de performance des matériaux. Autrefois on recherchait, pour plus de précision, un contact le plus direct possible entre le pied et la chaussure. Actuellement grâce à des matériaux fins et rigide, la semelle, en limitant la déformation du pied en pronation (appui sur la face interne du pied et le gros orteil), va permettre de diminuer le temps de latence entre l' inclinaison des tibias du skieur et la réaction des skis. De plus, en augmentant la surface et la qualité de l' appui du pied contre la chaussure, les sensations kinesthésiques sont améliorées (chaîne neuromotrice qui permet de réaliser un geste en sport de façon quasi inconsciente). Aujourd'hui la mode n' est plus à la souffrance en ski et on peut allier performance et confort relatif. De part le nombre de paramètres a prendre en compte et de par le changement et la diversité des modèles, Il n' est pas possible d' attribuer une tendance de moule à une marque. Il convient de respecter les conseils simples en matière de choix des coques de chaussures de ski qui suivent :
- Pied nu calé en avant dans la chaussure sans chausson, il doit y avoir une réserve d' espace de 1,5 cm à 2,5 cm entre son talon et la coque.
- On doit pouvoir passer une main de chaque coté des malléoles.
- Il doit y avoir un espace entre le coup de pied et la coque.
- Le pied doit pouvoir effectuer un léger mouvement d' essuie glace dans la coque.
Si ces espaces ne sont pas respectés on imagine aisément les surpressions qui seront imposé au pied quand on rajoutera le chausson.
Réaction unanime de l' ensemble des skieurs de haut niveau et entraîneurs : on se demande bien pourquoi dans le passé on a accepté de tant souffrir au niveau des pieds.
je pense vu le nombre de post que ça méritait d'etre signalé
inscrit le 26/1/05
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