
On me l’avait dit et même redit lors d’un retour de journée aux grands montets : « Chamonix faut plus y aller » 41 euros la journée pour skier sur de la neige bien durcie à la spatule par les innombrables passages des skieurs. (36 euros le forfait journée + une remontée à 5 euros pour le sommet des grands) : trop de monde et trop cher ! Le plaisir ne vaut plus le coût, ou inversement.
Et pourtant par un jour sans ambition je choisis la flègère parmi les domaines des vampires de la compagnie du mont blanc. Je ne connais pas ce domaine que l’on m’a dit petit et vite transformé car plein sud, mais je suis curieux. Ma petite voiture me monte à grand peine sur la deux voies qui mène dans la vallée du mont blanc car tout le monde le sait : un homme averti en vaut deux. (attention les côtes) Arrivé à la caisse, déjà je regrette de braver le conseil judicieux d’un dés lors ami. 26 euros la demi-journée qui commence à 12heures 30. Je tente de rester stoïque mais je ne peux m’empêcher un lâche « ouais ben c’est la dernière fois ! » à la caissière habituée d’être l’enclume de nos humeurs et celle-ci de raisonner par un « bonne journée ». En attendant les 12 heures30 je visite les toilettes. Chamonix est connu pour l’extrême et bien dans ses toilettes c’est aussi l’extrême. Visiblement quelqu’un est passé avant moi. En fait ce sont les toilettes du dernier recours avant l’accident grave. A la turc ou à la française suivant la traduction : un trou et 2 pédales. Mes dames vous qui menez une véritable guerre contre tous ces cochons d’hommes qui sans exception parviennent à chaque fois à laissé les traces de leur passage sous forme de quelques gouttes (au mieux) sur la planche des W C, imaginez ce qui ce passe quand ces maladroits tournent le dos à la cible pour tirer avec du lourd : un désastre!
Revenons au ski et visitons à la station. Le débit des remontées poussives tranche avec la prétention des tarifs. Au sommet une odeur me rappelle une certaine station italienne. Comme ici quand le vent est bien orienté on profite de l’odeur du diesel qui nous a hissé au sommet. (Fumer n’est pas bon pour la santé sauf quand c’est du diesel ?). Si la station est sympa, les petits bords de piste prometteurs de plaisir sont déjà damés… Me voici apaisé par quelques virages dans ce domaine somme toute agréable. Au retour vers le parking encore une déception, la piste pourtant dans les bois est une culture de cailloux sournois qui gâchent le plaisir. Je n’oublie pas de récupérer les 3 euros de caution pour le ²main libre², je ne suis pas sur de revenir. Et pourtant on me l’avait dit…
Et pourtant par un jour sans ambition je choisis la flègère parmi les domaines des vampires de la compagnie du mont blanc. Je ne connais pas ce domaine que l’on m’a dit petit et vite transformé car plein sud, mais je suis curieux. Ma petite voiture me monte à grand peine sur la deux voies qui mène dans la vallée du mont blanc car tout le monde le sait : un homme averti en vaut deux. (attention les côtes) Arrivé à la caisse, déjà je regrette de braver le conseil judicieux d’un dés lors ami. 26 euros la demi-journée qui commence à 12heures 30. Je tente de rester stoïque mais je ne peux m’empêcher un lâche « ouais ben c’est la dernière fois ! » à la caissière habituée d’être l’enclume de nos humeurs et celle-ci de raisonner par un « bonne journée ». En attendant les 12 heures30 je visite les toilettes. Chamonix est connu pour l’extrême et bien dans ses toilettes c’est aussi l’extrême. Visiblement quelqu’un est passé avant moi. En fait ce sont les toilettes du dernier recours avant l’accident grave. A la turc ou à la française suivant la traduction : un trou et 2 pédales. Mes dames vous qui menez une véritable guerre contre tous ces cochons d’hommes qui sans exception parviennent à chaque fois à laissé les traces de leur passage sous forme de quelques gouttes (au mieux) sur la planche des W C, imaginez ce qui ce passe quand ces maladroits tournent le dos à la cible pour tirer avec du lourd : un désastre!
Revenons au ski et visitons à la station. Le débit des remontées poussives tranche avec la prétention des tarifs. Au sommet une odeur me rappelle une certaine station italienne. Comme ici quand le vent est bien orienté on profite de l’odeur du diesel qui nous a hissé au sommet. (Fumer n’est pas bon pour la santé sauf quand c’est du diesel ?). Si la station est sympa, les petits bords de piste prometteurs de plaisir sont déjà damés… Me voici apaisé par quelques virages dans ce domaine somme toute agréable. Au retour vers le parking encore une déception, la piste pourtant dans les bois est une culture de cailloux sournois qui gâchent le plaisir. Je n’oublie pas de récupérer les 3 euros de caution pour le ²main libre², je ne suis pas sur de revenir. Et pourtant on me l’avait dit…
inscrit le 28/7/04
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