La "deprime" des guides dans Libé

article de libé ....

Comme ça non ?

Elementaire mon cher El cascador!

Je me sent un peu dependant... c'est normal docteur?

Dieu!! ça vient d'ou c't'expression S-Down?

Straight-Down disait:

Boudiou!

Lu au comptoir, avec un petit noir et une tartine beurrée... Ou l'on apprends que les guides sont aussi des hommes comme les autres...

sinon il semble qu'un aspect de la vie de guide ait été oublié.
Comme disait Coluche "ça emballe un guide"?

topgun (10 décembre 2004 17 h 27) disait:

sinon il semble qu'un aspect de la vie de guide ait été oublié.
Comme disait Coluche "ça emballe un guide"?

Peut pas assez et c'est pour ça qu'ils dépriment...

Ben apparament l'an dernier ils en ont emballes pas mal, des morts.
Toutes mes excuses pour cet humour bien noir.

Bof l'article !

C'est certainement vrai que les guides doivent de plus en plus se coltiner des clients qui n'ont pas tout à fait le niveau (technique ou physique) mais quand on analyse les raisons des décès ça n'est pratiquement jamais le client qui est à la source.

En fait il y a une vérité incontestable c'est que la montagne n'est pas prévisible à 100% même par des professionnels et que dans un sport dangeruex il y a une part de fatalité : le guide qui se tue parce qu'il est pris dans une coulée de rien du tout mais qui lui fait sauter une falaise, comme lors du printemps dernier, il n'y a pas grand chose à faire, des petites coulées il y en a toujours et si un guide évite de s'approcher des falaises ben il fait de la ballade !

carambole (11 décembre 2004 12 h 39) disait:

Bof l'article !

Tu lis la presse coco ??

si il y a des images oui pourquoi ?

Je trouve cet article inréressant car il décrit bien le "malaise" ou plutôt l'ambiguïté du métier de quide qui évolue vers le côté obscure: le commercial, en négligeant certains facteurs qui étaient décisifs il n'y a pas si longtemps encore.
Et en plus, le pire de tout, c'est l'épée de damoclèse qu'ils ont au-dessus d'eux: le jurudique. A la moindre couille, c'est le tribunal.