Blacksite (29 juin) disait:
Au final, de toute manière, que V. Poutine reconnaisse que l’État russe était derrière ne va pas changer grand chose.
Bof. Les russes ne reconnaissent pas le TPI.
Les américains non plus au passage. Faut dire qu'ils encombreraient la salle d'attente. Pour s'en prémunir ils préfèrent en menacer les membres, les interdire de visa, menacer de sanctions économiques les pays qui demanderaient des comptes. L'axe du bien en somme.
hrw.org
information.tv5monde.com
Je pense que le gouvernement français a juste demandé aux plateformes de réseaux sociaux de mettre fin à la diffusion des images de violence. Mais rien n'a été interdit il me semble. De toute manière, je pense que ce serait légalement compliqué à mettre en place.
rfi.fr
fourinas42 ( 2 juil.) disait:
La France qui bloque internet et Twitter dans les quartiers pour éviter les émeutes et la révolte...finalement on a rien a envier aux autres dictatures...le pouvoir se protège...et montre son vrai visage...Moscou jubile comme pendant la crise des gilets jaune et les diverses mutilations et autres arrestations arbitraires...finalement l herbe n est pas plus verte ailleurs...
gglapeuf ( 3 juil.) disait:
bah fourinas... pathologie intéressante pour qui aurait ou pas...
du temps à perdre
fourinas42 ( 3 juil.) disait:
gglapeuf ( 3 juil.) disait:
bah fourinas... pathologie intéressante pour qui aurait ou pas...
du temps à perdre
Abrutis! :
Le pouvoir ne peu intervenir dans les entreprises privé mais l intention est belle et bien là : lesechos.fr
Hellsass ( 3 juil.) disait:
Chacun sa "technologie" ...
La Russie envoie à la mort des soldats bourrés d'amphétamines
La Russie enverrait une partie de son infanterie vers une mort certaine sous l'influence d'amphétamines. Une pratique courante en temps de guerre, mais qui choque les soldats ukrainiens.
blick.ch
C'est une "accusation" assez courante que de présenter l'adversaire comme drogué au combat, mais ça se révèle souvent sans fondement, du moins à l'échelle de toute une armée.
D'ailleurs j'avais lu la même chose de la part de combattants autonomistes du Donbass (vers 2014-2015) où ils disaient souvent retrouver des seringues dans les campements des unités paramilitaires ukrainiennes. Les combattants de Daesh étaient aussi souvent présentés comme défoncés au amphétamines, ce qui s'est toujours avéré inexact lors d'autopsies.
Après qu'il y ait des combattants qui deviennent toxicomanes au cours d'une guerre, c'est fréquent, mais ça n'a pas grand intérêt pour un commandement de droguer volontairement l'ensemble de ses hommes.
J'avais d'ailleurs expédié ce livre à AK :
nouveau-monde.net
Blacksite ( 2 août) disait:
C'est une "accusation" assez courante que de présenter l'adversaire comme drogué au combat, mais ça se révèle souvent sans fondement, du moins à l'échelle de toute une armée.
D'ailleurs j'avais lu la même chose de la part de combattants autonomistes du Donbass (vers 2014-2015) où ils disaient souvent retrouver des seringues dans les campements des unités paramilitaires ukrainiennes. Les combattants de Daesh étaient aussi souvent présentés comme défoncés au amphétamines, ce qui s'est toujours avéré inexact lors d'autopsies.
Après qu'il y ait des combattants qui deviennent toxicomanes au cours d'une guerre, c'est fréquent, mais ça n'a pas grand intérêt pour un commandement de droguer volontairement l'ensemble de ses hommes.
J'avais d'ailleurs expédié ce livre à AK :
nouveau-monde.net
fabien.38 ( 2 août) disait:Le captagon a aussi été qualifié de "drogue de Daesh", je ne sais pas si cette appellation est légitime et si les soldats de Daesh y ont eu recours de façon significative ou pas. En tout cas il semble que c'est surtout le narco-état syrien qui en a déversé en quantités dans les pays du Golfe, avec des implications jusque dans la famille Assad. Le régime syrien s'en serait servi comme moyen de chantage pour être réintégré dans la Ligue Arabe (en échange de stopper la production de captagon), et ça semble avoir marché....
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