Oui mais lui a fait un stage en sachitude universelle. Pas toi.
ronron (24 mars) disait:
Même un certains nombre de clients savaient fut qu'ils s'en allaient et fuyaient le bateau autant que possible.
Enfin vient un dernier aspect, on a beau savoir qu'une entreprise/client/fournisseur/partenaire court à la faillite, souvent on a tout simplement pas de solutions de rechanges à porter de main dans l'immédiat, donc on continue à travailler avec eux tout en cherchant toutes les solutions possibles pour mettre fin à la collaboration, tout en sachant que si on met fin à la collaboration, on va surement couler l'entreprise.
ronron (24 mars) disait:
Mais c'est le monde du business actuelle, qui ne fonctionne que par des bulles spéculatives totalement déconnectés de la réalité de l'activité.
Tout le monde sait que c'est une bulle, que les entreprises ne font pas de profit, ont des gros problèmes structurelles quasi insurmontable, tout le monde sait que ça peut se casser la gueule en quelques jours, mais tant que cela fait de l'argent en bourse, tout le monde fonce de peur de passer à coté d'un gros coup.
ronron (24 mars) disait:
twann74 (24 mars) disait:
Ton exemple ne marche qu'en partie, car je doute que tu travailles dans une entreprise côtée (en bourse).
Pour les sociétés cotées, quand une fragilité apparait l'entreprise s'expose directement à une chute de son action.
Donc si en disant que "beaucoup de gens du milieu savaient que ça allait arriver", tu parlais en fait d'un nombre très limité de personnes uniquement dans l'entreprise et tout en haut de la hiérarchie, là je suis d'accord avec toi. Mais dire que de manière générale les gens qui travaillent dans ce secteur sont pour la plupart au courant, pas du tout d'accord désolé. D'ailleurs on l'a bien vu, le rachat de CS s'est opéré dans le plus grand secret, justement pour ne pas affoler les marchés. Si ce genre d'info sur la fragilité d'une entreprise côtée sort, elle sera fragilisée et pourra faire faillite très rapidement, encore plus quand il s'agit d'un géant.
On l'a bien vu avec la faillite récente d'FTX en crypto, c'était un des leaders du secteur (équivalent crypto de crédit suisse, plus ou moins), avec beaucoup de liquidités et énormément de clients. Les hauts placés savaient qu'il y avait des dérives mais l'entreprise conservait une bonne image, mais dès que les failles sont apparus ils ont chuté de manière spectaculaire alors qu'ils étaient "too big to fail" comme tu dis.
Je travaille pour une grosse multinationale, pas coté en bourse mais qui pourrait largement l'être.
Mais je pense que cela change seulement la communication externe pas ce qui se passe en interne.
Et autant les dirigeants sont au courant de la sécurité financière de leur entreprise, autant ils n'ont aucune idée des détails de ce que se fait chez eux et d'ailleurs au final, ils prennent de grandes décisions sur l'orientation mais ils ne décident pas grande chose de la réalité des opérations ni de nombreux choix structurels et d'activités.
Encore une fois, je ne parle pas du rachat de CS qui est juste un ingérence de l'état fédéral suisse dans la vie d'une entreprise pour éviter que tout s'écroule.
Mais désolé, les gens qui travaillent chez CS et qui mettaient un minimum les mains dans le cambouis devaient tout à faire savoir que la situation était catastrophique.
Même un certains nombre de clients savaient fut qu'ils s'en allaient et fuyaient le bateau autant que possible.
Et surtout faut pas confondre l'image que les médias donnent d'une entreprise, ce qu'elle laisse paraitre et la réputation de l'entreprise dans le monde des affaires.
Enfin vient un dernier aspect, on a beau savoir qu'une entreprise/client/fournisseur/partenaire court à la faillite, souvent on a tout simplement pas de solutions de rechanges à porter de main dans l'immédiat, donc on continue à travailler avec eux tout en cherchant toutes les solutions possibles pour mettre fin à la collaboration, tout en sachant que si on met fin à la collaboration, on va surement couler l'entreprise.
FTX travaillait dans les crypto, n'existait que depuis 2016, bref, c'était une entreprise bien trop jeune, dans une domaine totalement aléatoire pour ne pas envisager que cela se casse la gueule.
Mais c'est le monde du business actuelle, qui ne fonctionne que par des bulles spéculatives totalement déconnectés de la réalité de l'activité.
Tout le monde sait que c'est une bulle, que les entreprises ne font pas de profit, ont des gros problèmes structurelles quasi insurmontable, tout le monde sait que ça peut se casser la gueule en quelques jours, mais tant que cela fait de l'argent en bourse, tout le monde fonce de peur de passer à coté d'un gros coup.
ronron (27 mars) disait:
La vie, c'est pas le Loup de Wall Street tous les jours, mais on sait depuis un moment que les banques font quasiment n'importe quoi avec leur activités, on a besoin de les renflouer assez souvent parce qu'elles se cassent la gueule, les différentes études de krash-test montrent que quais aucune ne peut y survivre seul sans intervention de l'Etat, on a de plus en plus d'exemples de très grosses banques qui se cassent la gueule en quelques jours.
Au final, c'est le contribuable qui payent pour les magouilles de certains dirigeants de banques, bien plus que pour aucune autre activités, pour éviter que le système s'écroule.
Donc à un moment, faut arrêter de prendre les gens pour des cons, quand une banque comme CS se casse la gueule en quelques jours, c'est pas parce par hasard et parce qu'ils n'y pouvaient rien, ça fait des années qu'ils sont dans la tourmente.
C'est comme dire que leur activité principale, c'est le hedging, ça change rien au fait qu'ils se cassent la gueule à cause de tous le reste et surtout les petites magouilles faites à coté.
Alors au bout d'un moment, oui, cela ne surprend plus grand monde, mais on en parle comme une surprise alors que c'était prévisible.
twann74 (27 mars) disait:
Je tronque tes posts pour souligner les endroits où tu racontes des choses fausses. Je peux prendre le post en entier hein, mais ça change rien. Autant conserver une certaine lisibilité sur le forum. Et je ne mélange pas les sujets non plus, je pointe seulement du doigt les parties de ton raisonnement où tu présentes des "on dit" comme des vérités absolues alors que ce n'en est pas.
Mais je suis content de voir que tes analyses économiques très fines t'ont permis d'anticiper la chute imminente du CS et son rachat par UBS. Je pense que le monde aurait plus besoin de la finesse de ton esprit critique
Sinon pour te répondre:
ronron (27 mars) disait:
La vie, c'est pas le Loup de Wall Street tous les jours, mais on sait depuis un moment que les banques font quasiment n'importe quoi avec leur activités, on a besoin de les renflouer assez souvent parce qu'elles se cassent la gueule, les différentes études de krash-test montrent que quais aucune ne peut y survivre seul sans intervention de l'Etat, on a de plus en plus d'exemples de très grosses banques qui se cassent la gueule en quelques jours.
Au final, c'est le contribuable qui payent pour les magouilles de certains dirigeants de banques, bien plus que pour aucune autre activités, pour éviter que le système s'écroule.
Donc à un moment, faut arrêter de prendre les gens pour des cons, quand une banque comme CS se casse la gueule en quelques jours, c'est pas parce par hasard et parce qu'ils n'y pouvaient rien, ça fait des années qu'ils sont dans la tourmente.
C'est comme dire que leur activité principale, c'est le hedging, ça change rien au fait qu'ils se cassent la gueule à cause de tous le reste et surtout les petites magouilles faites à coté.
Alors au bout d'un moment, oui, cela ne surprend plus grand monde, mais on en parle comme une surprise alors que c'était prévisible.
Non, ça change rien effectivement, en revanche ça prouve bien que quand tu dis "le business de ces banques c'est uniquement de profiter de bulles spéculatives", ben c'est des conneries.
Par contre tu as raison sur le renflouage des banques par le contribuable, même si ce n'est pas toujours à cause de magouilles. Pour CS ils paient le prix de leurs scandales à répétition depuis des années, comme tu le soulignes bien et je n'ai jamais dis le contraire. Donc dans ce cas là c'est à cause de magouilles. Mais une banque peut se casser la gueule pour plein de raisons. Notre système économique est basé sur la confiance des entreprises et des particuliers envers les banques. Le jour où cette confiance est rompue et que les clients veulent tous retirer, aucune banque n'est en mesure de tout rembourser d'un coup, ça s'appelle un bank run.
ronron (24 mars) disait:
Je travaille pour une grosse multinationale, pas coté en bourse mais qui pourrait largement l'être.
Mais je pense que cela change seulement la communication externe pas ce qui se passe en interne.
Et autant les dirigeants sont au courant de la sécurité financière de leur entreprise, autant ils n'ont aucune idée des détails de ce que se fait chez eux et d'ailleurs au final, ils prennent de grandes décisions sur l'orientation mais ils ne décident pas grande chose de la réalité des opérations ni de nombreux choix structurels et d'activités.
Encore une fois, je ne parle pas du rachat de CS qui est juste un ingérence de l'état fédéral suisse dans la vie d'une entreprise pour éviter que tout s'écroule.
Mais désolé, les gens qui travaillent chez CS et qui mettaient un minimum les mains dans le cambouis devaient tout à faire savoir que la situation était catastrophique.
Même un certains nombre de clients savaient fut qu'ils s'en allaient et fuyaient le bateau autant que possible.
Et surtout faut pas confondre l'image que les médias donnent d'une entreprise, ce qu'elle laisse paraitre et la réputation de l'entreprise dans le monde des affaires.
Enfin vient un dernier aspect, on a beau savoir qu'une entreprise/client/fournisseur/partenaire court à la faillite, souvent on a tout simplement pas de solutions de rechanges à porter de main dans l'immédiat, donc on continue à travailler avec eux tout en cherchant toutes les solutions possibles pour mettre fin à la collaboration, tout en sachant que si on met fin à la collaboration, on va surement couler l'entreprise.
FTX travaillait dans les crypto, n'existait que depuis 2016, bref, c'était une entreprise bien trop jeune, dans une domaine totalement aléatoire pour ne pas envisager que cela se casse la gueule.
Mais c'est le monde du business actuelle, qui ne fonctionne que par des bulles spéculatives totalement déconnectés de la réalité de l'activité.
Tout le monde sait que c'est une bulle, que les entreprises ne font pas de profit, ont des gros problèmes structurelles quasi insurmontable, tout le monde sait que ça peut se casser la gueule en quelques jours, mais tant que cela fait de l'argent en bourse, tout le monde fonce de peur de passer à coté d'un gros coup.
ronron (28 mars) disait:
Mais arrêtes de dire de la merde, j'ai jamais dit que le business des banques est uniquement de profiter des bulles.
Tu mélanges tout.
C'est pour ça que je te conseille de ne pas tronquer parce que ça te fait dire des conneries.
Personnellement, j'en ai strictement rien à foutre de CS, je ne suis pas plus que ça l'actualité bancaire.
Mais faut juste arrêter de dire que ce genre de crise sort de nulle part, que personne n'aurait pu l'envisager, c'est totalement faux.
De nombreux analystes financiers s'y préparaient.
Quand au rachat de banque, encore une fois, dans un pays avec des grosses banques assez puissantes, c'était quand même prévisible. Soit l'état les renfloue, soit une autre banque la rachète, soit on la laisse tomber, y a pas 36000 solutions.
C'est ce qui s'est passé en 2008 avec les différents banques américaines, y a eu du rachat par d'autre, du renflouement et Lehman Brothers a été lâché, surement pour l'exemple, mais oui, les marches espéraient jusqu'à la dernier minute que Lehman soit racheté, une confiance aveugle que tout finira par s'arranger.
Ce qui pousse le business a faire des choses totalement irrationnelles et à ne pas anticiper ce qui pourrait aller mal et donc à négliger la loi de Murphy.
Maintenant, on sait qu'on ne peut pas échapper à la loi de Murphy et que c'est souvent la cata dans le domaine bancaire.
ak (28 mars) disait:
Ah ben c'était tellement prévisible que les saoudiens ont injecté 1,5 milliards en octobre dernier...
twann74 (28 mars) disait:
ronron (24 mars) disait:
Je travaille pour une grosse multinationale, pas coté en bourse mais qui pourrait largement l'être.
Mais je pense que cela change seulement la communication externe pas ce qui se passe en interne.
Et autant les dirigeants sont au courant de la sécurité financière de leur entreprise, autant ils n'ont aucune idée des détails de ce que se fait chez eux et d'ailleurs au final, ils prennent de grandes décisions sur l'orientation mais ils ne décident pas grande chose de la réalité des opérations ni de nombreux choix structurels et d'activités.
Encore une fois, je ne parle pas du rachat de CS qui est juste un ingérence de l'état fédéral suisse dans la vie d'une entreprise pour éviter que tout s'écroule.
Mais désolé, les gens qui travaillent chez CS et qui mettaient un minimum les mains dans le cambouis devaient tout à faire savoir que la situation était catastrophique.
Même un certains nombre de clients savaient fut qu'ils s'en allaient et fuyaient le bateau autant que possible.
Et surtout faut pas confondre l'image que les médias donnent d'une entreprise, ce qu'elle laisse paraitre et la réputation de l'entreprise dans le monde des affaires.
Enfin vient un dernier aspect, on a beau savoir qu'une entreprise/client/fournisseur/partenaire court à la faillite, souvent on a tout simplement pas de solutions de rechanges à porter de main dans l'immédiat, donc on continue à travailler avec eux tout en cherchant toutes les solutions possibles pour mettre fin à la collaboration, tout en sachant que si on met fin à la collaboration, on va surement couler l'entreprise.
FTX travaillait dans les crypto, n'existait que depuis 2016, bref, c'était une entreprise bien trop jeune, dans une domaine totalement aléatoire pour ne pas envisager que cela se casse la gueule.
Mais c'est le monde du business actuelle, qui ne fonctionne que par des bulles spéculatives totalement déconnectés de la réalité de l'activité.
Tout le monde sait que c'est une bulle, que les entreprises ne font pas de profit, ont des gros problèmes structurelles quasi insurmontable, tout le monde sait que ça peut se casser la gueule en quelques jours, mais tant que cela fait de l'argent en bourse, tout le monde fonce de peur de passer à coté d'un gros coup.
aller bonsoir
J'ai bien cité en entier, pour que tu sois content. Je laisse les fautes aussi.
ronron (28 mars) disait:
Mais arrêtes de dire de la merde, j'ai jamais dit que le business des banques est uniquement de profiter des bulles.
Tu mélanges tout.
C'est pour ça que je te conseille de ne pas tronquer parce que ça te fait dire des conneries.
Personnellement, j'en ai strictement rien à foutre de CS, je ne suis pas plus que ça l'actualité bancaire.
Mais faut juste arrêter de dire que ce genre de crise sort de nulle part, que personne n'aurait pu l'envisager, c'est totalement faux.
De nombreux analystes financiers s'y préparaient.
Quand au rachat de banque, encore une fois, dans un pays avec des grosses banques assez puissantes, c'était quand même prévisible. Soit l'état les renfloue, soit une autre banque la rachète, soit on la laisse tomber, y a pas 36000 solutions.
C'est ce qui s'est passé en 2008 avec les différents banques américaines, y a eu du rachat par d'autre, du renflouement et Lehman Brothers a été lâché, surement pour l'exemple, mais oui, les marches espéraient jusqu'à la dernier minute que Lehman soit racheté, une confiance aveugle que tout finira par s'arranger.
Ce qui pousse le business a faire des choses totalement irrationnelles et à ne pas anticiper ce qui pourrait aller mal et donc à négliger la loi de Murphy.
Maintenant, on sait qu'on ne peut pas échapper à la loi de Murphy et que c'est souvent la cata dans le domaine bancaire.
c'est bien de le reconnaitre
Je n'ai pas dit que ça sortait de nul part, je dis simplement que c'est facile de balancer des analyses de bout de comptoir une fois que tout s'est cassé la gueule. L'anticiper pour de vrai, c'est autre chose. Après toi, ronron, t'as l'air d'être un as, un mec qui maitrise le sujet quoi. Donc ca ne te concerne pas. Mais pour le reste du monde économique qui est conscient que le business model des banques c'est justement le risque et la maitrise de ce risque, et bien ce n'est pas si facile que cela d'anticiper quelles banques vont chuter, et quand. Car oui, elles peuvent potentiellement toutes chuter. Cf bank run et réaction en chaine comme expliqué plus haut.
Les banques… toujours très vertueuses et philanthropes !
huffingtonpost.fr
twann74 (29 mars) disait:
En fait tu t'appelles ronron parce que tu retombes toujours sur tes pattes, c'est ça? J'y avais jamais pensé.
Ecoute, j'ai la flemme de te refaire le topo, si tu veux continuer à penser qu'il n'y a rien d'étonnant à ce que l'une des plus grandes banques du monde se casse la gueule, "fais seulement" comme on dit en Suisse
twann74 (29 mars) disait:
wow, l'analogie est bancale au possible. Tu nous parles de politique et de société, alors qu'on était sur de l'économie.
Après, pour quelqu'un qui nous justifie la chute d'un établissement bancaire grâce à la loi de murphy, j'avoue être assez peu étonné.
bonagva (29 mars) disait:
ronron (30 mars) disait:
Par conséquent, tout ce qui doit mal tourner ira aller vers le pire si cela arrive, la loi de Murphy.
La loi de Murphy est juste un constat empirique qui ne dit pas que tout va mal tourner, mais que si ça tourne mal, ça ira vers le pire.
ronron (30 mars) disait:
Et pourtant, les banques ont des avoirs pourris, font des actions frauduleuses, le pire qui puissent arriver, c'est que tout le monde s'en rend compte et que forcément perte de confiance, retrait des capitaux et chute de la banque.
Et c'est exactement comme ça que ce passe la plupart des faillites bancaires.
On a eu assez d'exemple depuis les années 2000.: la crise des subprimes avec Lehman Brothers, Madof, les banques italiennes qu'il faut renflouer tous les x années, Credit Suisse, etc
ronron (30 mars) disait:
Et tu viens de découvrir le principe de l'analogie : Ressemblance établie par l'esprit (association d'idées) entre deux ou plusieurs objets de pensée essentiellement différents.
twann74 (30 mars) disait:
ronron (30 mars) disait:
Par conséquent, tout ce qui doit mal tourner ira aller vers le pire si cela arrive, la loi de Murphy.
La loi de Murphy est juste un constat empirique qui ne dit pas que tout va mal tourner, mais que si ça tourne mal, ça ira vers le pire.
Bon, dernière fois et après j'arrête, j'ai pas la force.
1. La loi de Murphy, contrairement à son nom, n'est pas une loi, c'est un adage. Elle n'a rien de scientifique.
2 La "loi" de Murphy est presque universellement mal comprise, et je te le donne en mille, ronron tu fais partie de ceux qui l'interprètent mal. Murphy voulait dire que dans un système, il faut trouver ce qui peut mal tourner et le réparer pour que tout aille bien. Ce n'est pas une vision pessimiste du monde telle que tu la présentes ronron (ce qui est absurde), c'est un appel à la recherche pour améliorer ce qui nous entoure. Si on l'applique au système bancaire (je le répète, c'est absurde mais puisque tu as voulu faire la comparaison, faisons la), cela veut dire qu'il est possible de réguler le système bancaire pour éviter (ou en tout cas limiter le risque) de faillite des banques et du système bancaire. Cela peut inclure, par exemple, un rachat
twann74 (30 mars) disait:
ronron (30 mars) disait:
Et tu viens de découvrir le principe de l'analogie : Ressemblance établie par l'esprit (association d'idées) entre deux ou plusieurs objets de pensée essentiellement différents.
c'est pas parce que ton exemple (l'environnement) fonctionne que cela rend ton postulat de départ plus vrai. Sinon c'est trop facile, il suffirait de prendre un exemple pour lequel ça marche et on justifierait tout et n'importe quoi
ronron (30 mars) disait:
twann74 (30 mars) disait:
ronron (30 mars) disait:
Et tu viens de découvrir le principe de l'analogie : Ressemblance établie par l'esprit (association d'idées) entre deux ou plusieurs objets de pensée essentiellement différents.
c'est pas parce que ton exemple (l'environnement) fonctionne que cela rend ton postulat de départ plus vrai. Sinon c'est trop facile, il suffirait de prendre un exemple pour lequel ça marche et on justifierait tout et n'importe quoi
T'as du mal avec l'analogie dis donc...
L'analogie n'a pas valeur de loi, elle sert juste à expliciter un concept en le transposant dans un autre domaine où il s'applique mais d'une manière différente, cela permet d'appréhender le concept avec un angle différent, parfois plus facile à comprendre car plus connu.
Mais il n'y a aucun lien de causalité entre les 2, juste des similitudes.
Ce concept peut simplement être un fait ponctuel dans une domaine mais qui se reproduit dans d'autres.
L'analogie est là aussi pour montrer que ce qui arrive dans un domaine est déjà un concept connu dans un autre et donc même s'il semble nouveau est surprenant, il ne l'ai pas vraiment.
ronron (30 mars) disait:
Dans l'exemple du système bancaire, c'est assez drôle de dire qu'il est possible de le réguler alors que toutes les tentatives de régulations échoues et que la seule chose qui fonctionnent vraiment, ce sont les faillites qui font peur aux autres. Même si cela ne dure qu'un temps.
Blacksite ( 4 avril) disait:
Les transports publics suisses vont augmenter leurs tarifs de 4,3% !
En décembre prochain, les prix de l’Alliance SwissPass vont grimper. La 2e classe et les abonnements généraux sont les plus touchés. +5,7% pour l’AG en 2e classe.
lematin.ch
ronron (29 mars) disait:
ak (28 mars) disait:
Ah ben c'était tellement prévisible que les saoudiens ont injecté 1,5 milliards en octobre dernier...
1.5milliards pour des saoudiens, c'est quedal.
Ils mettent bien plus dans des clubs de foot.
D'ailleurs, là, le patron saoudien démissionne...
Kierviel avait fait perdre 4.9M d'euros à la Société Générale dans des actions frauduleuses, en engageant plus de 50milliards dans des placements frauduleux.
Les actions d'une personne peuvent engager tout la santé d'une banque, le gars a agit par appât du gain en utilisant des actions frauduleuses pour lesquelles il savait que la banque fermerait les yeux.
ak ( 7 avril) disait:
Nan mais l'argument massue: parce qu'ils mettent bien plus ailleurs, 1,5 milliards c'est rien
C'est en train de devenir une affaire d’État j'ai l'impression.
Parlementaires en colère contre les aides : «UBS nage dans le cash !»
Le Parlement se réunit en session extraordinaire. Mais ses récriminations n’auront pas de gros effets.
lematin.ch
inscrit le 05/05/15
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