Je suis assez surpris des commentaires concernant les tests de ski réalisés dans le dernier numéro de skieur magazine. Je ne parviens pas à comprendre la « philosophie » générale de ce magazine concernant les skis. En effet, tous les skis peu « accessibles » sont mal classés. Plus simplifier, plus le ski est technique et exigeant, moins il est valorisé. En revanche, un ski « passe-partout homogène, accessible, confortable » sera plus couvert d’éloge.
Ainsi on reproche au nouveau Volkl AC 4 d’être « très physique » et « trop exigeant » tout en reconnaissant que « dans la pente et aux pieds d’un excellent skieur il envoie fort et ne bouge pas ».
Même type de commentaire pour le Movement Flame que le magazine brûle en raison d’un caractère trop trempé. Il pousse le comique à proposer au skieur de ce ski d’aller faire de la musculation. Le plus drôle est de classer un ski en négatif sous prétexte qu’il n’est « pas reposant ». Ah bon désolé, je n’avais pas compris que nous étions en train de parler de sport.
Et les exemples sont nombreux. Plus le ski est « atypique », « exclusif », « peu accessible au plus grand nombre » et plus le bilan du test fera apparaître des lignes dans la rubrique « négatif ».
Bref si nous faisons un parallèle entre le monde du ski et celui de la voiture, ce genre de test aboutirait au commentaire suivant : une Lotus Elise, c’est moins bien qu’un Renault Scénic…. Ce genre de test c’est apologie de la pensée unique du ski. Pour être bien, il faut être comme tout le monde, ne pas avoir de caractère et surtout ne pas être différent.
Si cette approche est celle de ce magazine, cela ne me pose aucun problème. Chaque a le droit de ses propres opinions. Mais voilà, je me pose certaines questions quant à l’état de santé intellectuel des rédacteurs de ces magazines, qui dans le même numéro s’élèvent contre les effets de la mondialisation du marché du ski et contre ses conséquences Ainsi en page 20, ils regrettent la mort annoncée de Zag ( sauf repreneur) dans un « marché saturé ». Ils aimeraient que « l’avenir du ski passe aussi dans une diversification de l’offre », tout en étant les premiers à faire l’apologie du « ski passe-partout mou» sur plus de 62 pages,
Moi je n’arrive pas comprendre….
Ainsi on reproche au nouveau Volkl AC 4 d’être « très physique » et « trop exigeant » tout en reconnaissant que « dans la pente et aux pieds d’un excellent skieur il envoie fort et ne bouge pas ».
Même type de commentaire pour le Movement Flame que le magazine brûle en raison d’un caractère trop trempé. Il pousse le comique à proposer au skieur de ce ski d’aller faire de la musculation. Le plus drôle est de classer un ski en négatif sous prétexte qu’il n’est « pas reposant ». Ah bon désolé, je n’avais pas compris que nous étions en train de parler de sport.
Et les exemples sont nombreux. Plus le ski est « atypique », « exclusif », « peu accessible au plus grand nombre » et plus le bilan du test fera apparaître des lignes dans la rubrique « négatif ».
Bref si nous faisons un parallèle entre le monde du ski et celui de la voiture, ce genre de test aboutirait au commentaire suivant : une Lotus Elise, c’est moins bien qu’un Renault Scénic…. Ce genre de test c’est apologie de la pensée unique du ski. Pour être bien, il faut être comme tout le monde, ne pas avoir de caractère et surtout ne pas être différent.
Si cette approche est celle de ce magazine, cela ne me pose aucun problème. Chaque a le droit de ses propres opinions. Mais voilà, je me pose certaines questions quant à l’état de santé intellectuel des rédacteurs de ces magazines, qui dans le même numéro s’élèvent contre les effets de la mondialisation du marché du ski et contre ses conséquences Ainsi en page 20, ils regrettent la mort annoncée de Zag ( sauf repreneur) dans un « marché saturé ». Ils aimeraient que « l’avenir du ski passe aussi dans une diversification de l’offre », tout en étant les premiers à faire l’apologie du « ski passe-partout mou» sur plus de 62 pages,
Moi je n’arrive pas comprendre….
inscrit le 29/10/03
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