Voilà, le réchauffement climatique aidant ; on sentait inéluctablement venir la fin de la zone nordique de Pessade. Annonce en a été faite.
Il y a d'abord, les données climatiques, implacables : une zone qui démarre à seulement 1170 m d'altitude, évidemment c'est peu même si elle s'élève ensuite dans le "creux à froid" du puy Baladou et jusqu'à 1450 m. Un meilleur tracé des chemins aurait peut-être permis de prolonger l'accumulation de la neige pour compléter une saison souvent trop courte.
Il y a ensuite les données politiques que je maîtrise moins, pourquoi donc Saulzet le Froid a-t-elle voulu changer d'intercommunalité, précipitant ainsi la fin complète d'une zone pour laquelle il a été abondamment investi ces dernières années (bâtiment tout neuf de la zone) ? Sur le plan strict du tourisme, cela semble être une perte sèche en tout cas.
Enfin condamner le ski de fond à Pessade, c'est un dommage immense, la perte d'un service public ; à coup sûr déficitaire à l'heure actuelle, mais est-ce un critère? C'est toute l'agglomération clermontoise qui y perd. A ce titre, il faudrait une mobilisation d'une structure supra-communale comme le Grand Clermont pour étudier toutes les hypothèses de continuation. C'est la seule piste qui me vient à l'idée pour sauvegarder l'intérêt général.
Il y a d'abord, les données climatiques, implacables : une zone qui démarre à seulement 1170 m d'altitude, évidemment c'est peu même si elle s'élève ensuite dans le "creux à froid" du puy Baladou et jusqu'à 1450 m. Un meilleur tracé des chemins aurait peut-être permis de prolonger l'accumulation de la neige pour compléter une saison souvent trop courte.
Il y a ensuite les données politiques que je maîtrise moins, pourquoi donc Saulzet le Froid a-t-elle voulu changer d'intercommunalité, précipitant ainsi la fin complète d'une zone pour laquelle il a été abondamment investi ces dernières années (bâtiment tout neuf de la zone) ? Sur le plan strict du tourisme, cela semble être une perte sèche en tout cas.
Enfin condamner le ski de fond à Pessade, c'est un dommage immense, la perte d'un service public ; à coup sûr déficitaire à l'heure actuelle, mais est-ce un critère? C'est toute l'agglomération clermontoise qui y perd. A ce titre, il faudrait une mobilisation d'une structure supra-communale comme le Grand Clermont pour étudier toutes les hypothèses de continuation. C'est la seule piste qui me vient à l'idée pour sauvegarder l'intérêt général.
inscrit le 22/6/05
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