une...ange
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inscrit le 18/04/04
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Bon,c'est un peu philosophique,mais c'est totalement sérieux.

Je prend le risque de poster ça,me^me si je me fais fermer le sujet ou bien que personne ne me répond,tant pis...

Donc,voila,y'a une question que je me pose depuis quelques jours: Peut-on dire que l'immoralité à des principes?

(Merci de ne pas répondre n'importe quoi,dans la mesure du possible)

pierrot32
pierrot32

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tu te pose de ces questions quand meme
tu prend des medicament ?

a premiere vu on pourrai dire que oui, mais en faite selon la taille du fossé et l'orientation de la cage de foot selon les pales de l'hélico on pourrai dire que non aussi

enfin c'est toi qui voit, avec mes 1.3 de moyenne en philo je sais pas si ca va t'aider

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une...ange
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heureusement que j'avais demandé des réponses plausibles et censées(enfin,c'est un début...)
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une...ange
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loupé,movais topic,reposte ailleurs!
rastafaride69
rastafaride69

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moi jdirais oui mais pour texpliquer pk ici.. ca va etre chaud.. bon tu dis d'un principe qu'il est immorale...donc un principe peut etre imorale..ouaisbon.. je suis le maillon faible..au revoir..je reviendrait..
ak
ak
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je dirais qu'un des principe de l'immoralité c'est d'être immoral... car de l'ommoralité qui aurait de la morale... ne serait plus de l'immoralité...
skatayann
skatayann

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o bon dieu, au début j'avais lu l'immortalité, haha ...
bon etant donné que j'ai arrété de fumer depuis un mois maintenant, je suis dans l'incapacité de pouvoir apporter des éclaircissements sur ta question ,il eut un temps ou jaurais disserté pdt moults temps...
bea
bea

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car de l'ommoralité qui aurait de la morale... ne serait plus de l'immoralité...

est-ce qu'il n'y aurait pas confusion avec l'[g]a[/g]moralité ?

east bear
east bear
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Matos : 5 avis
Je ne sais pas si ce que je vais te dire va beaucoup t'aider, mais as-tu vu Family Business avec Sean Connery, Dustin Hoffman et Matthew Broderick? Sean Connery y joue un petit truand qui à un moment fait une très bonne tirade sur la distinction à faire entre immoralité et illégalité en s'appuyant sur l'exemple de la copine de Matthew Broderick. Il y incarne le type même du truand apparemment sans principe mais tout de même plus vertueux à certains égards que bon nombre de citoyens agissant sans moralité mais dans le cadre de la loi.
Tout ça pour dire que réduire la moralité à la légalité (chose courante) est bien réducteur.
Et ensuite il faudrait distinguer l'immoralité de celui qui la pratique. Un homme aux agissements immoraux n'est pas forcément dénué de principes (cf code d'honneur de tout un tas d'organisations criminelles et mafieuses).
Ce ne sont que deux petites voies de réflexion que je donne là et sur lesquelles je ne m'étendrai pas, je n'en ai ni le temps ni l'envie ni forcément la compétence. Mais j'espère que ça pourra t'aider.
Bon je vais me coucher, j'ai les cheveux qui fument...
bea
bea

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bon je recommence :

est-ce qu'il n'y aurait pas confusion avec l'amoralité ?

Oulabop
Oulabop

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L'immoralité ne serait-elle pas seulement le simple pendant de la moralité. Mais vu que cette dernière évolue au fur et à mesure des générations et des sociétés ou mode de pensée.
Les principes ne sont-ils pas seulemenent dans le cas présent considérée comme des barrières n'existant que pour délimiter le moral de l'immoral.
Donc de ce point de vue, on peut dire que l'immoralité possède des principes et en cela, je suis tout à fait d'accord avec la reflexion d'east bear.
De même, si on érige l'immoralité en mode de vie, il faut bien s'imposer des règles donc des principes afin de respecter son désir.
Mais l'immoralité ne peut-elle pas être considérée comme une étape que chaque individu doit "visiter" afin d'avoir le sentiment de transgression des règles et de révolte contre la morale. Alors l'immoralité pourrait dans certains cas (et dans une limite propre à chacun ?) être considérée comme une étape obligatoire dans la vie de tous.

désolé pour mon brouillon, mais mes idées sont un peu confuses.
Try again later !!

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le pingouin masqué
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laz problématique a été prise a l'envers, depuis le début, on répond a la question "les principes peuvent ils être immoraux". Mais c'est pas ca la question...
déja, (ouhlala, la terminale, ca remonte ca...) il faut définir l'immoralité, parle t'on de l'immoralité dans l'absolu (avec un grand I)ou parle t'on d'actes immoraux?... dans le premier cas, il est clair que oui puisque, par essence, l'immoralité a pour limites...la moralité. Dans le second cas, je pense que chaque fait mérite une réponse différente.
Les pirates, par exemple, qui étaient à leur époque considéré comme l'immoralité même, avaient cependant un code d'honneur très strict.
Il existe de très nombreux cas similaires, car tout ce qui est hors de la moral (et donc immoral..)n'est pas pour autant dénué de règles...
Regardons par exemple le principe de désobéissance civile, la morale nous impose de se soumettre à la loi, hors, celui ci, veut que, lorsque la loi est abusive ou remet en cause les libertés fondamentales, cette dernière soit transgressée.

en fait, en y réflechissant, je pense que l'immoralité a des principes... tout être, quel qu'il soit (sauf si il est psychologiquement malade auxquels cas on ne peut plus parler d'immoralité puisqu'il n'a aucune conscience de la morale) a des principes, plus ou moins en accord avec la morale mais ils sont de même présents et régulent ses actes...

alecta
alecta

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tout est rélatif
Calim
Calim

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l'immoralite pourrait avoir des principes si quelqu'un se definissait l'immoralite comme ligne de conduite.
Il se dirait "Je dois etre immoral".
Mais bon ca existe pas ca non ?
Avrelbdsescg
Avrelbdsescg

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L'immoralité, c'est tout ce qui n'est pas moral.Maintenant, c'est quoi la moral ? D'après le dico, la morale c'est l'ensemble des normes et rêgles de conduites propres à une société donnée.
En clair, on peut dire que l'immoralité, c'est tout ce qui n'a pas de rêgles ou de normes, dans une société donnée. Je pense donc que ce qui est immoral dans une société ne l'est pas forcément dans une autre.
On peut même pousser un peu plus loin en disant que ce qui est immoral pour un groupe ne l'est pas pour un autre. Par exemple, pour la majorité d'entre nous, le viol est immoral. Par contre, pour certains gugusses dans des cités diverses et variées, c'est tout à fait normal de choper une nana qui n'a rien demandé à personne et de la violer dans une cave. Mon exemple est extrême, c'est volontaire.
Pour répondre à ta question, oui, je pense que l'immoralité obéit à certaines rêgles, qu'elle a des principes.
cyp
cyp

inscrit le 01/12/03
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bah le premier principe de l'immoralité c'est d'avoir une attitude qui n'est pas dans la morale, donc oui l'immoralité a des principes. (mouai c'est un peu facile ca...)
cyp
cyp

inscrit le 01/12/03
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ou plutot le principe est de dire je me préoccupe pas de savoir si je suis dans la moralité ou dans l'immoralité définie par "le groupe" dans lequel j'évolue, en fin de compte, tu te fais ta propre moralité.

alors du coup personne n'a une attitude immorale mais seulement vis à vis d'un référentiel exterieur qui n'est pas égal au tien (à moins de se forcer à réaliser des actes immoraux exprès mais bon)

du coup l'immoralité n'existe pas vraiment dans l'absolu

jean claude duss
jean claude duss

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6 en philo au BAC, je vais m'abstenir de repondre !
Greg'o skich
Greg'o skich

inscrit le 11/09/03
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A mon tour!!!

L'immoralité s'oppose evidement à la moralité. Le premier débat doit poser la question du fondement et de la définition de la-dite morale. En reprenant le principe de contrat social (Rousseau), la moralité est un ensemble de préceptes et de contraintes auxquels les individus doivent adhérer afin de vivre en communauté. L'adhésion à ces principes les transforme en fondements et non plus en contraintes. En bref, c'est le fait d'adherer à ces régles qui fait que l'homme est un animal social et se reconnait comme tel. En ce sens la moralité a des principes...je sais, c'est bien mais c'est le contraire de ce que l'on cherche à démontrer!
Seulement si la moralité est universelle, les principes qui lui donnent un cadre ne le sont pas. Pour prendre un exemple simple, la polygamie est immorale en occident bien qu'elle soit en accord avec la morale de certains groupes ethniques africains. Cette domination du mâle sur les femmes répond même à des principes très clairs. Ainsi, si ce sont les principes qui définissent "une" moralité, on ne peut pas parler d'une moralité universelle mais "des" moralités.
Ce qui revient à dire, par raccourci, que l'immoralité relative existe tout en répondant à des principes: ce que je juge moi contraire à ma moralité, définie en tant que telle par mes principes sociaux et culturels, peut tout à fait répondre à d'autres principes que les miens.
Une immoralité répond donc à des principes...

Voilà...mais ça se discute comme dirait Jean- Luc

Pierro
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Treve des questions philosophiques de vie quotidienne qui te font apprécier la vie, je t'aime...

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une...ange
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La question que je me posait ne dépendait pas exactement d'un référent précis.
Je pense qu'on à conscience que l'on est dans l'immoralité dans la plupart des cas.

Le mode de fonctionnement de l'immoralité est de renier toute forme morale,pouvant ainsi aller jusqu'à géner autrui ,voire lui faire du mal(cas de viol,meutre,même si ces exeples sont extèmements excessifs).
Mais si la morale fonctionne,comme j'en suis convaincue,en suivant des règles données(principes),alors il serait logique que ces principes ne soit pas appliqués lors de l'immoralité...
Mais un autre problème se pose: l'immoralité est définie par ce qui est moral,selon des normes de non respect des règles,peut-on alors dire que l'immoralité suis elle même des règles,des normes?
Peut-on dire qu'il y a des règles d'immoralité?Si oui,quelles sont-elles?

croziflette
croziflette

inscrit le 01/04/04
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Je ne pense pas que chaque personne qui fait un acte "immoral" ait conscience que cela soit immoral.
Quel que soit le référentiel, il faut qu'il y ait un référentiel, sansquoi, je ne vois pas comment la notion d'immoralité peut exister dans l'absolu. Pour certains, voler est immoral ; pour d'autres, cela n'est pas immoral car dans leur référentiel, ils n'ont pas forcément la notion de ce qu'est la propriété d'autrui.
L'immoralité est un concept social ; et le référentiel est la société dans laquelle évolue l'individu, avec son ensemble de règles, de normes (politique, droit, éducation, ...), de valeurs.
Ainsi, on pourrait prendre un raccourci en disant que le référentiel de l'immoralité est en quelque sorte une photo en négatif de celui de la moralité... Bien que je trouve cela un peu réducteur.
byron
byron

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34K messages
Tiens ? Il est pas venu pourrir le post skiat*r ?

croziflette
croziflette

inscrit le 01/04/04
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Chuttttt. Tu vas réveiller la bête....
une...ange
une...ange

inscrit le 18/04/04
1338 messages
l'est pas venu,parce que c'est mon post...;-)


Sinon,je suis d'accord,il faut un référent pour définir l'immoralité(ce référent étant d'ailleurs la moralité dans la plupart des cas...)Mais la question n'est pas de définir la moralité et l'immoralité car le problème étant extrèmement subjectif,il en resterai trop vague et trop contradictoire...

La question est: quelque soit la forme d'immoralité,qu'elle soit d'ordre juridique,sociale,politique,de la plus banale à la plus grave.Cette immoralité fonctionne t-elle selon des principes,à t-elle une "règle de conduite" ou alors au contraire, est elle antinormalisée au point de fonctionner sans aucun principe,aucune "loi",aucune règle?

Ce qui amène inexorablement à une autre question, si on considère que l'immoralité suis des principes(ou normes)alors elle entre dans la normalité et qui dit normalité dit moralité...assez antithétique non?

byron
byron

inscrit le 13/01/04
34K messages
Bon apparemment il est pas là... pfiouuuu... Donc je me lance :

je trouve immoral le concept de morale, car la morale est le plus souvent imposée de façon brutale et unilatérale...

Pour en revenir plus précisement au sujet d'une_ange, on peut très bien imaginer avoir pour l'immoralité pour principe (Sade)...

Baskit
Baskit

inscrit le 08/01/03
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L'essentiel, c'est de se faire plaisir...
ToXygEne65
ToXygEne65

inscrit le 26/09/03
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Alors moi je dirais que sachant que l'imoralité est le fait de faire quelque chose qui n'est pas moral, on pourais dire a premiére vu que l'imoralité a un principe fondateur qui est le rejet de la moralité. Mais cette réponse ne tien pas conpte de la sensibilité de l'individue. Quelque chose d'imoral pour l'un sera moral pour l'autre. Alors prenons l'exemple de quelqu'un qui voudré conduire sa vie dans l'imoralité: Cette personne ferais tous pr rejetter la moral présente. En faisant sa il se craiéra une morale propre, et sa morale propre sera persu pour de l'imoralité pas les autres. Dans ce cas la on pe dire que les principes de l'immoralité sont les mêmes que se de la moralité mais qu'il sont juste "décalé".

En même temps on pourais voir se probléme sous l'axe du principe qui conduit a avoir une morale de vie imorale. Pour moi ce qui conduit a avoir une morale de vie imorale, je ne le sais pas trop je ne pense pas en savoir assez sur l'homme et son besoin de se défendre face a l'ordre établie pr répondre a cette question. Mais je pense qu'il y en a un. Un principe inconscient qui pouse les geste d'une personne ver le refus des régle, de la moralité ambiante. cette personne voudra se disocier de la masse pr vivre sa vie de la maniére donc il le veut sans se soucier des autre.

Voila ce ke je répondré. Je me sui pas relu et je sui nul en hotographe en + dsl

télémartien
télémartien

inscrit le 17/09/03
17 messages
on dis qu'il n'y a pas de fumée sans feu ou pas d'ombre sans lumiere alors est ce que l'immoralité existerai sans la moralité.
moi je pense que chacun a sa propre morale pour chaque histoire et que cela peut paraitre immorale pour certain
leio
leio

inscrit le 12/08/03
2612 messages
Moralité = ensemble de loi et regles (qq soit le domaine : philo, théo...)
Principe = Base, loi.

immoralité = abscence de moralité donc de principe.
CQFD

Quand on sait pas on demande au petit Robert comme disait mon prof de CM2.

GalliumNoir
GalliumNoir

inscrit le 03/04/04
7 messages

Pour completer ce que dit Leio,
la morale se base sur les principes d'une société (a) donnée. Si une autre société (b) pocéde des principes différents, sa morale sera peut être immorale pour la société (a)
Queyrassette
Queyrassette

inscrit le 14/03/04
488 messages
J'aimerai bien répondre, mais... j'ai vraiment rien compris.
-----> c'est le genre de questions qu'on pose au BAC ???(en philo)
une...ange
une...ange

inscrit le 18/04/04
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Querassette>Ce n'est pas une question du bac,je suis encore loin de la Terminale ;-)

Mais l'essentiel n'est pas de comprendre exactement ce que je demande,mais juste de comprendre ce que tu veux comprendre et de donner ton avis si tu le veux.
voila!

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cordialement

Skipass