Ah bah c'est sur que c'est pas la même echelle quand même! 
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Le 7 avril 2009 - 18:43
Lièvremont livre son verdict
Quelques semaines après la fin du Tournoi des VI Nations, Marc Lièvremont a tiré un bilan de la compétition lors d'un entretien publié par le quotidien Sud-Ouest. Le sélectionneur du XV de France en a profité pour évoquer, ligne par ligne, les satisfactions et les déceptions parmi ses joueurs. "On avance, mais plus lentement que j'espérais", a-t-il concédé.
Marc Lièvremont n'est pas tendre avec certains joueurs. (Reuters) Il se disait lassé à l'issue d'un Tournoi des VI Nations 2009 qui ne l'aura pas épargné. Blessé par les critiques, par cette forme d'acharnement dont il a eu l'impression d'être la victime, Marc Lièvremont n'avait pas caché son besoin de faire une pause, de s'évader, et de se ressourcer auprès des siens de suite après la victoire des Bleus en Italie. Deux semaines après que le rideau soit tombé sur un Tournoi qualifié de mitigé, pour ne pas dire raté, le sélectionneur du XV de France est de retour, du moins à domicile puisqu'il a accepté de se confier lundi, chez lui et à tête reposée, à nos confrères de Sud-Ouest. L'occasion de tirer un bilan, tant personnel que collectif, de son deuxième Tournoi conclu, comme le premier, à la troisième place.
"J'ai le sentiment que ce Tournoi m'a fait grandir. Que j'ai beaucoup appris sur moi, sur les autres", juge-t-il aujourd'hui. Les critiques auraient-elles donc du bon ? Oui et non. Elles ont certes "gonflé" l'intéressé mais aussi titillé d'une certaine manière l'orgueil d'un homme que l'on qualifie de trop gentil, raccourci qu'il n'accepte pas plus aujourd'hui qu'hier. "Je suis plus que jamais déterminé à aller de l'avant", prévient-il ainsi. Reste à savoir comment... Si Jean-Claude Skrela lui aurait conseillé de tourner une page, de sévir et de provoquer un électrochoc, Lièvremont balaie cette hypothèse: "Il n'y aura pas un avant et après Twickenham 2009. Il va y avoir continuité, sur les joueurs et sur le jeu. Si je devais faire demain mes trente pour la tournée, je sais, à trois ou quatre joueurs près, qui prendre."
Skrela et Elissalde, trop vieux ?
Toujours aussi sûr de ses convictions, même s'il regrette certains choix comme d'avoir replacé Sébastien Chabal en troisième ligne contre l'Angleterre, le sélectionneur n'aurait-il donc pas changé contrairement à ce qu'il avance ? Plus qu'on ne le croît... Car, nouveauté, Marc Lièvremont, lui le taiseux, a accepté de juger ses joueurs, critiques publiques qu'il n'avait que très rarement osées par le passé à la différence de son prédécesseur Bernard Laporte. Pour la première fois peut-être, voilà le sélectionneur qui distribue les bons comme les mauvais points.
Au rayon des satisfactions, pas de surprise à retrouver le pilier gauche Fabien Barcella, le talonneur Dimitri Szarzewski, le trio de deuxième ligne Nallet - Chabal - Millo-Chluski, l'indispensable Thierry Dusautoir, Maxime Médard et Damien Traille au sein des lignes arrières mais aussi le jeune Thomas Domingo, Fulgence Ouedraogo et la charnière Parra - Trinh-Duc dans les petits papiers de Lièvremont. D'autres conservent la confiance de ce dernier malgré des performances inégales comme Benjamin Kayser, Imanol Harinordoquy, Louis Picamoles, Lionel Beauxis ou Sébastien Tillous-Borde. Certains enfin peuvent se faire du souci: Lionel Faure, Jérôme Thion et Florian Fritz, trois hommes qui ont "déçu", ou encore Jean-Baptiste Elissalde et David Skrela, deux des grands absents du Tournoi auxquels le sélectionneur croit moins en raison de leur âge.
De ce verdict, une équipe commence à prendre forme, ossature à laquelle le staff tricolore adjoindra certainement quelques joueurs comme les Perpignanais Damien Chouly et Guilhem Guirado ou les Toulousains Vincent Clerc et William Servat en vue d'une tournée estivale dont Marc Lièvremont attend beaucoup: "J'ai bien l'intention d'accrocher la Nouvelle-Zélande. J'aurais préféré commencer par l'Australie car j'ai peur que nos deux matches chez les Blacks nous fragilisent. J'ai plus l'impression de pouvoir rivaliser avec les Wallabies mais si j'ai tout mon effectif, ça devrait être une bonne tournée, avec bien sûr des questions sur l'état de fraîcheur des joueurs." Rendez-vous pour un autre bilan fin juin ?
Quelques semaines après la fin du Tournoi des VI Nations, Marc Lièvremont a tiré un bilan de la compétition lors d'un entretien publié par le quotidien Sud-Ouest. Le sélectionneur du XV de France en a profité pour évoquer, ligne par ligne, les satisfactions et les déceptions parmi ses joueurs. "On avance, mais plus lentement que j'espérais", a-t-il concédé.
Marc Lièvremont n'est pas tendre avec certains joueurs. (Reuters) Il se disait lassé à l'issue d'un Tournoi des VI Nations 2009 qui ne l'aura pas épargné. Blessé par les critiques, par cette forme d'acharnement dont il a eu l'impression d'être la victime, Marc Lièvremont n'avait pas caché son besoin de faire une pause, de s'évader, et de se ressourcer auprès des siens de suite après la victoire des Bleus en Italie. Deux semaines après que le rideau soit tombé sur un Tournoi qualifié de mitigé, pour ne pas dire raté, le sélectionneur du XV de France est de retour, du moins à domicile puisqu'il a accepté de se confier lundi, chez lui et à tête reposée, à nos confrères de Sud-Ouest. L'occasion de tirer un bilan, tant personnel que collectif, de son deuxième Tournoi conclu, comme le premier, à la troisième place.
"J'ai le sentiment que ce Tournoi m'a fait grandir. Que j'ai beaucoup appris sur moi, sur les autres", juge-t-il aujourd'hui. Les critiques auraient-elles donc du bon ? Oui et non. Elles ont certes "gonflé" l'intéressé mais aussi titillé d'une certaine manière l'orgueil d'un homme que l'on qualifie de trop gentil, raccourci qu'il n'accepte pas plus aujourd'hui qu'hier. "Je suis plus que jamais déterminé à aller de l'avant", prévient-il ainsi. Reste à savoir comment... Si Jean-Claude Skrela lui aurait conseillé de tourner une page, de sévir et de provoquer un électrochoc, Lièvremont balaie cette hypothèse: "Il n'y aura pas un avant et après Twickenham 2009. Il va y avoir continuité, sur les joueurs et sur le jeu. Si je devais faire demain mes trente pour la tournée, je sais, à trois ou quatre joueurs près, qui prendre."
Skrela et Elissalde, trop vieux ?
Toujours aussi sûr de ses convictions, même s'il regrette certains choix comme d'avoir replacé Sébastien Chabal en troisième ligne contre l'Angleterre, le sélectionneur n'aurait-il donc pas changé contrairement à ce qu'il avance ? Plus qu'on ne le croît... Car, nouveauté, Marc Lièvremont, lui le taiseux, a accepté de juger ses joueurs, critiques publiques qu'il n'avait que très rarement osées par le passé à la différence de son prédécesseur Bernard Laporte. Pour la première fois peut-être, voilà le sélectionneur qui distribue les bons comme les mauvais points.
Au rayon des satisfactions, pas de surprise à retrouver le pilier gauche Fabien Barcella, le talonneur Dimitri Szarzewski, le trio de deuxième ligne Nallet - Chabal - Millo-Chluski, l'indispensable Thierry Dusautoir, Maxime Médard et Damien Traille au sein des lignes arrières mais aussi le jeune Thomas Domingo, Fulgence Ouedraogo et la charnière Parra - Trinh-Duc dans les petits papiers de Lièvremont. D'autres conservent la confiance de ce dernier malgré des performances inégales comme Benjamin Kayser, Imanol Harinordoquy, Louis Picamoles, Lionel Beauxis ou Sébastien Tillous-Borde. Certains enfin peuvent se faire du souci: Lionel Faure, Jérôme Thion et Florian Fritz, trois hommes qui ont "déçu", ou encore Jean-Baptiste Elissalde et David Skrela, deux des grands absents du Tournoi auxquels le sélectionneur croit moins en raison de leur âge.
De ce verdict, une équipe commence à prendre forme, ossature à laquelle le staff tricolore adjoindra certainement quelques joueurs comme les Perpignanais Damien Chouly et Guilhem Guirado ou les Toulousains Vincent Clerc et William Servat en vue d'une tournée estivale dont Marc Lièvremont attend beaucoup: "J'ai bien l'intention d'accrocher la Nouvelle-Zélande. J'aurais préféré commencer par l'Australie car j'ai peur que nos deux matches chez les Blacks nous fragilisent. J'ai plus l'impression de pouvoir rivaliser avec les Wallabies mais si j'ai tout mon effectif, ça devrait être une bonne tournée, avec bien sûr des questions sur l'état de fraîcheur des joueurs." Rendez-vous pour un autre bilan fin juin ?
Dans sud-ouest je crois, Novès se demandait pourquoi des joueurs mis sur la sellette en EdF étaient si bon avec leur club (pour ceux du ST), il parlait de système de jeu en place depuis 15 ans à Toulouse et du troisième système en 1 an et demi pour l'équipe de France...
après pour Fritz, il avait fait un bon match contre l'Irlande (sauf sa "connerie"
...
Lièvremont n'a quand même pas découvert que c'était un caractère pas forcément facile !!!
après pour Fritz, il avait fait un bon match contre l'Irlande (sauf sa "connerie"
...Lièvremont n'a quand même pas découvert que c'était un caractère pas forcément facile !!!
la réponse de Novès (paru dans l'Equipe d'aujourd'hui)
ÉQUIPE DE FRANCE Lièvremont choque les Toulousains
HIER, sous une pluie battante, au terme de l’entraînement matinal auquel il n’a pu participer (douleur aux côtes), David Skrela a été surpris en apprenant les propos tenus à son encontre par Marc Lièvremont dans les colonnes de Sud-Ouest : « J’y crois moins sur la durée. Il a trente ans, il ne progressera plus. C’est comme Élissalde. Ce n’est pas un hasard s’il accumule les petits pépins. Mais je n’exclus personne », confiait l’entraîneur des Bleus à propos du demi d’ouverture toulousain, lequel a peu apprécié le mode de communication : « Si c’est ce qu’il pense… J’aurais quand même préféré l’apprendre autrement… À moi de le faire mentir, de lui prouver qu’à trente ans on peut encore progresser et évoluer au haut niveau… » Autre demi toulousain trentenaire et visé par le sélectionneur, Jean-Baptiste Élissalde s’est abstenu de tout commentaire : « Je préfère ne rien dire… » Mais sa bouille montrait qu’il n’en pensait pas moins. Skrela et Élissalde n’ayant pas été sélectionnés pendant le Tournoi, ne comprennent pas pourquoi dans une interview en forme de bilan, ils ont été ainsi « allumés » publiquement sans avoir eu au préalable de discussion privée avec Lièvremont. Concentré sur la préparation du quart de finale de Coupe d’Europe, Guy Novès n’a pourtant pas esquivé le sujet, y allant de sa traditionnelle pique bien sentie : « Ce n’est pas le moment de polémiquer mais si les joueurs toulousains ne sont pas bons en équipe de France, ils le sont chez nous. Regardez Jauzion qui a été tant critiqué et qui brille avec nous… J’ai une explication : cela fait quinze ans que nous nous tenons à Toulouse à un système de jeu. En équipe de France, ils en ont changé deux ou trois fois en un an et demi… » – C. J.
et la réaction de Lièvremont vu sur le net :
Invité de l’émission Moscato Show sur RMC, Marc Lièvremont a tenu à nuancer les propos relatés dans l’édition de mardi de Sud-Ouest. S’il ne remet pas en cause les propos tenus, le sélectionneur a reconnu avoir été « heurté » par le mode de communication. L’ancien Dacquois est prêt a envoyé un sms aux joueurs qu’il aurait pu écorcher.
Marc Lièvremont s’est exprimé sur le contenu de l’interview qu’il a accordée au quotidien Sud-Ouest, mardi. Le sélectionneur de l’équipe de France regrette le mode de communication. « On s’est rencontré (avec le journaliste de Sud-Ouest) lundi pour un débriefing, a-t-il indiqué sur RMC. On a abordé pas mal de sujets. Je me suis confié. Honnêtement, j’ai eu pas mal de message. Je suis allé acheter mon Sud-Ouest. Les mots sans nuance et sans concession me heurtent aussi. Ça fait partie du jeu et ça fait vendre. »
S’il ne remet pas en cause le fond des propos, le sélectionneur regrette la forme. « Il y a des jugements lapidaires au niveau de Jérôme Thion. Certains propos concernant la charnière toulousaine. A cinq jours d’une échéance importante, cela est plutôt malvenu. » Lièvremont a également apporté des précisions sur David Skrela. « Sur les six derniers mois, David fait partie du groupe. Il avait joué les 3 tests de novembre, c’est une forme de mise en place d’une hiérarchie. Pour l’instant, je vois David derrière Beauxis et Trinh-Duc. C’est un garçon que j’aime beaucoup qui travaille, qui est intelligent. David n’est pas non plus une grand-mère. (&hellip J’espère qu’il va avoir envie de me prouver le contraire. Pareil pour Jauzion qui est un cadre que j’implique beaucoup. »
« Il y a ma conscience et mon mode de fonctionnement et de communication. Je vais envoyer un sms de soutien aux joueurs concernés. (...) Il est hors de question que je me coupe des anciens. »
ÉQUIPE DE FRANCE Lièvremont choque les Toulousains
HIER, sous une pluie battante, au terme de l’entraînement matinal auquel il n’a pu participer (douleur aux côtes), David Skrela a été surpris en apprenant les propos tenus à son encontre par Marc Lièvremont dans les colonnes de Sud-Ouest : « J’y crois moins sur la durée. Il a trente ans, il ne progressera plus. C’est comme Élissalde. Ce n’est pas un hasard s’il accumule les petits pépins. Mais je n’exclus personne », confiait l’entraîneur des Bleus à propos du demi d’ouverture toulousain, lequel a peu apprécié le mode de communication : « Si c’est ce qu’il pense… J’aurais quand même préféré l’apprendre autrement… À moi de le faire mentir, de lui prouver qu’à trente ans on peut encore progresser et évoluer au haut niveau… » Autre demi toulousain trentenaire et visé par le sélectionneur, Jean-Baptiste Élissalde s’est abstenu de tout commentaire : « Je préfère ne rien dire… » Mais sa bouille montrait qu’il n’en pensait pas moins. Skrela et Élissalde n’ayant pas été sélectionnés pendant le Tournoi, ne comprennent pas pourquoi dans une interview en forme de bilan, ils ont été ainsi « allumés » publiquement sans avoir eu au préalable de discussion privée avec Lièvremont. Concentré sur la préparation du quart de finale de Coupe d’Europe, Guy Novès n’a pourtant pas esquivé le sujet, y allant de sa traditionnelle pique bien sentie : « Ce n’est pas le moment de polémiquer mais si les joueurs toulousains ne sont pas bons en équipe de France, ils le sont chez nous. Regardez Jauzion qui a été tant critiqué et qui brille avec nous… J’ai une explication : cela fait quinze ans que nous nous tenons à Toulouse à un système de jeu. En équipe de France, ils en ont changé deux ou trois fois en un an et demi… » – C. J.
et la réaction de Lièvremont vu sur le net :
Invité de l’émission Moscato Show sur RMC, Marc Lièvremont a tenu à nuancer les propos relatés dans l’édition de mardi de Sud-Ouest. S’il ne remet pas en cause les propos tenus, le sélectionneur a reconnu avoir été « heurté » par le mode de communication. L’ancien Dacquois est prêt a envoyé un sms aux joueurs qu’il aurait pu écorcher.
Marc Lièvremont s’est exprimé sur le contenu de l’interview qu’il a accordée au quotidien Sud-Ouest, mardi. Le sélectionneur de l’équipe de France regrette le mode de communication. « On s’est rencontré (avec le journaliste de Sud-Ouest) lundi pour un débriefing, a-t-il indiqué sur RMC. On a abordé pas mal de sujets. Je me suis confié. Honnêtement, j’ai eu pas mal de message. Je suis allé acheter mon Sud-Ouest. Les mots sans nuance et sans concession me heurtent aussi. Ça fait partie du jeu et ça fait vendre. »
S’il ne remet pas en cause le fond des propos, le sélectionneur regrette la forme. « Il y a des jugements lapidaires au niveau de Jérôme Thion. Certains propos concernant la charnière toulousaine. A cinq jours d’une échéance importante, cela est plutôt malvenu. » Lièvremont a également apporté des précisions sur David Skrela. « Sur les six derniers mois, David fait partie du groupe. Il avait joué les 3 tests de novembre, c’est une forme de mise en place d’une hiérarchie. Pour l’instant, je vois David derrière Beauxis et Trinh-Duc. C’est un garçon que j’aime beaucoup qui travaille, qui est intelligent. David n’est pas non plus une grand-mère. (&hellip
J’espère qu’il va avoir envie de me prouver le contraire. Pareil pour Jauzion qui est un cadre que j’implique beaucoup. » « Il y a ma conscience et mon mode de fonctionnement et de communication. Je vais envoyer un sms de soutien aux joueurs concernés. (...) Il est hors de question que je me coupe des anciens. »
A part Fritz qui est un cas à gérer,les Thion et compagnie ne se sont pas foulés la rate quand on leur a donné leur chance.Par contre ça m'a fait mal pour certain joueur comme Jean-Ba mais il faut le reconnaitre le bon Marco est comme le funanbule qui fait une faute de pied et qui se rattrappe en écartant les jambes.eh oui ça fait pas du bien.
Par ailleur il y a un 9 qui arrive au galop pour le voyage en hèmisphère Sud et en plus il bute bien en ce momment et marque un essai asassin contre nous samedi soir.
Par ailleur il y a un 9 qui arrive au galop pour le voyage en hèmisphère Sud et en plus il bute bien en ce momment et marque un essai asassin contre nous samedi soir.
Fritz fait un bon début de tournoi, du punch, mais sur la fin, il est quand même décevant... Surtout je trouve que Bastareaud a quand même imprimé sa marque, il a avancé, au placage et ballon en main... Mermoz, parait qu'il a la patate, mais j'ai pas trop vu...
byron ( 8 avr 2009) disait:
Fritz fait un bon début de tournoi, du punch, mais sur la fin, il est quand même décevant... Surtout je trouve que Bastareaud a quand même imprimé sa marque, il a avancé, au placage et ballon en main... Mermoz, parait qu'il a la patate, mais j'ai pas trop vu...
Bastareaud OK, masi va falloir que tout le monde s'organise e nfonction de sa montée défensive, parce si jamais son vis à vis a un minimum de temps pour faire une passe, y'a décalage !!!
et tu perds 40m tout de suite !
Le but, c'est de pas le louper et s'il fait la passe avant, Basta le découpe quand même histoire de pas avoir fait le voyage pour rien... Et c'est un avertissement pour la fois suivante... Après, t'as des gars qui font des en avants parce qu'ils sont un poil tendu, et t'as gagné le défi physique...
Et c'est un avertissement pour la fois suivante... Après, t'as des gars qui font des en avants parce qu'ils sont un poil tendu, et t'as gagné le défi physique... Message modifié 1 fois. Dernière modification par byron, 09/04/2009 - 12:41
bobbyjones ( 9 avr 2009) disait:
Bastareaud OK, masi va falloir que tout le monde s'organise e nfonction de sa montée défensive, parce si jamais son vis à vis a un minimum de temps pour faire une passe, y'a décalage !!!
et tu perds 40m tout de suite !
c'est pas spécifique du tout au joueur, c'est le principe et le risque de ce type de défense a base de montée rapide ....
c'etait pas réellement de la défense inversé (comme pouvait la pratiquer les bocks y'a quelques années ....)
en défense inversé c'est principalement l'ailier qui monte en pointe et qui vient couper entre le second centre et l'ailier, ça nécessite une course rentrante et une défense qui n'est pas a plat
la (en théorie) tout le monde monte ensemble, a plat, et dans sa zone sur son homme et pas de manière a couper l'extérieur ...
en défense inversé c'est principalement l'ailier qui monte en pointe et qui vient couper entre le second centre et l'ailier, ça nécessite une course rentrante et une défense qui n'est pas a plat
la (en théorie) tout le monde monte ensemble, a plat, et dans sa zone sur son homme et pas de manière a couper l'extérieur ...
et contre les anglais y'a eu des hesitations entre défense comme contre les gallois (blitz ou rush defense) et montée classique en glissant vers l'extérieur .... c'est plus ces hesitations qui ont transformé le rideau défensif en passoire.
C'est parti pour conquérir l'Europe avec un Bison-Michalak en demi les chances de s'affirmer pour la fin de la saison en titulaire pour l'un à l'ouverture,l'autre est indéboulonable à la mélée.
Allez Toulouse pour un grand match dans cette splendide arène rugbystique.
Allez Toulouse pour un grand match dans cette splendide arène rugbystique.
phil6611
Le 14 avril 2009 - 19:11
byron (14 avr 2009) disait:
Ah oui l'arbitre...
ben je suis pas le seul à le dire,et les commentaires de certains arbitres français sont clair: le premier essai doit être validé et les hors jeu répétés de la troisième ligne galloise auraient t dû être sanctionnés!
je ne parlerai pas des nombreux actes d'anti jeu (hop un essai évité devant les poteaux..........)
enfin si on a bien regardé le même match!
J'ai pas pu voir le match... mais j'avais vu celui de l'année dernière, là c'était les règles du jeu qui allaient pas...
Bon, plus sérieusement, c'est dommage pour Toukouse, mais au-delà, je pense qu'il serait temps que la fédé se pose quelques questions sur son championnat et se demande pourquoi les français sont si peu représentés !!!
Bon, plus sérieusement, c'est dommage pour Toukouse, mais au-delà, je pense qu'il serait temps que la fédé se pose quelques questions sur son championnat et se demande pourquoi les français sont si peu représentés !!!
phil6611
Le 14 avril 2009 - 21:02
byron (14 avr 2009) disait:
mais au-delà, je pense qu'il serait temps que la fédé se pose quelques questions
on est d'accord........................
j'irai même plus loin en disant qu'il serait temps de virer certaines "reliques" de la fédé et d'injecter si ce n'est du sang "neuf" tout au moins des techniciens novateurs capables d'apporter de vrais idées!
je suis preneur des noms des reliques et des "techniciens novateurs" si ça existe encore ....!!!!
depuis l'avénement du rugby pro, ça a évolué et avancé a toute vitesse, et maintenant on a atteint le sommet (ou presque) de l'évolution technique au niveau de l'equipe : il n'y a qu'a regarder l'hémisphère sud ou son super XII puis super XIV qui on fait emerger bon nombre de lancement de jeu, de système défensif et de schéma d'organisation ramenés depuis chez nous. Ben actuellement ça n'a plus rien d'un laboratoire, c'est juste un jeu d'affrontement surpuissant et hyper stéréotypé.
ça c'est pour le coté du jeu et des techniciens novateurs et des idées....
par contre au niveau technique individuelle y'a d'énormes progrès a faire, y'a eu une telle focalisation sur la puissance, la prise du milieu et tout le bordel qu'on a des coffres de muscles avec une technique de balle de poussin.
pour le coté clubs et fédé, ils fonctionnent en province et les Gallois disputent la magners league une compétition à 10 sans risque de relégation ou tout le monde ets qualifié pour la Hcup et qui leur sert de centre de formation (Cardiff est 8ième ...) plus la coupe anglo galloise qui leur permet de faire jouer l'equipe type en bout de compétition (Cardiff est en finale)...
les Irlandais quant a eux disputent uniquement magners league et H cup ....
(ce qui accesoirement laisse des grosses plages libres pour des rassemblements de l'equipe nationale...)
l'idée elle est la depuis le début et tout le monde la connait mais va expliquer à Agen, le Racing, le RCT, Narbonne qu'ils joueront plus en "première division" vu qu'on va réduire le top 14 pour faire une vrai élite a 10 ....
et puis on pourra toujours dire que c'est typiquement français de raler aprés l'arbitre mais tant qu'on aura pas un arbitrage cohérent ça fonctionnera pas .... parce qu'au dela du cas de toulouse (particulièrement flagrant sur le jeu au sol) y'a eu pire entre Bath et Leicester ou à 15-15 à 10min de la fin l'arbitre ne siffle plus rien, y'a eu un Ecosse-Pays de Galles cet année abominable pour les ecossais, un pays de Galles - Irlande qui a atteint des sommets ..... c'est pas de la malhonneteté c'est clair c'est "juste" de l'incapacité a siffler les mêmes choses, dans le même tempo, dans les deux sens et tout ça au sein d'un même match !
depuis l'avénement du rugby pro, ça a évolué et avancé a toute vitesse, et maintenant on a atteint le sommet (ou presque) de l'évolution technique au niveau de l'equipe : il n'y a qu'a regarder l'hémisphère sud ou son super XII puis super XIV qui on fait emerger bon nombre de lancement de jeu, de système défensif et de schéma d'organisation ramenés depuis chez nous. Ben actuellement ça n'a plus rien d'un laboratoire, c'est juste un jeu d'affrontement surpuissant et hyper stéréotypé.
ça c'est pour le coté du jeu et des techniciens novateurs et des idées....
par contre au niveau technique individuelle y'a d'énormes progrès a faire, y'a eu une telle focalisation sur la puissance, la prise du milieu et tout le bordel qu'on a des coffres de muscles avec une technique de balle de poussin.
pour le coté clubs et fédé, ils fonctionnent en province et les Gallois disputent la magners league une compétition à 10 sans risque de relégation ou tout le monde ets qualifié pour la Hcup et qui leur sert de centre de formation (Cardiff est 8ième ...) plus la coupe anglo galloise qui leur permet de faire jouer l'equipe type en bout de compétition (Cardiff est en finale)...
les Irlandais quant a eux disputent uniquement magners league et H cup ....
(ce qui accesoirement laisse des grosses plages libres pour des rassemblements de l'equipe nationale...)
l'idée elle est la depuis le début et tout le monde la connait mais va expliquer à Agen, le Racing, le RCT, Narbonne qu'ils joueront plus en "première division" vu qu'on va réduire le top 14 pour faire une vrai élite a 10 ....
et puis on pourra toujours dire que c'est typiquement français de raler aprés l'arbitre mais tant qu'on aura pas un arbitrage cohérent ça fonctionnera pas .... parce qu'au dela du cas de toulouse (particulièrement flagrant sur le jeu au sol) y'a eu pire entre Bath et Leicester ou à 15-15 à 10min de la fin l'arbitre ne siffle plus rien, y'a eu un Ecosse-Pays de Galles cet année abominable pour les ecossais, un pays de Galles - Irlande qui a atteint des sommets ..... c'est pas de la malhonneteté c'est clair c'est "juste" de l'incapacité a siffler les mêmes choses, dans le même tempo, dans les deux sens et tout ça au sein d'un même match !
Message modifié 2 fois. Dernière modification par trlc, 15/04/2009 - 08:27
phil6611
Le 15 avril 2009 - 09:51
trlc (15 avr 2009) disait:
je suis preneur des noms des reliques et des "techniciens novateurs" si ça existe encore ....!!!!
Reliques: en tout premier le président actuel, invisible,silencieux,ne connaissant rien au terrain ni aux hommes et datant du Néolithique....................
mais tu peux rajouter les maso,,palmier,wolf, et compagnie, le système est grippé!
des techniciens,il n'en manque pas , sella par exemple (et je pense qu'au niveau technique individuelle,il en connait un peu), codorniou,saint andré...............voire villepreux (peut être pas "novateur" mais "technique "pour ne citer qu'eux!
arff j'ai raté ma phrase, clair que des reliques on en manque pas !!!! (comme dans toute les fédés), mais bon y'a aussi Sella que tu cites plus bas et qui a pris les -21 ou Skrela à la tête de la DTN... et Villepreux doit toujours plus ou moins faire du consulting et trainer avec son compère, le contraire serait étonnant avec toutes les idées qui lui tourne dans la cabine ...
y'a pas mal de monde qui a tourné avec le changement d'entraineur national et la (re)mise en avant de la DTN et c'est rajeuni...
l'innovation elle fera plus la différence, les "techniciens du rugby" se valent a peu près tous (a la différence des styles de jeu) ce qui ferait grimper le niveau c'est le temps pour travailler ... et pour ça faut etre 10 en élite et faire de la pro D2 quelque chose de plus attractif niveau jeu ...
y'a pas mal de monde qui a tourné avec le changement d'entraineur national et la (re)mise en avant de la DTN et c'est rajeuni...
l'innovation elle fera plus la différence, les "techniciens du rugby" se valent a peu près tous (a la différence des styles de jeu) ce qui ferait grimper le niveau c'est le temps pour travailler ... et pour ça faut etre 10 en élite et faire de la pro D2 quelque chose de plus attractif niveau jeu ...
east bear
Le 15 avril 2009 - 10:40
Juste pour revenir sur l'arbitrage de Cardiff Toulouse, il a été lamentable, mais ce n'est pas étonnant, White est une pourriture qui enc*** systématiquement les clubs français ou la sélection. Il est tout bonnement scandaleux qu'il soit encore autorisé à arbitrer.
Un arbitre qui se comporterait comme ça envers les anglais n'arbitrerait plus depuis longtemps au niveau international.
Ce qui n'exonère pas la fed de repenser le calendrier français et de repenser à ce qu'ils souhaitent pour le rugby tricolore, parce que si ça continue comme ça nos clubs et notre sélection se cantonneront à un rôle de faire valoir les prochaines années.
Un arbitre qui se comporterait comme ça envers les anglais n'arbitrerait plus depuis longtemps au niveau international.
Ce qui n'exonère pas la fed de repenser le calendrier français et de repenser à ce qu'ils souhaitent pour le rugby tricolore, parce que si ça continue comme ça nos clubs et notre sélection se cantonneront à un rôle de faire valoir les prochaines années.
phil6611
Le 15 avril 2009 - 10:52
trlc (15 avr 2009) disait:
et pour ça faut etre 10 en élite et faire de la pro D2 quelque chose de plus attractif niveau jeu ...
10 en élite, ça risque d'être catastrophique financièrement
et que vont devenir les clubs "formateurs"?
sans formation des jeunes, on va dans le mur..................
par contre je me régale de regarder la pro D2 actuelle, certains match sont plus interressants que certaines rencontres de top14 (surtout pendant le tournoi)
phil6611
Le 15 avril 2009 - 10:54
east bear (15 avr 2009) disait:
Juste pour revenir sur l'arbitrage de Cardiff Toulouse,
les autres 1/4 de finale n'ont pas été mieux arbitrés...................................
c'est vrai qu'il faudrait que tout le monde arbitre de la même manière et arrête d'interpréter les règles à sa façon...................
sans parler des arbitres de touche aveugles et sourds
east bear (15 avr 2009) disait:
Juste pour revenir sur l'arbitrage de Cardiff Toulouse, il a été lamentable, mais ce n'est pas étonnant, White est une pourriture qui enc*** systématiquement les clubs français ou la sélection. Il est tout bonnement scandaleux qu'il soit encore autorisé à arbitrer.
Un arbitre qui se comporterait comme ça envers les anglais n'arbitrerait plus depuis longtemps au niveau international...
White a arbitré 12 fois toulouse pour 10 victoires d'aprés les infos lues sur le net......
et quand Barnes arbitre de la même manière totalement incohérente le 1/4 de finale de coupe du monde au Millenium entre la France et les Blacks avec le résultat qu'on connait ou le dernier Galles -Irlande c'est le même problème
le problème de l'arbitrage est récurent quelles que soient les compétitions et les nations .... juste samedi ça piquait parce qu'on est français, voire toulousain...
phil6611 (15 avr 2009) disait:
les autres 1/4 de finale n'ont pas été mieux arbitrés...................................
c'est vrai qu'il faudrait que tout le monde arbitre de la même manière et arrête d'interpréter les règles à sa façon...................
sans parler des arbitres de touche aveugles et sourds
voire pire !!!
voila il faut juste de la cohérence et une interprétation globale etpourtant les règles sont claires !!
hé hé oui "arbitrage" ça regroupe tousles arbitres y compris les myopes a la video...
et pour finir ... oufff
la même chose que maintenant, actuellement les formateurs forment et les "gros" repérent et font évoluer et grandir .... actuellement le rugby ne vit pas avec 14 club, pas plus qu'il ne vivra avec 10, ça ne changera pas les problématiques de formations.
mais il faut rendre la pro D2 plus proche dans le jeu et le niveau du top14 (ou futur 10)
le coté financier ça s'étudie ... 10 clubs ça veut dire 5 gros chocs toutes l'année .... parce que aujourd'hui a 14 qui regarde Dax - Mont de Marsan par exemple (et j'ai rien contre eux ce qu'ils font est beau) ?? toutes les journées y'a au moins 2 matchs dont le résultat est connu à l'avance, sans compter les matchs "lachés" par les gros qui gèrent leurs échéances .... (CF le RCT Stade de ce week edn au vélodrome et les déclarations de Novès a propos des "matchs amicaux" restants jusqu'au demi finales !! )
forcément pendant le tournoi y'a plus un international en club et tout les "gros" gèrent encore une fois ... !!!
phil6611 (15 avr 2009) disait:
10 en élite, ça risque d'être catastrophique financièrement
et que vont devenir les clubs "formateurs"?
sans formation des jeunes, on va dans le mur..................
par contre je me régale de regarder la pro D2 actuelle, certains match sont plus interressants que certaines rencontres de top14 (surtout pendant le tournoi)
la même chose que maintenant, actuellement les formateurs forment et les "gros" repérent et font évoluer et grandir .... actuellement le rugby ne vit pas avec 14 club, pas plus qu'il ne vivra avec 10, ça ne changera pas les problématiques de formations.
mais il faut rendre la pro D2 plus proche dans le jeu et le niveau du top14 (ou futur 10)
le coté financier ça s'étudie ... 10 clubs ça veut dire 5 gros chocs toutes l'année .... parce que aujourd'hui a 14 qui regarde Dax - Mont de Marsan par exemple (et j'ai rien contre eux ce qu'ils font est beau) ?? toutes les journées y'a au moins 2 matchs dont le résultat est connu à l'avance, sans compter les matchs "lachés" par les gros qui gèrent leurs échéances .... (CF le RCT Stade de ce week edn au vélodrome et les déclarations de Novès a propos des "matchs amicaux" restants jusqu'au demi finales !! )
forcément pendant le tournoi y'a plus un international en club et tout les "gros" gèrent encore une fois ... !!!
phil6611
Le 15 avril 2009 - 11:54
tu n'as pas tout à fait tort mais à 10...................... (toujours les mêmes) les gens vont se lasser.......................
en ce qui concerne la formation, des partenariats existent avec les clubs "formateur" en réduisant l'élite à 10 tu éduis les partenariats, la formation s'en ressentira et je doute que le CTN soit capable de fournir suffisament d'internationaux........
héhéhé, toujours en forme guy :p
en ce qui concerne la formation, des partenariats existent avec les clubs "formateur" en réduisant l'élite à 10 tu éduis les partenariats, la formation s'en ressentira et je doute que le CTN soit capable de fournir suffisament d'internationaux........
trlc (15 avr 2009) disait:
et les déclarations de Novès a propos des "matchs amicaux" restants jusqu'au demi finales !! )
héhéhé, toujours en forme guy :p
phil6611 (15 avr 2009) disait:
tu n'as pas tout à fait tort mais à 10...................... (toujours les mêmes) les gens vont se lasser.......................
en ce qui concerne la formation, des partenariats existent avec les clubs "formateur" en réduisant l'élite à 10 tu éduis les partenariats, la formation s'en ressentira et je doute que le CTN soit capable de fournir suffisament d'internationaux........
sur les 10et si tu resseres et augmente le niveau de la ProD2 tu peux en faire monter/descendre 2 sans problème ...
de toute façon depuis 10 ans y'a que trois clubs qui ont des titres et 5 en demi finales... et avant c'etait pire avec la grande decennie toulousaine, avant le BO et le SF... (et c'etait mieux d'ailleurs, moi je m'en lassai pas..; hé hé hé
je sais pas ... les blacks y arrivent avec 4 provinces en superXIV et un championnat local (le NPC) tout pourri .... idem pour les deux autres nations du sud .... sans aller jusqu'au province (a mon sens impossible en france) y'a moyen de fonctionner pareil ...
phil6611
Le 15 avril 2009 - 12:02
Landreau à gre
Approché au mois de mars par Grenoble, l'entraîneur parisien Fabrice Landreau a donné son accord au club isérois pour devenir le prochain directeur sportif du club.
Marc Chérèque, le président de Grenoble a réussi son pari : attirer Fabrice Landreau dans ses filets pour qu'il devienne le futur directeur sportif du club. Un poste actuellement inexistant dans l'organigramme isérois. Après plusieurs entrevues lors de ces dernières semaines, l'actuel entraîneur des avants du Stade français, a finalement accepté cette mission.
Averti par Max Guazzini qu'il ne s'occuperait plus de l'équipe première parisienne la saison prochaine, l'ancien talonneur, qui a passé quatre années à Grenoble de 1992 à 1996, a donc décidé de quitter la capitale. Dès la saison prochaine, il prendra ses fonctions au FCG où son rôle sera de définir et de mettre en oeuvre la politique sportive du club, en liaison avec les différents acteurs sportifs de la structure professionnelle et de la filière de formation. Il exercera sa mission sur l'ensemble des effectifs sportifs du club, depuis les catégories jeunes (moins de 15 ans) jusqu'aux professionnels.
Apporter son expérience
Dans un communiqué, le club isérois a précisé les raisons d'un tel recrutement : "Il apportera son expérience du haut niveau pour permettre au club de se structurer dans le domaine sportif pour regagner durablement l'élite du rugby français, et contribuera à la définition et à la mise en oeuvre des actions pour donner à la filière de formation du FC Grenoble un niveau d'excellence, les labels et l'attractivité qui en découlent."
Fabrice Landreau occupait la fonction de co-entraîneur en charge des avants du Stade français depuis cinq saisons. Il a notamment remporté le Bouclier de Brennus en 2007. En tant que joueur, il a été sacré champion de France en 2000 et il a participé à la finale de la Coupe d'Europe en 2001. A peine rentré d'un voyage studieux en Australie où il est allé s'imprégner des méthodes d'entraînements de la franchise des Waratahs, Landreau a rejoint Paris pour préparer la venue de Montpellier à Jean-Bouin ce samedi. En revanche, il sera à Grenoble le mercredi 22 avril pour dévoiler les prémisses de son projet.
Approché au mois de mars par Grenoble, l'entraîneur parisien Fabrice Landreau a donné son accord au club isérois pour devenir le prochain directeur sportif du club.
Marc Chérèque, le président de Grenoble a réussi son pari : attirer Fabrice Landreau dans ses filets pour qu'il devienne le futur directeur sportif du club. Un poste actuellement inexistant dans l'organigramme isérois. Après plusieurs entrevues lors de ces dernières semaines, l'actuel entraîneur des avants du Stade français, a finalement accepté cette mission.
Averti par Max Guazzini qu'il ne s'occuperait plus de l'équipe première parisienne la saison prochaine, l'ancien talonneur, qui a passé quatre années à Grenoble de 1992 à 1996, a donc décidé de quitter la capitale. Dès la saison prochaine, il prendra ses fonctions au FCG où son rôle sera de définir et de mettre en oeuvre la politique sportive du club, en liaison avec les différents acteurs sportifs de la structure professionnelle et de la filière de formation. Il exercera sa mission sur l'ensemble des effectifs sportifs du club, depuis les catégories jeunes (moins de 15 ans) jusqu'aux professionnels.
Apporter son expérience
Dans un communiqué, le club isérois a précisé les raisons d'un tel recrutement : "Il apportera son expérience du haut niveau pour permettre au club de se structurer dans le domaine sportif pour regagner durablement l'élite du rugby français, et contribuera à la définition et à la mise en oeuvre des actions pour donner à la filière de formation du FC Grenoble un niveau d'excellence, les labels et l'attractivité qui en découlent."
Fabrice Landreau occupait la fonction de co-entraîneur en charge des avants du Stade français depuis cinq saisons. Il a notamment remporté le Bouclier de Brennus en 2007. En tant que joueur, il a été sacré champion de France en 2000 et il a participé à la finale de la Coupe d'Europe en 2001. A peine rentré d'un voyage studieux en Australie où il est allé s'imprégner des méthodes d'entraînements de la franchise des Waratahs, Landreau a rejoint Paris pour préparer la venue de Montpellier à Jean-Bouin ce samedi. En revanche, il sera à Grenoble le mercredi 22 avril pour dévoiler les prémisses de son projet.
phil6611
Le 17 avril 2009 - 09:53
il parait que c'est la crise, pas pour tout le monde à priori..............
150.000 euros pour Auch
Deux dons personnels d'un montant total de 150.000 euros ont été remis au FC Auch, dont le prochain dépôt de bilan a été récemment annoncé.
Un don de 100.000 euros effectué à titre personnel vient d'être adressé par le PDG de Cap Gemini, Serge Kampf, déjà mécène du Biarritz Olympique.
Il fait suite à un autre don d'un montant de 50.000 euros, effectué, lui aussi à titre personnel, la semaine dernière par l'homme d'affaires et président de l'AS Monaco rugby, Aldo Belmonte.
150.000 euros pour Auch
Deux dons personnels d'un montant total de 150.000 euros ont été remis au FC Auch, dont le prochain dépôt de bilan a été récemment annoncé.
Un don de 100.000 euros effectué à titre personnel vient d'être adressé par le PDG de Cap Gemini, Serge Kampf, déjà mécène du Biarritz Olympique.
Il fait suite à un autre don d'un montant de 50.000 euros, effectué, lui aussi à titre personnel, la semaine dernière par l'homme d'affaires et président de l'AS Monaco rugby, Aldo Belmonte.
phil6611
Le 24 avril 2009 - 12:59
un petit hommage à un "grand":
Fabien tire sa révérence en ayant su rester au top niveau jusqu'à la fin, moi je dis respect et bravo!
Toulouse se fait une raison
Entre émotion et pragmatisme, le Stade toulousain s'apprête à tourner la page Fabien Pelous, tout en rêvant de lui offrir une apothéose au Stade de France sous la forme d'un dernier Bouclier de Brennus. Ensuite, il sera temps de remplacer l'irremplaçable.
Un seul mot. Respect. Quand un champion quitte la scène, il est rare qu'on lui crache dessus. Mais il ne suscite pas forcément l'unanimité qui a entouré l'annonce du de la retraite prochaine de Fabien Pelous, jeudi. Tous, partenaires, anciens partenaires, entraineurs, anciens entraineurs ou adversaires, ont fait part de leur profond respect pour celui qui a marqué de son empreinte le rugby français pendant près de 15 ans. Comme si, déjà, chacun pressentait que le départ du deuxième ligne toulousain allait laisser un vide béant. Ce sentiment est particulièrement perceptible sur les bords de la Garonne.
A Toulouse, on ne va pas seulement perdre une grande figure du rugby hexagonal, mais plus prosaïquement un joueur de première catégorie, encore au top niveau cette saison, et dont l'impact sur et en dehors du terrain est incomparable. Le champion de France ne voit pas s'envoler un vétéran au bout du rouleau, aux performances anecdotiques. Comme le note Richard Dourthe, "quand tu es indiscutable à Toulouse comme c'est son cas, c'est que tu es le meilleur deuxième-ligne français, ou presque." Au Stade, on n'aurait donc pas vu d'un mauvais oeil que le recordman des sélections en équipe de France prolonge un peu plus l'aventure. "S'il avait voulu jouer un an de plus, nous l'aurions bien entendu accepté d'autant plus que cette année il fait encore une fois une saison remarquable", concède le président René Bouscatel.
"Il va falloir maintenant que le Stade toulousain digère son départ"
Plus dur, parce que Fabien Pelous n'est pas un personnage tout à fait comme les autres. Ses équipiers paraissent d'ailleurs touchés par son annonce, même s'ils la sentaient venir ces dernières semaines. "Pour nous, avoue Yannick Jauzion, c'est une grande déception." Sans discuter évidemment une seconde la décision du "grand", le trois-quarts centre international mesure la perte: "Fabien est quelqu'un qui a des qualités sportives irréprochables sur le terrain et il exprime la sérénité avant et pendant le match. Il a apporté beaucoup de confiance au groupe et c'est pour cela que l'on perd quelqu'un d'important."
Pour Romain Millo-Chluski, le vide sera peut-être un peu plus grand que pour d'autres. D'abord en raison de sa proximité sur le terrain avec Pelous, en deuxième ligne, qui se prolongeait d'ailleurs en dehors. "Il était mon collègue de chambre lors des déplacements. Il va laisser un grand vide dans les vestiaires. Même si sa décision lui appartient, j'ai un sentiment bizarre", avoue-t-il. Entre admiration, hommage et nostalgie, les Toulousains nourrissent des sentiments mitigés depuis jeudi. Mais en filigrane, chacun doit penser à l'avenir. L'avenir immédiat, d'abord. Il reste au maximum cinq matches dans la carrière de Pelous, si Toulouse va en finale. Tout le monde rêve de lui offrir cette apothéose. "On a encore des moments intenses à vivre jusqu'à la fin de la saison ", rappelle Millo-Chluski.
Puis il sera temps de tourner la page pour de bon. Guy Novès s'y prépare. "J'ai eu la chance dans mes 25 ans de carrière de croiser ce joueur et pour moi, il fait partie des plus grands. Il va falloir maintenant que le Stade toulousain digère son départ ", soupire le manager toulousain. René Bouscatel ne doute pas que ce sera le cas. "Le départ de Fabien représente un trou énorme. C'est la vie. Après lui, il y en a d'autres. Nous avons connu beaucoup de joueurs irremplaçables. Ils le sont restés dans nos coeurs, mais sur le terrain leur place a été prise". Même les irremplaçables doivent donc être remplacés. " Mais pour Fabien, conclut Guy Novès, ce sera plus dur que pour d'autres".
Fabien tire sa révérence en ayant su rester au top niveau jusqu'à la fin, moi je dis respect et bravo!
Toulouse se fait une raison
Entre émotion et pragmatisme, le Stade toulousain s'apprête à tourner la page Fabien Pelous, tout en rêvant de lui offrir une apothéose au Stade de France sous la forme d'un dernier Bouclier de Brennus. Ensuite, il sera temps de remplacer l'irremplaçable.
Un seul mot. Respect. Quand un champion quitte la scène, il est rare qu'on lui crache dessus. Mais il ne suscite pas forcément l'unanimité qui a entouré l'annonce du de la retraite prochaine de Fabien Pelous, jeudi. Tous, partenaires, anciens partenaires, entraineurs, anciens entraineurs ou adversaires, ont fait part de leur profond respect pour celui qui a marqué de son empreinte le rugby français pendant près de 15 ans. Comme si, déjà, chacun pressentait que le départ du deuxième ligne toulousain allait laisser un vide béant. Ce sentiment est particulièrement perceptible sur les bords de la Garonne.
A Toulouse, on ne va pas seulement perdre une grande figure du rugby hexagonal, mais plus prosaïquement un joueur de première catégorie, encore au top niveau cette saison, et dont l'impact sur et en dehors du terrain est incomparable. Le champion de France ne voit pas s'envoler un vétéran au bout du rouleau, aux performances anecdotiques. Comme le note Richard Dourthe, "quand tu es indiscutable à Toulouse comme c'est son cas, c'est que tu es le meilleur deuxième-ligne français, ou presque." Au Stade, on n'aurait donc pas vu d'un mauvais oeil que le recordman des sélections en équipe de France prolonge un peu plus l'aventure. "S'il avait voulu jouer un an de plus, nous l'aurions bien entendu accepté d'autant plus que cette année il fait encore une fois une saison remarquable", concède le président René Bouscatel.
"Il va falloir maintenant que le Stade toulousain digère son départ"
Plus dur, parce que Fabien Pelous n'est pas un personnage tout à fait comme les autres. Ses équipiers paraissent d'ailleurs touchés par son annonce, même s'ils la sentaient venir ces dernières semaines. "Pour nous, avoue Yannick Jauzion, c'est une grande déception." Sans discuter évidemment une seconde la décision du "grand", le trois-quarts centre international mesure la perte: "Fabien est quelqu'un qui a des qualités sportives irréprochables sur le terrain et il exprime la sérénité avant et pendant le match. Il a apporté beaucoup de confiance au groupe et c'est pour cela que l'on perd quelqu'un d'important."
Pour Romain Millo-Chluski, le vide sera peut-être un peu plus grand que pour d'autres. D'abord en raison de sa proximité sur le terrain avec Pelous, en deuxième ligne, qui se prolongeait d'ailleurs en dehors. "Il était mon collègue de chambre lors des déplacements. Il va laisser un grand vide dans les vestiaires. Même si sa décision lui appartient, j'ai un sentiment bizarre", avoue-t-il. Entre admiration, hommage et nostalgie, les Toulousains nourrissent des sentiments mitigés depuis jeudi. Mais en filigrane, chacun doit penser à l'avenir. L'avenir immédiat, d'abord. Il reste au maximum cinq matches dans la carrière de Pelous, si Toulouse va en finale. Tout le monde rêve de lui offrir cette apothéose. "On a encore des moments intenses à vivre jusqu'à la fin de la saison ", rappelle Millo-Chluski.
Puis il sera temps de tourner la page pour de bon. Guy Novès s'y prépare. "J'ai eu la chance dans mes 25 ans de carrière de croiser ce joueur et pour moi, il fait partie des plus grands. Il va falloir maintenant que le Stade toulousain digère son départ ", soupire le manager toulousain. René Bouscatel ne doute pas que ce sera le cas. "Le départ de Fabien représente un trou énorme. C'est la vie. Après lui, il y en a d'autres. Nous avons connu beaucoup de joueurs irremplaçables. Ils le sont restés dans nos coeurs, mais sur le terrain leur place a été prise". Même les irremplaçables doivent donc être remplacés. " Mais pour Fabien, conclut Guy Novès, ce sera plus dur que pour d'autres".
phil6611
Le 24 avril 2009 - 13:05
Fabien Pelous qui part à la retraite, c'est une page du rugby français qui se tourne. De par sa longévité et son palmarès, le deuxième ligne du Stade toulousain tient une place à part. En chiffres, retour sur une carrière exemplaire, ponctuée de nombreux records.
. 2 - Fabien Pelous a remporté à deux reprises la Coupe d'Europe, en 2003 et 2005 avec Toulouse, à chaque fois contre un club français en finale (Perpignan puis Paris). Il n'était pas encore au Stade lors de la première victoire de celui-ci en H Cup, en 1996. Jeudi, lors de sa conférence de presse, le deuxième ligne a confié que la victoire de 2003 constituait un des moments les plus forts de sa carrière professionnelle.
. 3 - Au cours de sa glorieuse carrière, Pelous a remporté à trois reprises le Bouclier de Brennus, en 1999, 2001 et 2008. Les trois fois avec Toulouse, bien sûr. Ironie de l'histoire, ces trois bouts de bois ont été conquis à chaque fois en battant Clermont en finale. Il a joué deux autres finales au Stade de France, perdues celles-là, en 2003 contre le Stade Français et en 2006 face à Biarritz.
. 4 - Quatre Grands Chelems dans le Tournoi, qui dit mieux? Personne. Pelous a remporté cinq fois le Tournoi avec l'équipe de France. Sur ces cinq titres, les Bleus ont réussi quatre fois le Grand Chelem, en 1997, 1998 (alors que le Tournoi était encore à 5 nations) puis en 2002 et 2004.
. 4 - Le néo-retraité a connu quatre clubs dans sa vie de rugbyman. D'abord à Saverdun, petite commune de l'Ariège, qui fut le club de son enfance et de son adolescence. C'est là qu'il a appris les bases du jeu, avant de partir pour Graulhet à l'âge de 17 ans. Sa carrière décolle véritablement en 1995 lorsqu'il s'engage avec Dax. Il y découvre la Coupe d'Europe et l'équipe de France. Fabien restera deux ans dans les Landes avant de faire le grand saut pour rejoindre Toulouse en 1997. Le début d'une histoire commune de 12 années.
. 4 - Autre record détenu par Fabien Pelous, celui du nombre de victoires obtenues face à la Nouvelle-Zélande. Il a affronté les All Blacks à 11 reprises durant sa carrière, pour un bilan plus qu'honorable: quatre succès, un match nul et six défaites. Pelous a battu les Blacks dès sa troisième sélection, le 11 novembre 1995... à Toulouse, alors qu'il portait encore les couleurs dacquoises. Mais ce sont bien évidemment les deux succès en Coupe du monde, lors de la demi-finale légendaire de Twickenham en 1999 et du quart de finale 2007 à Cardiff, qui restent les plus marquants.
. 8 - Au cours de sa longue carrière internationale, Fabien Pelous a inscrit huit essais chez les Bleus. Il n'a pas eu à attendre bien longtemps pour inaugurer son compte puisqu'il avait marqué dès sa première sélection, contre la Roumanie, en Coupe Latine. Son dernier essai sous le maillot frappé du coq remonte à la Coupe du monde 2003 et à la victoire face au Japon. Par la suite, Pelous n'a plus marqué lors de ses 35 dernières capes.
. 11 - le nombre de participations au Tournoi des 5 puis des 6 Nations du "Pélican". De 1996 à 2006, il n'en a pas raté un avant de zapper l'édition 2007 pour cause de blessure et à une cheville. Au total, il a disputé 49 rencontres dans le cadre du Tournoi, avec un taux de réussite exceptionnel puisqu'il a connu la victoire à 37 reprises sur ces 49 matchs.
. 16 - Voilà un record en équipe de France que Fabien Pelous ne détient pas, celui du nombre de matchs joués en phase finale de Coupe du monde. En trois éditions (1999, 2003, 2007), l'homme aux 118 sélections a pris part à 16 rencontres du Mondial, soit deux de moins que son camarade Raphael Ibanez au cours de la même période. Pelous a connu 11 fois la victoire contre 5 défaites.
. 42 - Sur ses 118 sélections, Pelous a eu l'honneur d'être le capitaine du XV de France à 42 reprises. Un autre record, établi au cours du Tournoi 2006. C'est huit fois de plus que Raphaël Ibanez et Jean-Pierre Rives, qui ont eu cet honneur à 34 reprises au cours de leur carrière internationale.
. 81 - La carrière de l'ancien capitaine des Bleus a quasiment épousé l'histoire de la Coupe d'Europe, née en 1995, au moment où Pelous devenait un joueur d'envergure avec Dax. Il n'aura raté que la première édition pour disputer les 13 suivantes: une avec Dax, et 12 avec Toulouse. A Cardiff, lors de la défaite du Stade en quarts de finale, le 11 avril dernier, il a donc joué son 81e et dernier match (76 avec Toulouse, 5 avec Dax) sur la scène européenne: 73 comme titulaires et huit en entrant en cours de jeu.
. 118 - Le nombre de ses sélections en équipe de France. Un record absolu. Pelous l'a établi en août 2007, juste avant la Coupe du monde, en détrônant Philippe Sella et ses 111 sélections. Ces 118 sélections font du Toulousain le joueur européen le plus capé de l'histoire, devant le pilier anglais Jason Leonard. Seul le demi de mêlée australien George Gregan, avec 139 sélections chez les Wallabies, reste devant lui.
. 1159 - A 35 ans, Pelous demeure un des joueurs les plus sollicités de l'effectif toulousain. Il a déjà joué 1159 minutes depuis le début du Top 14. Il a disputé 21 des 23 premières journées de championnat, dont 16 titularisations. Malgré son "grand âge", le deuxième ligne demeure donc incontournable chez les champions de France.
. 2 - Fabien Pelous a remporté à deux reprises la Coupe d'Europe, en 2003 et 2005 avec Toulouse, à chaque fois contre un club français en finale (Perpignan puis Paris). Il n'était pas encore au Stade lors de la première victoire de celui-ci en H Cup, en 1996. Jeudi, lors de sa conférence de presse, le deuxième ligne a confié que la victoire de 2003 constituait un des moments les plus forts de sa carrière professionnelle.
. 3 - Au cours de sa glorieuse carrière, Pelous a remporté à trois reprises le Bouclier de Brennus, en 1999, 2001 et 2008. Les trois fois avec Toulouse, bien sûr. Ironie de l'histoire, ces trois bouts de bois ont été conquis à chaque fois en battant Clermont en finale. Il a joué deux autres finales au Stade de France, perdues celles-là, en 2003 contre le Stade Français et en 2006 face à Biarritz.
. 4 - Quatre Grands Chelems dans le Tournoi, qui dit mieux? Personne. Pelous a remporté cinq fois le Tournoi avec l'équipe de France. Sur ces cinq titres, les Bleus ont réussi quatre fois le Grand Chelem, en 1997, 1998 (alors que le Tournoi était encore à 5 nations) puis en 2002 et 2004.
. 4 - Le néo-retraité a connu quatre clubs dans sa vie de rugbyman. D'abord à Saverdun, petite commune de l'Ariège, qui fut le club de son enfance et de son adolescence. C'est là qu'il a appris les bases du jeu, avant de partir pour Graulhet à l'âge de 17 ans. Sa carrière décolle véritablement en 1995 lorsqu'il s'engage avec Dax. Il y découvre la Coupe d'Europe et l'équipe de France. Fabien restera deux ans dans les Landes avant de faire le grand saut pour rejoindre Toulouse en 1997. Le début d'une histoire commune de 12 années.
. 4 - Autre record détenu par Fabien Pelous, celui du nombre de victoires obtenues face à la Nouvelle-Zélande. Il a affronté les All Blacks à 11 reprises durant sa carrière, pour un bilan plus qu'honorable: quatre succès, un match nul et six défaites. Pelous a battu les Blacks dès sa troisième sélection, le 11 novembre 1995... à Toulouse, alors qu'il portait encore les couleurs dacquoises. Mais ce sont bien évidemment les deux succès en Coupe du monde, lors de la demi-finale légendaire de Twickenham en 1999 et du quart de finale 2007 à Cardiff, qui restent les plus marquants.
. 8 - Au cours de sa longue carrière internationale, Fabien Pelous a inscrit huit essais chez les Bleus. Il n'a pas eu à attendre bien longtemps pour inaugurer son compte puisqu'il avait marqué dès sa première sélection, contre la Roumanie, en Coupe Latine. Son dernier essai sous le maillot frappé du coq remonte à la Coupe du monde 2003 et à la victoire face au Japon. Par la suite, Pelous n'a plus marqué lors de ses 35 dernières capes.
. 11 - le nombre de participations au Tournoi des 5 puis des 6 Nations du "Pélican". De 1996 à 2006, il n'en a pas raté un avant de zapper l'édition 2007 pour cause de blessure et à une cheville. Au total, il a disputé 49 rencontres dans le cadre du Tournoi, avec un taux de réussite exceptionnel puisqu'il a connu la victoire à 37 reprises sur ces 49 matchs.
. 16 - Voilà un record en équipe de France que Fabien Pelous ne détient pas, celui du nombre de matchs joués en phase finale de Coupe du monde. En trois éditions (1999, 2003, 2007), l'homme aux 118 sélections a pris part à 16 rencontres du Mondial, soit deux de moins que son camarade Raphael Ibanez au cours de la même période. Pelous a connu 11 fois la victoire contre 5 défaites.
. 42 - Sur ses 118 sélections, Pelous a eu l'honneur d'être le capitaine du XV de France à 42 reprises. Un autre record, établi au cours du Tournoi 2006. C'est huit fois de plus que Raphaël Ibanez et Jean-Pierre Rives, qui ont eu cet honneur à 34 reprises au cours de leur carrière internationale.
. 81 - La carrière de l'ancien capitaine des Bleus a quasiment épousé l'histoire de la Coupe d'Europe, née en 1995, au moment où Pelous devenait un joueur d'envergure avec Dax. Il n'aura raté que la première édition pour disputer les 13 suivantes: une avec Dax, et 12 avec Toulouse. A Cardiff, lors de la défaite du Stade en quarts de finale, le 11 avril dernier, il a donc joué son 81e et dernier match (76 avec Toulouse, 5 avec Dax) sur la scène européenne: 73 comme titulaires et huit en entrant en cours de jeu.
. 118 - Le nombre de ses sélections en équipe de France. Un record absolu. Pelous l'a établi en août 2007, juste avant la Coupe du monde, en détrônant Philippe Sella et ses 111 sélections. Ces 118 sélections font du Toulousain le joueur européen le plus capé de l'histoire, devant le pilier anglais Jason Leonard. Seul le demi de mêlée australien George Gregan, avec 139 sélections chez les Wallabies, reste devant lui.
. 1159 - A 35 ans, Pelous demeure un des joueurs les plus sollicités de l'effectif toulousain. Il a déjà joué 1159 minutes depuis le début du Top 14. Il a disputé 21 des 23 premières journées de championnat, dont 16 titularisations. Malgré son "grand âge", le deuxième ligne demeure donc incontournable chez les champions de France.
Bon excusez pour le mois de desertion mais je vois que le post tombe dans les oubliettes.Treve de plaisanterie,17000 spectateurs à jean dauger,c'est le lleno pour la venue du grand stade toulousain avec son escouade de stars.Noel étant passé depuis belle lurette l'Aviron devra etre statosphérique samedi à 16h30.Philou un pronostic.
Une revanche de la mélée bayonnaise par rapport au match aller serait de bonne aloi mais bon vu les derniers matchs du stade plutot en dedans sauf à Brive,je pense à une sacré remise en uestion du groupe et de plus les rouges et noirs voudront faire partie du squad qui jouera les demis voir je l'espère le titre cette année.
Pelous doit partir sur un titre et cela passe par unune montée de puissance de la machine toulousaine et il ne reste plus que deux matchs avant la demi,alors en espérant que demain il fasse beau et jean dauger sera en trance en milieu d'aprés-midi.
Atxik Baiona et que le meilleur perde mais pas trop souvent.
Atxik Baiona et que le meilleur perde mais pas trop souvent.
inscrit le 12/12/04
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