Ce qui me trouble depuis un moment c'est la systématisation de l'accusation de l'activité humaine du réchauffement du climat dans Skipass et ailleurs. Et pourtant il est un fait que depuis 200 ans, l'augmentation du CO2 (gaz carbonique) s'accompagne d'une hausse générale des températures, personne ne le nie plus.
Et bien sachez que c'est faux. Le réchauffement a commencé à se manifester dès le début du XVIIIe siècle, juste après le petit âge glaciaire qui a durement éprouvé la fin du règne de Louis XIV. A partir de cette époque, on constate notamment que la fonte des glaces sur les rivières finlandaises démarre de plus en plus tôt au printemps. Les glaciers alpins commencent eux aussi à reculer, pour ne citer que ces deux exemples. Or l'essentiel des rejets de CO2 et de gaz à effet de serre, liés aux activités humaines (industries, transports...) s'est produit au cours du XXe siècle, soit pratiquement deux cents ans après. Mieux, lorsque l'on étudie le climat du passé, grâce aux carottages effectués dans les glaces de l'Antarctique et du Groenland, on constate certaines déconnexions entre la courbe du CO2 atmosphérique et celle de la température. Sur certaines périodes parfois assez longues, à l'échelle de plusieurs siècles ou de plusieurs millénaires, il arrive même que la variation ait lieu en sens contraire, avec une hausse de CO2 accompagnée d'un... refroidissement. A d'autres moments, la température augmente très fortement alors que le gaz carbonique reste stable. Il arrive aussi, comme cela s'est passé il y a 15 000 ans, à la fin de la dernière glaciation, que le réchauffement précède une augmentation de la concentration en CO2 et non l'inverse comme le veut la théorie officielle. Tout simplement parce que la hausse des températures a réactivé la circulation océanique, ce qui a entraîné la libération de volumes importants de CO2 jusqu'alors piégés dans les eaux profondes.
Et bien sachez que c'est faux. Le réchauffement a commencé à se manifester dès le début du XVIIIe siècle, juste après le petit âge glaciaire qui a durement éprouvé la fin du règne de Louis XIV. A partir de cette époque, on constate notamment que la fonte des glaces sur les rivières finlandaises démarre de plus en plus tôt au printemps. Les glaciers alpins commencent eux aussi à reculer, pour ne citer que ces deux exemples. Or l'essentiel des rejets de CO2 et de gaz à effet de serre, liés aux activités humaines (industries, transports...) s'est produit au cours du XXe siècle, soit pratiquement deux cents ans après. Mieux, lorsque l'on étudie le climat du passé, grâce aux carottages effectués dans les glaces de l'Antarctique et du Groenland, on constate certaines déconnexions entre la courbe du CO2 atmosphérique et celle de la température. Sur certaines périodes parfois assez longues, à l'échelle de plusieurs siècles ou de plusieurs millénaires, il arrive même que la variation ait lieu en sens contraire, avec une hausse de CO2 accompagnée d'un... refroidissement. A d'autres moments, la température augmente très fortement alors que le gaz carbonique reste stable. Il arrive aussi, comme cela s'est passé il y a 15 000 ans, à la fin de la dernière glaciation, que le réchauffement précède une augmentation de la concentration en CO2 et non l'inverse comme le veut la théorie officielle. Tout simplement parce que la hausse des températures a réactivé la circulation océanique, ce qui a entraîné la libération de volumes importants de CO2 jusqu'alors piégés dans les eaux profondes.
inscrit le 16/12/03
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