siewicz
Quand un copain de la vallée d'à côté est de passage et vous propose une sortie ski, il y a la pression de trouver le bon plan du jour : Il fait soleil, mais ça va réchauffer doucement à cause d'un léger voile. On peut se permettre d'aller versant sud -le manteau y est bien tassé- mais la neige commence à remonter vers 2000m. Un terrain herbeux pour ne pas racler les skis et une route d'alpage qui n'est pas fermée. Telles sont les conditions du jour.
Une idée se dessine vers le fond de vallée, sachant qu'il sera difficile de remplir toutes ces conditions. On se dit qu'il faut garder un état d'esprit "aventure" (qui est l'autre mot pour dire "plan foireux très probable"). On tente et on verra.
On arrive à monter la voiture à 1850m. La neige est 30m au dessus de nous. Ce sont les conditions qui dictent notre journée : On trace là ou l'enneigement est continu et l'on fini vers 2700m sur une crête qui surplombe quelques chamois.
On prends bien le temps. On descend vers un coin sans vent pour y déjeuner face à la vallée, ses hauts sommets et ceux des Écrins juste derrière. Les lumières d'automne sont magnifiques. Le léger voile donne un horizon orangé, les montagnes sont blanches, vertes et jaune.
La neige ne décaillera vraiment que vers 13h. C'est la qu'on se lance pour le retour. Le terrain est pentu ce qu'il faut pour une reprise joueuse dans se faire peur et l'on revient à la voiture par l'itinéraire de montée, le seul -nous semble-t-il- sans déchausser sur une moquette au poil.
Au final, pas de galères, il fallait juste se contenter des conditions et d'y croire.
A oui, que s'est-on dit pendant la sortie ? Il fallait dire que c'était en Haute-Maurienne. Allez en Maurienne. La Tarentaise c'est nul 😁
Une idée se dessine vers le fond de vallée, sachant qu'il sera difficile de remplir toutes ces conditions. On se dit qu'il faut garder un état d'esprit "aventure" (qui est l'autre mot pour dire "plan foireux très probable"). On tente et on verra.
On arrive à monter la voiture à 1850m. La neige est 30m au dessus de nous. Ce sont les conditions qui dictent notre journée : On trace là ou l'enneigement est continu et l'on fini vers 2700m sur une crête qui surplombe quelques chamois.
On prends bien le temps. On descend vers un coin sans vent pour y déjeuner face à la vallée, ses hauts sommets et ceux des Écrins juste derrière. Les lumières d'automne sont magnifiques. Le léger voile donne un horizon orangé, les montagnes sont blanches, vertes et jaune.
La neige ne décaillera vraiment que vers 13h. C'est la qu'on se lance pour le retour. Le terrain est pentu ce qu'il faut pour une reprise joueuse dans se faire peur et l'on revient à la voiture par l'itinéraire de montée, le seul -nous semble-t-il- sans déchausser sur une moquette au poil.
Au final, pas de galères, il fallait juste se contenter des conditions et d'y croire.
A oui, que s'est-on dit pendant la sortie ? Il fallait dire que c'était en Haute-Maurienne. Allez en Maurienne. La Tarentaise c'est nul 😁
Qualité du ski : 3/5
Lieu :
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