bonagva (12 janv.) disait:
Ça, on le sait depuis déjà quelques années, depuis 2015.
Mais ça fait jamais de mal de le ressortir et de le diffuser.
bonagva (12 janv.) disait:
ronron (13 janv.) disait:
Habari Gani (12 janv.) disait:
Grande nouvelle: l'excès de connerie déborde
lenouvelliste.ch
c.ledauphine.com
désolé pour nos amis suisses
Mais bon ça débordait vraiment chez nous
Pour le coup, voir les stations de ski, notamment Verbier, qui n'a rien fait pour préserver l'environnement et pourtant qui sera la première à morfler à cause du réchauffement climatique se faire attaquer, ça va vraiment pas me tirer une larme, un autre exemple avec la ZAD de La Clusaz.
D'ailleurs, malgré tous les changements climatiques, certaines n'ont toujours pas compris qu'il va falloir changer et il faudrait être surpris qu'elles soient ciblé par les activistes environnementaux?
La méthode est toujours discutable, bien sur, mais c'est tout à fait logique que les stations soient touchées par ce phénomène, et la symbolique des enneigeurs est assez forte.
Habari Gani (17 janv.) disait:
Le problème de la violence prétendument légitime c'est de savoir qui s'arroge le droit de décider de la légitimité.
ronron (17 janv.) disait:
Sauf qu'on sait très bien qu'on est pas dans un Etat de droit qui fonctionne normalement et que l'intérêt de puissance financière passe bien devant tout le reste.
En partant de là, tout ton raisonnement est caduque.
Si un puissance financière se permet de contourner les règles, d'user de ses moyens pour utiliser des lobbies et influencer des décisions d'état/justice, voir de négocier directement avec l'état d'être dans l'illégalité, pourquoi les gens qui n'ont pas ces moyens devraient eux par contre rester dans la légalité?
Et pour le coup l'exemple de la Clusaz est un très bon exemple de comment des élus/promoteur/puissance financière locale ont pensé faire comme d'habitude en s'arranger avec les lois sans que cela passe inaperçu et heureusement que des gens se sont éleves contre cela et l'ont combattu de façon illégal pour au final forcer l'état à respecter la loi.
Donc ce qu'il reste à ceux qui n'ont pas les moyens financier de corrompre, c'est la désobéissance civile et parfois la violence.
Et là, où tu ne pousses pas trop le raisonnement parce que cela t'arrange, c'est que souvent ces actes sont souvent là pour mettre en lumière que l'etat et les collectivités ne respectent pas les lois déjà mis en place de défense de l'environnement et mettre en lumière que les puissants arrivent toujours à contourner les lois quand ça les arrange.
Biensur, ils sont rarement condamné.
La violence en colle blanc est bien plus acceptable car elles s'attaquent aux chiffres et que cela passe inaperçue.
Alors qu'au final, elle est bien plus dommageable pour la société que n'importe quel dégradation physique car par graphique.
De toute façon, on ne changera rien à la violence des colles blancs, mais tant que cela sera comme ça, les actes de vandalismes et de résistances vont augmenter, exploser, ce n'est que la début.
ronron (17 janv.) disait:
La violence en colle blanc est bien plus acceptable car elles s'attaquent aux chiffres et que cela passe inaperçue.
De toute façon, on ne changera rien à la violence des colles blancs
Habari Gani (17 janv.) disait:
ronron (17 janv.) disait:
Sauf qu'on sait très bien qu'on est pas dans un Etat de droit qui fonctionne normalement et que l'intérêt de puissance financière passe bien devant tout le reste.
En partant de là, tout ton raisonnement est caduque.
Si un puissance financière se permet de contourner les règles, d'user de ses moyens pour utiliser des lobbies et influencer des décisions d'état/justice, voir de négocier directement avec l'état d'être dans l'illégalité, pourquoi les gens qui n'ont pas ces moyens devraient eux par contre rester dans la légalité?
Et pour le coup l'exemple de la Clusaz est un très bon exemple de comment des élus/promoteur/puissance financière locale ont pensé faire comme d'habitude en s'arranger avec les lois sans que cela passe inaperçu et heureusement que des gens se sont éleves contre cela et l'ont combattu de façon illégal pour au final forcer l'état à respecter la loi.
Donc ce qu'il reste à ceux qui n'ont pas les moyens financier de corrompre, c'est la désobéissance civile et parfois la violence.
Et là, où tu ne pousses pas trop le raisonnement parce que cela t'arrange, c'est que souvent ces actes sont souvent là pour mettre en lumière que l'etat et les collectivités ne respectent pas les lois déjà mis en place de défense de l'environnement et mettre en lumière que les puissants arrivent toujours à contourner les lois quand ça les arrange.
Biensur, ils sont rarement condamné.
La violence en colle blanc est bien plus acceptable car elles s'attaquent aux chiffres et que cela passe inaperçue.
Alors qu'au final, elle est bien plus dommageable pour la société que n'importe quel dégradation physique car par graphique.
De toute façon, on ne changera rien à la violence des colles blancs, mais tant que cela sera comme ça, les actes de vandalismes et de résistances vont augmenter, exploser, ce n'est que la début.
En l’occurrence l'autorisation a été suspendue par la justice. Donc les travaux sont suspendus à titre conservatoire. Ce qui veut dire que la "puissance financière" n'a pas influencé la décision de justice.
D'ailleurs en termes de "puissance financière" (ce truc un peu occulte désincarné aux mains des méchants), tu as une idée de qui sont les actionnaires de la SATELC?
Tu as lu le rapport de la commission d'enquête et notamment la partie sur l'origine géographique des observations entre les locaux et les autres?
Dans la ZAD il y avait combien de locaux et combien de "touristes-khmers-verts"?
A de très rares exceptions près aucune activité humaine ne préserve l'environnement. Il y a bien celle de Wangari Maathai.
Mais la maison dans laquelle tu vis, la route que tu empruntes, les matériaux du VTT que tu utilises sont des atteintes à MA planète. Et je peux trouver légitime de détruire ta maison ou brûler ton VTT qui bousillent MA planète. Comme je peux trouver légitime d'abattre les loups qui font peut à mon troupeau et parfois s'attaquent à lui.
ronron (18 janv.) disait:
C'est la seule chose que tu trouves à répondre quand je te parle de délinquances en col blanc qui ravagent l'environnement?
ronron (17 janv.) disait:
Sauf qu'on sait très bien qu'on est pas dans un Etat de droit qui fonctionne normalement et que l'intérêt de puissance financière passe bien devant tout le reste.
En partant de là, tout ton raisonnement est caduque.
Si un puissance financière se permet de contourner les règles, d'user de ses moyens pour utiliser des lobbies et influencer des décisions d'état/justice, voir de négocier directement avec l'état d'être dans l'illégalité, pourquoi les gens qui n'ont pas ces moyens devraient eux par contre rester dans la légalité?
ronron (17 janv.) disait:
Et pour le coup l'exemple de la Clusaz est un très bon exemple de comment des élus/promoteur/puissance financière locale ont pensé faire comme d'habitude en s'arranger avec les lois sans que cela passe inaperçu et heureusement que des gens se sont éleves contre cela et l'ont combattu de façon illégal pour au final forcer l'état à respecter la loi.
ronron (18 janv.) disait:
Tu sors le sempiternel exemple de "de toute façon, personne n'est irréprochable"?
Et tu oses comparer une utilisation domestique pour vivre, voir surivre comme la maison et se déplacer pour aller au travail, je parle même pas du vtt et la modification massive et irrémédiable d'un espace naturel pour sauvegarder un loisir non viable?
ronron (18 janv.) disait:
Quand au fait que ce ne soit pas forcément des locaux, en quoi cela pose problème?
Si un pays décide de ravager son environnement et d'anéantir tous les bienfaits pour l'humanité qui vont avec, on devrait ne rien dire et ne rien faire?
Perso, je le vois comme une très bonne chose que des personnes se sentent concernés même quand elles ne sont pas sur place, c'est la base de la prise de conscience que même si on est pas directement concerné, nos agissements peuvent avoir des répercutions là où on ne vit pas et que c'est souvent là où on ne vit pas qu'il faut agir, surtout avec une population qui vit à 75% en milieu urbain.
Habari Gani (18 janv.) disait:
ronron (18 janv.) disait:
C'est la seule chose que tu trouves à répondre quand je te parle de délinquances en col blanc qui ravagent l'environnement?
ronron (17 janv.) disait:
Sauf qu'on sait très bien qu'on est pas dans un Etat de droit qui fonctionne normalement et que l'intérêt de puissance financière passe bien devant tout le reste.
En partant de là, tout ton raisonnement est caduque.
Si un puissance financière se permet de contourner les règles, d'user de ses moyens pour utiliser des lobbies et influencer des décisions d'état/justice, voir de négocier directement avec l'état d'être dans l'illégalité, pourquoi les gens qui n'ont pas ces moyens devraient eux par contre rester dans la légalité?
Ben tu vois précisément je t'explique que dans cette affaire le projet a été suspendu par le Tribunal administratif.
Donc il est factuellement inexact d'invoquer un état de droit qui dysfonctionnerait ou une puissance financière qui influencerait les décisions de justice.
Habari Gani (18 janv.) disait:
ronron (17 janv.) disait:
Et pour le coup l'exemple de la Clusaz est un très bon exemple de comment des élus/promoteur/puissance financière locale ont pensé faire comme d'habitude en s'arranger avec les lois sans que cela passe inaperçu et heureusement que des gens se sont éleves contre cela et l'ont combattu de façon illégal pour au final forcer l'état à respecter la loi.
Donc tu ne t'es pas renseigné sur le capital de la SATELC.
Pour ton information c'est une société d'économie mixte détenue quasi-exclusivement par la commune, le club des sports (tu sais le truc sans but lucratif qui fait faire du sport aux gamins, essentiellement du ski l'hiver mais peut-être même du VTT l'été ) et le syndicat local des moniteurs de l'ESF.
Habari Gani (18 janv.) disait:
ronron (18 janv.) disait:
Tu sors le sempiternel exemple de "de toute façon, personne n'est irréprochable"?
Et tu oses comparer une utilisation domestique pour vivre, voir surivre comme la maison et se déplacer pour aller au travail, je parle même pas du vtt et la modification massive et irrémédiable d'un espace naturel pour sauvegarder un loisir non viable?
Ben tu vois les gens qui vivent dans la vallée ils sont un certain nombre à survivre parce qu'il y a cette activité. C'est elle qui les fait bosser comme moniteur, pisteur, commerçant, même comme agriculteur qui écoule sa production. C'est elle qui maintient des services publics sur place. C'est elle qui permet à leurs gamins d'avoir un collège/lycée et de faire du sport.
Et je t'invite à lire le rapport de la commission d'enquête sur le caractère de "modification massive et irrémédiable d'un espace naturel" et même concernant l'usage de la retenue envisagée.
Habari Gani (18 janv.) disait:
ronron (18 janv.) disait:
Quand au fait que ce ne soit pas forcément des locaux, en quoi cela pose problème?
Si un pays décide de ravager son environnement et d'anéantir tous les bienfaits pour l'humanité qui vont avec, on devrait ne rien dire et ne rien faire?
Perso, je le vois comme une très bonne chose que des personnes se sentent concernés même quand elles ne sont pas sur place, c'est la base de la prise de conscience que même si on est pas directement concerné, nos agissements peuvent avoir des répercutions là où on ne vit pas et que c'est souvent là où on ne vit pas qu'il faut agir, surtout avec une population qui vit à 75% en milieu urbain.
Le truc c'est que ces non-locaux ils ne seront pas affectés par la fermeture prématurée de la station et la fin du ski alpin. C'est pas leur job, leur famille, leur village.
Eux ils veulent une montagne sans télésiège quand ils viennent une semaine par an se promener. Sans télésiège mais avec des commerces quand même. Et ça serait bien de pouvoir y aller en TGV (bon sans affecter d'espèces protégées hein) même s'il n'y a plus de voyageurs. Mais quand même du personnel à la gare. Un hôpital sur place si je me foule la cheville. Parce que les déserts médicaux c'est pas bien, donc un hôpital même s'il n'y a plus d'habitants.
Leur destination rêvée pour une semaine par an: un "eco-lodge" dans la foret avec une gare TGV pour y aller, un hôpital, une poste, des commerces en nombre mais qu'on ne soit pas plus de 30 touristes en même temps.
On va creuser le modèle économique.
Et pour l'ancien village: SVP le raser proprement aux frais des habitants actuels qui sont priés de payer la remise à l'état d'origine avant d'aller pointer à Pole Emploi à Lyon en vivant dans un HLM du mas du taureau où leurs enfants se feront plein de nouveaux amis
ronron (20 janv.) disait:
Habari Gani (18 janv.) disait:
ronron (18 janv.) disait:
C'est la seule chose que tu trouves à répondre quand je te parle de délinquances en col blanc qui ravagent l'environnement?
ronron (17 janv.) disait:
Sauf qu'on sait très bien qu'on est pas dans un Etat de droit qui fonctionne normalement et que l'intérêt de puissance financière passe bien devant tout le reste.
En partant de là, tout ton raisonnement est caduque.
Si un puissance financière se permet de contourner les règles, d'user de ses moyens pour utiliser des lobbies et influencer des décisions d'état/justice, voir de négocier directement avec l'état d'être dans l'illégalité, pourquoi les gens qui n'ont pas ces moyens devraient eux par contre rester dans la légalité?
Ben tu vois précisément je t'explique que dans cette affaire le projet a été suspendu par le Tribunal administratif.
Donc il est factuellement inexact d'invoquer un état de droit qui dysfonctionnerait ou une puissance financière qui influencerait les décisions de justice.
Bah clairement que si pour le coup, parce que c'est à cause de recours lancer suite à la mobilisation que les irrégularités sur les premières décisions de justices ont été identifés.
Donc sans mobilisation, le dossier aurait été validé sans problème en sachant qu'à la base, il a été bâclé pour pouvoir passer facilement.
Comme à NdL, sans mobilisation citoyenne, aucun projet "magouillé" ne serait remis en cause.
ronron (20 janv.) disait:
En fait, je m'en fous de La Clusaz, c'est toi qui te lance sur ce sujet, ma discussion est bien plus générale.
Y a que toi qui te focalise dessus.
ronron (17 janv.) disait:
Et pour le coup l'exemple de la Clusaz est un très bon exemple de comment des élus/promoteur/puissance financière locale ont pensé faire comme d'habitude en s'arranger avec les lois sans que cela passe inaperçu et heureusement que des gens se sont éleves contre cela et l'ont combattu de façon illégal pour au final forcer l'état à respecter la loi.
Habari Gani (21 janv.) disait:
ronron (20 janv.) disait:
Habari Gani (18 janv.) disait:
ronron (18 janv.) disait:
C'est la seule chose que tu trouves à répondre quand je te parle de délinquances en col blanc qui ravagent l'environnement?
ronron (17 janv.) disait:
Sauf qu'on sait très bien qu'on est pas dans un Etat de droit qui fonctionne normalement et que l'intérêt de puissance financière passe bien devant tout le reste.
En partant de là, tout ton raisonnement est caduque.
Si un puissance financière se permet de contourner les règles, d'user de ses moyens pour utiliser des lobbies et influencer des décisions d'état/justice, voir de négocier directement avec l'état d'être dans l'illégalité, pourquoi les gens qui n'ont pas ces moyens devraient eux par contre rester dans la légalité?
Ben tu vois précisément je t'explique que dans cette affaire le projet a été suspendu par le Tribunal administratif.
Donc il est factuellement inexact d'invoquer un état de droit qui dysfonctionnerait ou une puissance financière qui influencerait les décisions de justice.
Bah clairement que si pour le coup, parce que c'est à cause de recours lancer suite à la mobilisation que les irrégularités sur les premières décisions de justices ont été identifés.
Donc sans mobilisation, le dossier aurait été validé sans problème en sachant qu'à la base, il a été bâclé pour pouvoir passer facilement.
Comme à NdL, sans mobilisation citoyenne, aucun projet "magouillé" ne serait remis en cause.
Tu racontes vraiment n'importe quoi.
Tu peux préciser "les irrégularités sur les premières décisions de justice" ?
Parce qu'à ce stade ce n'était pas des "premières décisions de justice" qui étaient contestées.
Comme décision de justice, il n'y a, à ce jour, que l'ordonnance du tribunal administratif en date du 25 octobre 2022 qui a suspendu le projet de retenue.
Je te donne le lien si tu as la flemme de chercher
grenoble.tribunal-administratif.fr
Mais je ne suis pas certain que ça serve à quelque chose de te donner une info ou une source d'info.
Sinon le dossier "bâclé pour pouvoir passer facilement" tu peux le trouver là: registres-dematerialises.fr
Tu pourras regarder si c'est bâclé.
Rien à voir avec Notre Dame des Landes qui avait été constamment validé par le juge et sur lequel il y a eu une décision politique d'abandon du projet.
Là le projet a été suspendu (et pas annulé ) par le juge en première instance à titre conservatoire. L'Etat a fait appel de cette ordonnance devant le Conseil d'Etat pour annuler cette suspension.
Par ailleurs il y a un recours au fond qui donnera lieu à un jugement par le même Tribunal administratif mais en formation collégiale (attention ça ne veut pas dire qu'on fait juger par un principal de collège, juste qu'il y aura plusieurs juges et pas un juge unique comme en référé ). Et cette décision au fond confirmera ou infirmera la suspension.
Pour l'instant la seule "première décision de justice" contestée c'est cette suspension ordonnée par le Tribunal administratif de Grenoble: elle est, d'une part, contestée devant le Conseil d'Etat et, d'autre part, en attente de la décision au fond du Tribunal.
Et les "touristes ZAD" (une nouvelle forme de tourisme) ils n'ont aucun impact sur le tribunal administratif ou le Conseil d'Etat.
ronron (20 janv.) disait:
En fait, je m'en fous de La Clusaz, c'est toi qui te lance sur ce sujet, ma discussion est bien plus générale.
Y a que toi qui te focalise dessus.
ronron (17 janv.) disait:
Et pour le coup l'exemple de la Clusaz est un très bon exemple de comment des élus/promoteur/puissance financière locale ont pensé faire comme d'habitude en s'arranger avec les lois sans que cela passe inaperçu et heureusement que des gens se sont éleves contre cela et l'ont combattu de façon illégal pour au final forcer l'état à respecter la loi.
ronron (25 janv.) disait:
Et ce que je dis, c'est sans la mobilisation populaire, il est raisonnable de penser que le dossier aurait été validé bien plus facilement et qu'on en serait pas forcément là.
C'est le sujet à la base, en quoi des mobilisations populaires peuvent influencer des projets de développements qui vont à l'encontre de l'environnement, en quoi elles enrayent des logiques qui perdurent depuis longtemps quand certaines personnes se permettent de contourner les règles en pensant que cela passera sans problème car c'est souvent comme ça que cela fonctionne et qu'elles bénéficient de certains appuis qui font que les irrégularités sont passés sous le tapis.
ronron (25 janv.) disait:
quand certaines personnes se permettent de contourner les règles en pensant que cela passera sans problème car c'est souvent comme ça que cela fonctionne et qu'elles bénéficient de certains appuis qui font que les irrégularités sont passés sous le tapis.
ronron (25 janv.) disait:
Clairement, ce genre de sujet montre que cette logique ne s'applique plus et qu'il y a trop de zones grises dans les dossiers.
ronron (27 janv.) disait:
Aucun complotisme, même si ça t'arrangerait, pour dire que beaucoup d'élus aiment bien s'arranger avec les marchés publics.
Y a assez de condamnations sur le sujet pour ne plus parler de complotismes.
Et pour ça, forcément, ils savent très bien qu'il faut un peu maquiller les dossiers qui sont posés, parce que si les dossiers étaient fait proprement, cela ne passerait jamais et on entendrait pas toutes les affaires qui ressortent à longueur de temps.
Et je parle pas de tes conneries de complotisme que t'aimerais bien me faire vendre.
Non, je parle de petits entrepreneurs qui s'immiscent dans les affaires publics soit directement soit avec du copinage pour favoriser leur affaires.
Mais oui, c'est plus pratique de tourner ça en dérision avec Bill Gates et Pfizer.
Sans parler du fait que y a souvent des intérêts autres que le bien être de la collectivité chez pas mal d'élus même dans les petits villages, et parfois, c'est simple le fermier du coin qui veut avoir quelques facilités pour gagner de nouvelles terres.
Donc je ne dis pas tous pourris mais juste qu'il y a bien trop d'affaires de corruptions pour les questions environnementales pour ne pas penser qu'un dossier a été bâclé sur les études environnementales juste parce qu'un gars avait la flemme de faire une vrai étude.
ronron (27 janv.) disait:
Au fait, qui a fait un recours pour l'annulation de la validation du projet?
Ah oui, 5 associations de défenses de l'environnement, donc les citoyens qui se battent sur le terrain contre cette retenu collinaire.
Donc c'est bien la mobilisation populaire qui a permis de mettre un coup d'arrêt à ce projet.
mescaline (28 janv.) disait:
Déjà, commencer un pavé indigeste, par le mot « moi », en dit long….
Ensuite, ma maison est ouverte à tous et il y a quelques années, je risquais jusqu’à trois ans de prison et 75000€ d’amende ( selon les lois de la république) pour héberger gratuitement et véhiculer des réfugiés sans papiers.
Et j’en héberge toujours, mais les lois ont changé (peut-être parce que des personnes leur ont chié dessus ou les ont dénoncées ??)….
Quand on peut être condamné car on est juste humain et emphatique, ben, désolé, mais, je te le répète : vive la désobéissance civile !!!
Tu devrais lire Aragon, Stéphane Hessel et quelques autres….
Ah ces gôchistes…..
Quant à la mamie, il est là, plus question de respect, de tolérance et d’entente ou tout bêtement, d’intelligence, de la part des deux parties, que d’autre chose !
mescaline (28 janv.) disait:
Habari, concernant La Clusaz, une émission de France Inter (bon sang, encore de sales gochistes !) est passé sur les ondes il y a quelques jours, tu devrais l’écouter en podcast
Habari Gani (28 janv.) disait:
Moi je trouve que le fait que ronron prenne sa voiture pour aller faire du VTT est une ineptie. La voiture ça pollue, les routes et le parking ce sont des sols imperméabilisés donc nécessairement des espèces protégées impactées. Et le VTT c’est du bruit, de la poussière, des projections de cailloux et à la vitesse à laquelle va un VTTiste un risque de destruction d’espèces protégées. Cet été une brave randonneuse âgée en montagne me disait qu’elle ne supportait plus les VTT dont certains n’évitaient pas les edelweiss et qu’elle aimerait leur crever les pneus. Elle s’estimait légitime à violer la loi en détruisant le bien d’autrui.
D’autres peuvent penser que la maison ou l’appartement de Mescaline n’a pas à être privatisé(e) pour les seuls besoins de Mescaline. La terre appartient à tous, aucun de nous n’en est propriétaire ne serait-ce que d’un morceau. Et il est légitime de violer toute loi des hommes qui contrevient à cette loi naturelle.
Habari Gani (28 janv.) disait:
ronron (27 janv.) disait:
Au fait, qui a fait un recours pour l'annulation de la validation du projet?
Ah oui, 5 associations de défenses de l'environnement, donc les citoyens qui se battent sur le terrain contre cette retenu collinaire.
Donc c'est bien la mobilisation populaire qui a permis de mettre un coup d'arrêt à ce projet.
Tu mélanges tout.
Un recours même collectif n'est pas une mobilisation populaire
Le recours est un droit constitutionnellement et conventionnellement garanti comme le double degré de juridiction, le procès équitable ... Il a conduit à la suspension de l'autorisation environnementale afin d'éviter, à titre conservatoire, que le défrichement commence avant que la question de droit soit tranché au fond.
Il permettra au Conseil d'Etat de se prononcer sur l'intérêt public majeur en la matière. Et on attend cette décision concernant les retenues collinaires, les remontées mécaniques ...
Ce que je conteste c'est le "pseudo éco-tourisme ZAD" avec occupation illégale du terrain, destruction des biens d'autrui. A l'origine de cette discussion il s'agissait de canons à neige dégradés.
Parce que dans un état de droit, dans lequel la justice a pu être saisie et suspendre l'autorisation contestée, les voies de droit permettent de contrer le projet sans qu'il soit nécessaire de procéder à des actions illégales.
Et dès lors qu'on admet que des actions illégales sont légitimes le sujet c'est qui s'arroge la légitimité? La brave randonneuse montagnarde s'estime légitime à crever les pneus des VTT. Et les squatteurs sont légitimes à occuper la maison ou l'appart' de Mescaline.
inscrit le 20/10/05
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