Alpes_1 disait: tu ne nous donnes pas le moral en disant ceci.
je vais peut être reprendre finalement.
En effet, je ne done pas le moral pour ces affaires là. C'est vraiment trop affreux, et de plus, je ne vois pas ce que la cigarette apporte, c'est une "béquille" qui te rend au centuple le mal qu'elle soulage dans l'instant.
C'est moralisateur peut-être, et je sais que tout le monde ne parvient pas sans difficulté à arrêter (et il n'y a pas que la nicotine qui fait l'addiction, le simple geste de se mettre cette saloperie à la bouche aussi, entre autres). Mais je me sens toujours le devoir de dire comme Yul Brynner (
) : "don't smoke !".
Ma grand-mère, elle, a arrêté toute seule du jour au lendemain, après une cinquantaine d'années de tabagie ininterrompue depuis sa jeunesse, et elle est morte à 94 ans. Mes deux parents aussi, depuis plus de trente ans, surtout par respect pour leurs enfants, et on dirait bien que leur "dette" a été effacée.
Dans l'autre sens, mon beau-frère a été obligé d'arrêter suite à une attaque cérébrale dont il a récupéré avec bien de la chance. Dans son cas, l'apéro (bien tassé et deux fois par jour) avait aussi son mot à dire. J'en connais un autre qui y est passé à 45 ans, et lui ne buvait pas : rupture d'anévrisme, une dizaine de jours de coma dont il n'est jamais revenu. Il avait ralenti sa consommation quelques mois auparavant sur les conseils de son médecin qui avait vu des signes avant-coureurs.
C'est bien une affaire de constitution, il y a bien des tempéraments qui résistent mieux que d'autres, mais il est difficile de prévoir, alors autant ne pas tenter le diable.
Tous mes encouragements à ceux qui arrêtent ! Vous ne puez plus de la gueule, vos vêtements sentent bon, votre porte-monnaie va mieux et ça vous permet de faire plaisir à ceux que vous aimez, etc.
inscrit le 21/08/06
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